Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/06/2017

... j'ai dit au revoir, mais pas adieu

Notre chat Ezra nous a quitté. C'est un chat que nous avons accueilli il y a quelques années de cela, car mes voisins désiraient s'en débarrasser...

Ne le sentant pas très bien hier au soir, ma fille et moi-même avons décidé de lui faire un petit soin énergétique, soin qui aura été sa porte de sortie puisqu'il a émit son dernier souffle à ce moment là. Malgré ma tristesse je suis heureuse que nous ayons pu l'accompagner ainsi jusqu'à la mort (l'âme hors). Son chemin de vie devait prendre fin ce soir là, c'est ainsi.

Suite à son décès assez inattendu, mes oreilles ont commencé à siffler bruyamment (acouphènes), je sais que lorsque ça se produit cela signifie qu'un être désincarné tente d'entrer en contact avec nous. Mes oreilles ont ainsi sifflé toute la nuit sans répit. Comme je n'ai pas réussi a communiquer avec Ezra, je lui ai demandé de passer par mes rêves pour me faire passer ce qu'il avait à me dire. Nuit mouvementée en effet, rêve oublié à mon réveil mais qu'importe, tout se passe d'âme à âme, mon petit Moi n'a pas besoin de tout savoir.

Ce matin, j'hésitais encore entre aller enterrer Ezra où le déposer chez le vétérinaire en vue de son incinération. Mon choix s'est porté sur l'enterrement, alors nous nous sommes tous préparés, mes 4 enfants, mon compagnon et moi, pour accompagner Ezra jusqu'à sa dernière demeure. Une fois dans l’ascenseur, arrivés au rez-de-chaussé, nous avons entendu un énorme bruit, puis, plus rien. L’ascenseur s'est stoppé, les portes restant fermées. Nous avons essayé en vain de les débloquer... Nous nous sommes donc retrouvés tous les six, avec le corps d'Ezra, coincés dans l'ascenseur, situation tout à fait irréelle. Cela fait 13 ans que je vis ici, c'est la première fois que je reste bloquée dans mon ascenseur !

Nous avons alors fait le nécessaire pour alerter le technicien, qui nous a annoncé qu'il nous fallait attendre 30 minutes avant que l'on vienne réparer l'ascenseur. Nous avons, par conséquent, patienté dans cet espace plus que restreint, avec notre chat décédé, drôle de situation n'est-ce pas...

J'ai saisi immédiatement un signe dans cette situation. En discutant par message avec mes sœurs et ma mère, nous en sommes toutes arrivées à cette même réponse : Ezra ne veut pas être enterré ! Car, je le rappelle, nous sortions dans le but d'aller l'enterrer.

Rien n'arrive jamais par hasard ne l'oublions pas.

Les 30 minutes se sont paisiblement écoulées, le technicien nous a délivré et nous avons immédiatement changé nos plans : direction le vétérinaire.

Ezra sera donc incinéré, comme il nous l'a fait comprendre, avec ses moyens à lui.

Je ramènerai ses cendres à la maison, je ne sais trop encore pourquoi, mais je sais au fond de moi que tout cela a un sens. La réponse me sera sûrement donnée plus tard, je ne m'y attarde pas pour le moment car ce n'est pas encore l'heure. Si je cherche à tout prix une réponse, je ne serais pas dans l'accueil, je laisserais alors mon ego me construire une réponse de toute pièce, réponse qui lui conviendra et qui sera loin de la vérité. Je préfère laisser mon cœur me souffler par d'autres signes, messages, rêves, sentiments, pourquoi ces cendres doivent me revenir.

Nous sommes évidemment triste de son départ, mais nous comprenons que sa mort est une transformation. Ezra s'en va sur un autre plan, il nous accompagnera différemment. J'ai profité de cette expérience, ce deuil, pour expliquer à mes enfants qu'Ezra ne disparaissait pas à jamais, chaque fois qu'ils penseront à lui celui-ci le ressentira, et que la porte de la communication est celle du cœur. La douleur est normale, la tristesse aussi, car il faut apprendre à vivre sans l'être disparu, sans sa présence physique. Mais, si on tend l'oreille, on perçoit encore son murmure via des signes, des synchronicités, des messages. 

