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14/06/2019

... j'ai demandé au miroir qui est la plus belle

Notre corps est notre bien le plus cher, d'ailleurs ne dit-on pas corps de chair, et c'est pour cela qu'il s'appelle ainsi : c (c'est) orps (or), oui notre corps est l'or de notre âme, l'incarnation de notre lumière dans la matière. 
Notre corps est le véhicule de notre âme dans la matière, il est le pont entre le visible et l'invisible, il symbolise donc merveilleusement l'âme à tiers.
 
C'est à travers notre corps que nous pouvons nous exprimer, voir, goûter, sentir, entendre, cela est donc par son biais que nous expérimentons et vivons notre incarnation. 
Seulement, notre corps est trop souvent négligé, il reste un peu le mal aimé de notre vie, alors que c'est pourtant lui qui contient la vie ! Nous le nourrissons mal, nous lui envoyons des pensées négatives, nous le jugeons, parfois même nous allons jusqu'à le rejeter ou le détruire, nous le maltraitons à travers des produits chimiques en tout genre que nous déposons sur lui (crèmes, gels-douche...) ou que nous lui administrons (médicaments, plats industriels, drogues...). 
 
Nous parlons souvent de prendre soin de nos pensées, paroles et actions, mais oublions bien souvent notre corps, qui est pourtant le seul véhicule terrestre et à notre image que nous possédons. Il est temps de lui (re)donner la place qui est sienne, celle de notre temple. Notre temple car il contient la somme de nos énergies, il est le reflet de nos pensées, le miroir de nos paroles, et le cœur de nos actions.
 
Lorsque nous sommes déconnecté de notre corps, par le manque d'amour que nous ressentons pour nous même, notre temple se fissure, et comme à chaque fois que nous allons contre-nature les lettres se mélangent alors "temple" devient "le temps". Temps qui défile inexorablement jusqu'à la mort du corps, l'âme hors du corps. Oui, le temps que nous passons à détruire ce précieux temple, qui pourrait durer bien plus longtemps et nous mener si près des Cieux si on le choyait et l'aimait comme il se doit.
 
Il n'existe pas de corps imparfait, car chaque corps est unique et est le fruit de nos propres créations. Alors, même dans la maladie la perfection réside, car le mal à dit ne fait que nous dévoiler ce qu'il y a à changer. Si notre corps souffre c'est que nous entretenons des pensées, paroles et actions non alignées et centrées avec notre lumière intérieure. Cette absence d'alignement créé une dis-harmonie qui aura des répercussions sur le plan physique, tout commence énergétiquement pour aller vers la matière. Notre corps est créé de toute pièce par nous-même.
Ainsi, si nous pouvons meurtrir notre corps de par notre conduite, nous pouvons également le guérir. 
 
Par exemple, si je suis une personne en surpoids, certainement aurais-je l'impression que mon corps n'est pas parfait, pourtant, celui n'est que le reflet de mon sentiment de vide profond que je comble physiquement par de la nourriture. La cause est émotionnelle mais se manifestera dans la matière afin que je prenne conscience de ce que je dois guérir en moi. Les blessures sont propres à chacun, ainsi, le cheminement et la guérison sont avant tout personnels.
 
Pour guérir un corps il faut l'aimer, le choyer, le remercier, et changer ce qu'il y a à changer lorsque celui-ci nous paraît blessé. Car toute souffrance est indication d'un mauvais choix, la souffrance est un souffle rance qui détruit le vivant à petit feu. 
 
J'insiste sur le fait que notre corps n'a jamais été notre ennemi, le seul ennemi qui existe est la pensée que l'on entretient contre soi-même, c'est pour cela que l'on entend "haine me" (moi en anglais) dans le mot ennemi. Nous sommes les seuls à nous détester, en toute logique nous sommes les seuls à pouvoir nous aimer. 
 
Aujourd'hui et maintenant, reconnectons-nous à notre temple divin, chérissons notre corps car il nous permet d'expérimenter, et remercions-le car il nous parle à travers sa représentation. 

11/01/2019

... j'ai enfin dit "oui!"

La ménopause est une étape importante pour les femmes, souvent mal vécue elle s'accompagne alors de divers maux, jusqu'à devenir ce qu'elle est réellement : une initiation grandiose.