D'ailleurs, une fois rentrée à la maison j'ai consulté mes mails et suis tombée sur une demande d'informations pour un soin animal, pour un chat précisément, issu d'un sauvetage, tout comme Ezra le fût. Sachant que les commandes de soin pour chat sont assez rares, j'ai saisi le petit clin d’œil d'Ezra, toujours là à sa façon... Merci.

Maintenant, je vais me mettre à la place d'une personne vivant uniquement dans la matière, cartésienne et fermée au monde invisible :

Le décès de son chat serait triste, très triste, car brutal. Elle se dirait que la vie est injuste, que la mort est injuste, elle se sentirait sans doute désarmée et peut-être en colère. Beaucoup de questions se présenteraient à elle, beaucoup de "pourquoi" sans réponse. Son mal de tête et les sifflements dans les oreilles seraient mis sur le compte de la tristesse, et sa nuit mouvementée sur le compte de la douleur au cœur.

Le lendemain, coincée dans l’ascenseur avec le corps de son chat entre les mains, elle crierait à la malchance. Elle se demanderait ce qu'elle a fait pour mériter tout ça, elle trouverait que le sort s'acharne sur elle ! La peine monterait d'un cran encore. 

Puis, comme convenu elle irait enterrer son chat.

Elle rentrerait le cœur empli de tristesse. 

Ensuite, elle consulterait ses mails et tomberait sur ce message parlant d'un chat qui a besoin d'un soin. Elle fondrait en larmes en se disant qu'elle a vraiment une poisse incroyable et que tout se ligue contre elle aujourd'hui...

Elle vivrait un deuil difficile, sans comprendre cette expérience. 

Ceci est exactement le comportement que j'aurais eu il y a 4 ou 5 ans...

A contrario, si je me mets à la place d'une personne qui manque cruellement d'ancrage le résultat serait encore bien différent :

Cette personne ne serait pas assez dans le ici et maintenant pour percevoir la douleur liée à la perte de son chat. Alors, cette personne ne pourrait accompagner ses enfants dans l'épreuve, car elle ne verrait "que" la leçon qu'ils doivent retenir de cette expérience.

Ne comprenant pas encore pourquoi elle doit garder les cendres de son animal (car elle a bien saisi que la panne d'ascenseur était un message), elle resterait focalisée sur la recherche d'une réponse, elle en oublierait presque ce qu'elle est en train de vivre, car cette réponse elle la veut à tout prix, maintenant.

Ne parvenant pas à se brancher sur les énergies telluriques, cette personne ne parviendrait pas à se ressourcer convenablement, elle perdrait donc facilement son énergie jusqu'à parfois divaguer et tenir des discours qui dépassent l'entendement.

Elle chercherait des réponses à tout, sans s'arrêter, jusqu'à en oublier d'accueillir la Vie, sa vie, elle serait partout sauf dans le moment présent.

De plus, elle verrait le deuil comme une simple expérience jusqu'à s'interdire d'avoir des émotions. Son corps errerait dans la matière et son esprit ailleurs, loin d'ici. Elle ne vivrait donc pas ses expériences correctement car elle serait trop focalisée sur l'aspect invisible de la vie.

 

Alors pour conclure, il faut comprendre ceci : chaque expérience possède une portée spirituelle car tout n'est qu'énergie, du plus petit caillou à l'immensité du ciel bleu, de la matière à la lumière.

Les leçons spirituelles se trouvent dans le vie de tous les jours, et chaque expérience nous offre la possibilité d'évoluer, MAIS, il est important pour saisir le sens de la Vie de rester ancré, de ne pas chercher absolument une réponse à tout jusqu'à en oublier le moment présent. En effet, il faut apprendre à aimer les grands mystères de la Vie, accepter de ne pas avoir réponse à tout, pour ainsi passer de la recherche à l’accueil, car on ne cherche pas la vie on l'accueille, nous vivons tous dans le ici et maintenant.