Pour comprendre ce processus, il faut mettre en lumière ce qui se passe sur le plan subtil.
La ménopause, que j'appelle "met (le) no (en) pause", est la période où le masculin en nous laisse place au féminin. Le masculin, celui qui agit, qui oppose, celui qui est dans le mouvement constant, mais aussi celui qui vit dans l'autorité, celui qui est rigide et aime suivre un plan pré-établi, celui qui refuse de lâcher-prise, au final le pilote automatique en nous qui incarne le feu et dit "non!", doit s'écarter tant bien que mal pour laisser la femme en nous prendre place, celle qui accueille, celle qui crée, celle qui ralentit le pas et s'écarte des sentiers battus, celle qui s'écoute elle-même, au final la grande créatrice en nous qui incarne l'eau et dit "oui!" à elle-même et ose mettre le "non" en pause. La ménopause incarne ce moment précis, cette passation de relais entre le masculin et le féminin, le Yang et le Yin, le feu et l'eau. 
Moins l'on accepte cette période, plus elle est douloureuse, comme chaque fois qu'il y a lutte.

Alors, si l'on refuse cette étape, et cela peut-être tout à fait inconscient, la ménopause s'accompagne de bouffées de chaleur, la chaleur incarnant le masculin et la sueur le féminin, chacun luttant pour trouver sa place. Plus mon homme intérieur sera dans la résistance, plus la chaleur sera blessante et la femme tentera de l'éteindre par l'eau.
S'ajouteront à cela divers migraines et maux de tête, les migraines sont toujours une forme de colère, un sentiment d'injustice qui prend naissance dans le chakra gorge pour aller se nicher dans la tête et principalement le 3ème oeil, migre haine. La colère est une non-acceptation de ce qui est et lorsqu'elle dégénère en migraine, le 3ème oeil se trouvant voilé la lumière (la vérité) fait mal. Il faut donc s'isoler dans le noir.

Il peut y avoir également des insomnies, liées bien entendu à l'angoisse de la mort, car on peut facilement assimiler la ménopause à la fin de quelque chose et cela influe sur le sommeil qui est à mettre en parallèle avec la mort.

Il existe également dans la ménopause un profond sentiment de perte, de deuil. Les ovaires s'endorment à tout jamais, après nous avoir accompagnée durant presque 40 ans, après avoir été le cœur de notre pouvoir créateur (chakra sacré ou ça crée), le berceau de la vie, ceux-ci s'endorment définitivement et nous laissent continuer la route seule. Un sentiment de solitude peut donc nous envahir, un immense vide intérieur. Les maux de ventre sont alors fréquents, ainsi que la prise de poids pour combler le vide ressenti au niveau du chakra sacré qui se trouve sous le nombril.

L'absence de règles quant à elle devient une absence de cadre. En effet les menstruations sont à mettre en parallèle avec les règles que nous nous imposons, les cadres qui nous procurent une sécurité apparente. Elles reviennent tous les mois à date fixe, elles sont comme un rituel, d'ailleurs lorsqu'elles ont du retard cela signifie qu'il y a un changement quelconque (grossesse, stress, maladie...). Tout ce qui est connu et revient régulièrement nous sécurise. A la ménopause les règles s'éteignent avec le masculin en nous qui représente cette autorité, ces règles, ce cadre rassurant. Nous pouvons alors avoir un sentiment d'insécurité, de fragilité, de vulnérabilité.

Il y a autant de symptômes et de causes qu'il y a de femmes sur Terre. Chacune ayant son propre chemin, ses propres blessures et conditionnements.

Tous ces maux ne sont que la conséquence d'une non-acceptation de cette grande initiation qu'est la ménopause.

Pour traverser cela en douceur, comme on ne peut changer ce qui est il est important de changer notre regard pour transformer l'expérience. Pour accepter une situation il faut la regarder avec les yeux du cœur, de l'amour.

Pour mettre un terme aux bouffées de chaleur, il faut cesser le conflit intérieur, faire la paix en soi, se rapprocher de son homme intérieur et le pacifier. Pour cela il faut arrêter de tout vouloir contrôler, de tout baliser, il faut accepter la vie telle qu'elle se présente. C'est la peur de l'inconnu la source de ce mal-être, l'homme en nous se bat pour nous protéger, et lorsque la ménopause vient, arrive en même temps le moment où il doit baisser les armes et faire confiance à la femme, à l'intuition, à l'eau qui coule dans le ruisseau. Lui, l'homme qui tenait la barre du bateau doit maintenant se laisser porter par le courant de la vie.

Concernant les migraines, encore une fois c'est la résistance qui résonne ici, dans la tête et le 3 ème œil. Il faut donc se placer dans l'acceptation de ce qui est, la ménopause n'est pas injuste, elle ne nous diminue pas, c’est simplement un état nouveau, ce n'est pas une mort mais une renaissance, car nos sens renaissent littéralement lorsque l'acceptation est véritable et totale.

Pour revenir à ce sentiment de mort, ces maux de ventre, l'endormissement des ovaires ne marque pas la fin de la vie, car notre élan créateur existe encore, simplement, il ne sera plus contenu dans les ovaires, et c'est encore plus grandiose car il sera absolument partout autour de nous et en nous, cela peut faire peur car notre pouvoir devient alors illimité, il n'y a plus le cadre, les barrières qu'incarnait la matrice intérieure. Les ovaires deviennent "eau vers", car notre pouvoir créateur s'infiltre dans toutes nos cellules, rien ne meurt jamais en réalité, tout se transforme. Endormir signifie aussi lâcher-prise et libérer.

Au niveau des règles, c'est justement leur arrêt qui nous libère des règles que nous nous imposions. Nous retrouvons une liberté nouvelle qui demande à être apprivoisée. C'est le moment d'ouvrir grand nos ailes et de prendre notre envol. L'oiseau est libéré de sa cage.

La ménopause est également l'instant où la femme devient grande prêtresse, gardienne du savoir. C'est à ce moment qu'elle entre dans la sagesse véritable, ses savoirs se libèrent et elle devient ainsi son propre guide
La sérénité peut entrer dans sa vie car elle se laisse porter par le courant de l'eau, en effet c'est le moment où la femme agit pour elle-même et non pour les autres. La femme, qui, si souvent vit pour ses enfants, son conjoint, les attentes extérieures, les tâches et devoirs qu'elle s'impose, peut enfin se libérer de tout cela et être ! 
La liberté véritable d'être qui elle est, sans porter le masque de "la fille de", "la mère de", "l'épouse de"... Elle devient celle qui est, apprécie, fait, aime, dit, voit, sait (alignement des 7 chakras).
On nous montre cette période comme une fin, alors que c'est le moment où tout est possible. C'est simplement la fin du bal masqué, ce bal durant lequel on cherche à séduire le cavalier, à plaire aux invités, à être remarquée... vient alors minuit et le bal se termine, on jette à terre le masque et ce personnage que l'on jouait, pour devenir enfin soi, on cherche à entrer en contact avec soi-même et en ressort encore plus grande.

La ménopause est l'âge de la renaissance à soi m'aime.

La femme ménopausée est la voie de la sagesse, car elle libère enfin l'eau (en elle), elle devient la mer (mère de toute création), la force (tranquille), la voix de la connaissance (voie connaît sens), soyez cette femme mène eau posée.

Certaines n'attendent pas la ménopause pour vivre ces incroyables initiations, alors ce moment clé est plus doux car préparé (prêt paré) intérieurement depuis longtemps.

Il est important de prendre conscience que nos énergies, pour s'harmoniser, doivent continuer à vivre et se mélanger, j'entends par là que le masculin en nous ne disparaît pas, il se fond avec le féminin, tout comme le féminin en nous ne devrait jamais s'éteindre, mais tout simplement se marier avec notre masculin. L'équilibre est ici, dans un parfait mélange de ces deux énergies primordiales, c'est ce que nous dévoile le symbole asiatique Yin et Yang : une touche de féminin dans le masculin et une touche de masculin dans le féminin, la roue nous portant parfois vers la femme en nous et d'autres fois vers l'homme en nous. L'équilibre est atteint lorsque la roue tourne et que les énergies se fondent pour toujours, plus de Yin ou de Yang simplement le tout.