Il n'existe pas de séparation entre vie quotidienne et spiritualité puisque tout ne forme qu'un, autrement il n'y aurait qu'un immense trou, le néant. Sans énergie il n'y a pas de matière, et sans matière il n'y a pas d'expérience, tout est à jamais lié, alors donner plus d'importance à la matière ou la lumière créé un sacré déséquilibre. La solution est de ne pas aller dans les extrêmes en s'isolant dans la vie terrestre, ou en se réfugiant dans le monde de l'invisible. 

Il faut trouver le juste milieu, celui qui transforme le monde visible et le monde invisible en un Monde Un Visible, et le changement est de taille. Car lorsque la matière se lie avec la lumière, la sagesse entre dans les cœurs et fait de la vie une expérience encore plus grandiose et unique.

Alors entrons tous dans ce merveilleux monde, celui du milieu, celui de l'Un Visible.

De douces pensées pour mon beau Ezra... <3

20:02 Publié dans Emotions | Lien permanent | Commentaires (2)

26/03/2017

... j'ai tricoté avec mon fil rouge

Jusqu'à présent, j'utilisais le même terme pour désigner les émotions et les sentiments, mais, au fil de mes expériences je me suis aperçue qu'il existait une différence significative entres ces deux mots. 
 
Je vais donc approfondir ces deux notions. 
 
Commençons par les émotions. 
L'émotion est une réaction passagère, c'est une énergie qui vibre très vite, elle est très bruyante puisqu'elle s'accompagne de divers maux visibles, immédiats et assez violents tels que des tremblements, de la transpiration, des contractions, des rougeurs ou au contraire des pâleurs, des évanouissements... En principe, une émotion devrait simplement nous traverser le corps, être un moment bref, un passage.
 
Cela devient problématique lorsque l'on refoule ses émotions, car cela revient à les garder EN soi, c'est à ce moment précis que celles-ci se transforment en poison.
 
Une émotion est un message important qui nous informe que nous devons agir ici et maintenant.
Par exemple, si je traverse la route et qu'une voiture manque de me renverser, une émotion de peur va m'envahir, émotion qui me fera agir pour éviter de me faire percuter. L'émotion a été une indication d'un danger immédiat et me permet de réagir à temps. Lorsque l’événement est terminé, l'émotion va peu à peu se dissiper. Mais, si je m'accroche à l'émotion, bien après que l’incident soit clos, en ressassant ce qu'il s'est passé, en ressentant de la colère contre le conducteur, de la culpabilité contre moi même, etc, mon corps reste sous tension, sous pression, puisque l’émotion y siège encore, et c'est à ce moment là que l'émotion devient un poison qui va se cristalliser en moi jusqu'à devenir un sentiment. 
Tel un email, le message porté par une émotion doit être accepté, lu, compris pour qu'on puisse y répondre, puis jeté à la poubelle car nous n'en avons plus besoin. 
Une émotion ne se vit que dans le moment présent, bien qu'elle trouve écho dans nos expériences passés.
 
Par ailleurs, l'émotion étant une énergie, nous pouvons l'utiliser à des fins créatives, et même dans un but évolutif, en alimentant notre corps en émotions positives.
Par exemple, si je nourris mon corps de joie en me remémorant un événement heureux, et que je me mets ensuite à dessiner, cela ressortira dans mon illustration. Mon émotion de joie deviendra un moteur créatif.
Une émotion demande à être canalisée afin d'être utilisée à bon escient.
 
Pour cela, écoutons ce qu'elles ont à nous dire, lisons le message qu'elles contiennent. Que me dit ma colère ? ma peur ? ma tristesse ? Puis, répondons à ce message et n'y pensons plus. C'est fait !
 
Les émotions de peur siègent dans notre chakra racine (avoir les jambes en coton), celles de tristesse dans notre chakra sacré (avoir la boule au ventre), celles de colère dans notre chakra plexus (bouillonner de colère) et notre chakra gorge ( resté en travers de la gorge), liste non exhaustive. 
 