Je le recommande souvent : "le grand dictionnaire des malaises et des maladies " de Jacques Martel est une mine d'or pour mettre des mots sur nos maux.

05/07/2018

... j'ai fait la connaissance d'un petite âme

Vendredi 29 juin j'ai eu le bonheur de donner naissance à ma jolie Aura, merveilleuse petite fille, si belle, si pure. Un vrai petit ange !
 
J'ai, durant toute ma grossesse, senti qu'elle ne naîtrait pas mi-juillet comme "prévu", mais bien une quinzaine de jours plus tôt, comme ce fût le cas.
C'était tellement évident pour moi que j'annonçais chaque fois sa venue parmi nous pour début juillet.
 
Je ne savais pas encore qu'il y aurait une pleine lune le 28 juin, lune ô combien puissante car la plus transformatrice de l'année, mais aussi celle qui apporte des réponses !
 
N'oublions pas que le corps humain est constitué d'en moyenne 60% d'eau. La lune a un effet sur toutes les énergies Eau de la planète, les marées, les émotions, mais aussi sur notre corps physique. 
Ainsi, cette nuit du 28 juin les énergies Eau se sont mises en mouvement, mon corps s'est aligné avec cela et le travail a commencé. La journée du 29 juin fût celle de ma rencontre physique avec Aura, jolie petite âme si particulière je le sens déjà. Quel merveilleux cadeau de l'Univers !
 
On me demande souvent à quel moment nous avons "entendu" le prénom du bébé, et comme à mon habitude je réponds que nous avons simplement écouté les signes et guidances qui nous attendaient le long du chemin.
 
Au tout départ, et bien avant cette grossesse surprise, mon compagnon m'a dit un soir : "Si nous avons une autre fille nous l'appellerons Aura"
Phrase qui est restée gravée en moi puisqu’à l’annonce de cette grossesse je lui ai immédiatement rappelé ce prénom qu'il avait soufflé.
Mais, le temps ayant balayé son intuition, ce prénom n'était plus son premier choix.
 
Nous nous sommes donc mis à la recherche d'un autre prénom, mais j'ai toujours gardé en mon cœur ce doux  Aura.
Peu à peu il revenait vers moi sous forme de signes. Un autre joli prénom s'est ajouté à la liste, accompagné lui aussi de plusieurs signes, j'ai alors compris que l'un ou l'autre de ces prénoms convenait au bébé, qu'il ne nous restait plus qu'à choisir.
 
Nous avons laissé cela reposer, et arrivés à 8 mois de grossesse nous ne savions toujours pas quel serait le prénom définitif de notre enfant, mais cela ne nous inquiétait pas, tout était parfait ainsi !
C'est surtout les gens autour de nous qui étaient surpris de notre "non recherche". J'aime tant laisser les choses venir à moi d'elles mêmes, je préfère accueillir que rechercher.
Puis, quelques jours avant mon accouchement le prénom Aura s'est manifesté avec plus de force.
Une fois, j'étais dans ma chambre en train de penser au bébé, et sans même m'en apercevoir mes yeux étaient posés sur l'un de mes dessins représentant les 7 couches de l'Aura, accroché au mur. Quand je suis sortie de mes pensées, le mot "Aura" était là juste devant moi, tel une évidence.
Quelques jours plus tard, alors que je feuilletais un magasine je suis tombée sur une publicité pour un parfum nommé "Aura". Sur l'affiche on pouvait voir une femme aux yeux verts, couleur de la guérison, porter au niveau de son chakra cœur la petite bouteille de parfum elle aussi d'un beau vert émeraude. Tout cela entouré d'une belle forêt luxuriante d'un vert profond. Affiche riche en symboles, avec beaucoup de rappels aux énergies du cœur et de la guérison. 
J'ai alors compris que cette petite âme, conçue en Floride, lieu privilégié pour ouvrir son chakra cœur et développer nos énergies de guérison (pour celles et ceux qui ont suivi mon aventure), devait se nommer ainsi : Aura. Le puzzle est si parfait une fois de plus ! La vie est merveilleuse !
 
Voici donc la petite histoire de ce prénom.
 
Encore une fois je souhaite la bienvenue à ce petit ange si souriant, le chemin ne fait que commencer <3
 

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