Passons aux sentiments.
Un sentiment est une affection de longue durée, bien installée en nous. C'est quelque chose de plus intime, plus silencieux, plus discret. Le sentiment est directement lié à notre histoire personnelle, à nos blessures.
C'est comme un fil rouge, et plus ce fil est solide plus des émotions peuvent s'y accrocher et y former des nœuds. Nœuds émotionnels qui plus ils sont entretenus par nous même lorsque nous refusons d'exprimer, de libérer nos émotions, plus ils prennent de la place jusqu'à créer des maux et malaises. Sentiments et émotions sont ainsi liés, le sentiment est le fil, l'émotion le nœud. 
 
Le sentiment est silencieux, on ne le remarque que rarement contrairement à l'émotion, car il est bien souvent ancré en nous depuis notre petite enfance. Il est lié au passé et très subjectif. Quand il est chargé en vibrations négatives, le sentiment nous fait souffrir durablement, à petit feu. 
 
Nos sentiments nous tiennent enfermé dans un passé révolu et figé, ils déforment ce qui est, ils sont tels des miroirs déformants qui nous projettent une image exagérée et cornue. 
 
Si je reprends mon exemple de traversée de la route, si je ne digère pas l'incident et y repense souvent j'entretiens l'émotion de peur, elle va alors rester dans mon corps, dans mes énergies, et grossir jusqu'à former un nœud qui ira se poser directement sur mon fil de l'inquiétude. Ainsi, plus je serais traversée par des émotions de peur dont je ne parviendrais pas à me libérer, plus mon fil de l'inquiétude sera nourri et présent, et plus un sentiment d'inquiétude de la vie en général m'habitera. Je serais alors une personne anxieuse, stressée, peu confiante. Et plus ce fil de l’inquiétude sera présent, plus il deviendra un véritable filet dans lequel les émotions de peur seront retenues et piégées, ainsi est la spirale infernale, c'est le serpent qui se mord la queue. 
 
Pour mettre fin à cela, il est bon de mettre en lumière les émotions que nous avons tendance à garder en nous, et quels sentiments celles ci nourrissent.
 
Les sentiments siègent dans notre chakra cœur (en avoir gros sur le cœur). 
 
Le sentiment positif primordial est celui du beau et du sublime, il est lié à l'amour inconditionnel, c'est un sentiment de paix profonde, d'amour et de gaieté. Ce sentiment du beau, ce fil rouge, est alimenté par nos émotions de joie
Seulement, nous sommes plus souvent sujets à des émotions négatives, alors nos sentiments lourds voilent la lumière qui nous entoure. Un travail intérieur permet de tirer ce rideau afin d'apercevoir la beauté qui réside en ce monde, en chacun de nous, en chaque espèce, car elle est absolument partout, la Vie est sublime et n'est que perfection.
Se rapprocher du beau, du sacré, du divin est notre plus belle ascension, car cela défait les filets dans lesquels nous nous emprisonnons. 

19:46 Publié dans Emotions | Lien permanent | Commentaires (0)

04/06/2016

... j'ai pris de la mélisse

Tout comme le flux de la vie, qui n'est que va-et-vient énergétique, les émotions fonctionnent sur ce même principe universel.

Cela débute par une émotion absorbée, puis, celle-ci est stockée dans le corps et ses mémoires, pour par la suite être relâchée dès qu'une porte de sortie s'ouvre (la clé de cette porte étant une expérience qui nous permet de revivre l'émotion). Notez ce mouvement qui ressemble à un cœur qui bat.
 
La source d'une émotion est lointaine et remonte bien souvent à notre enfance, période durant laquelle nous ne trouvions pas les mots pour digérer (dit-géré) nos émotions négatives, nous les avons donc avalées telles quelles, pour les retenir quelques années en nous. Mais, les émotions négatives retenues ainsi sont indigestes, alors, elles créent peu à peu des maux. Puisque les mots nous manquaient pour nous libérer durant notre enfance, les émotions choisissent alors les maux comme porte de salut.

Ainsi, des remarques dévalorisantes pourront créer chez certains des angines à répétition, ou encore, des situations angoissantes pourront donner naissance à une crise d'appendicite pour d'autres. Les émotions générées par ces expériences négatives s'inscriront dans les corps, et devrons être libérées d'une manière ou d'une autre.

Ces petites maladies et infections sont des portes qui laissent échapper le trop plein émotionnel qui nous habite. Nos maux (mots) et maladies (mal à dit) sont par conséquent de très bons indicateurs de nos peines et souffrances. Il faut noter que plus l'émotion reste ancrée et enfermée, plus la maladie peut être "grave".

Pour se libérer totalement d'une émotion négative, il est bon d'accepter sa présence en nous, la reconnaître, car on ne peut guérir ce que l'on refuse de voir. Lorsque celle-ci est acceptée et reconnue, nous sommes en droit de nous demander si nous y sommes attaché, et si oui pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si une émotion douloureuse nous habite, c'est qu'une partie de nous s'y agrippe. Car, contrairement aux grandes croyances, nous pouvons ici et maintenant décider de lâcher prise sur ce qui nous fait souffrir. Notre attention (mise en lumière de l'émotion) accompagnée de notre intention (désir de se libérer de l'émotion), ouvrent les portes vers la guérison.

Alors, qu'est-ce qui nous lie à nos émotions indigestes ?

Est-ce l'amour que l'on porte à nos parents, qui nous empêche parfois de remettre en question leurs enseignements, alors, nous avalons sans sourciller leurs paroles comme ci elles étaient la Vérité. Ainsi, des remarques désobligeantes de nos parents deviendront notre réalité, jusqu'à créer en nous souffrance et maux.

Est-ce le poids de nos institutions, qui parfois nous emprisonne dans une case, alors, comme on ne souhaite pas se faire remarquer, nous avalons la clé qui est si indigeste et restons enfermé dans notre prison.

Est-ce l'école, période durant laquelle nous avons éprouvé des difficultés, nous avons récolté des mauvaises notes, qui aujourd'hui nous font douter de nos capacités. Nous croyons alors être nul et bon à rien, nous ne pensons pas mériter un emploi correct, une vie satisfaisante, comme le disaient nos professeurs auparavant.

Dans tous les cas, un émotion négative est un étouffement de notre être dû à une non remise en question de ce qui nous a été imposé, de ce qui nous limite. Ce sont bien souvent des personnes tant aimées, des institutions si respectées, qui nous causent autant de douleur, car nous les avons trop idéalisées !

Aujourd'hui, mettons fin à cette idéalisation, comprenons que c'est à nous seul de décider qui nous sommes réellement, nul poids ne devrait peser sur nos épaules, que ce soit celui de nos parents, celui de nos écoles, celui de notre gouvernement. Nous sommes des êtres libres et égaux, reprenons les rênes de nos vies et appliquons la désobéissance intelligente.

Aujourd'hui, il est temps de digérer, de respirer et se libérer.

La méthode Ho'oponopono peut-être un allié précieux durant ce travail de purification intérieur. Pour cela, dès qu'une émotion approche, il suffit de dire ces 4 mots libérateurs, car n'oublions pas que les mots chassent les maux, que le verbe est créateur, il peut blesser (comme dans les exemples ci dessus) et par conséquent il peut aussi libérer :
"- Désolé
- Pardon
- Merci
- Je t'aime"
Ces mots ont une puissance qui leur est propre.
 
Une petite explication de cette méthode : "désolé" car je reconnais le conflit qui m'habite et me peine, "pardon" à moi même et à ceux qui m'ont causés cette émotion, "merci" d'avoir réveillé cette émotion afin que je m'en libère, "je t'aime" pour envoyer une énergie d'amour et de paix afin de nettoyer à jamais la mémoire.

12:04 Publié dans Emotions | Lien permanent | Commentaires (1)