Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/12/2014

... j'ai eu confiance en moi

Aujourd'hui, je viens avec un petit article sur les doutes, NOS doutes. En effet, je constate que le principal obstacle que rencontre les gens sont ni plus ni moins que leurs propres doutes :)

 

Nous sommes nombreux à douter, que ce soit de notre potentiel, de notre chemin, de qui nous sommes (au final cela se rejoint)...etc. Mais, les doutes font partie de notre chemin, chaque doute qui s'installe nous montre des choses à dépasser.

Parfois ils nous freinent, parfois ils  nous boostent, ceci dépend de notre attitude face à nos doutes.

Choisissons-nous d'en être victime, de les laisser nous déstabiliser, de les laisser nous contrôler? Ou choisissons-nous de les dépasser, de prouver que nous sommes capable?

De cette réponse découle notre évolution. C'est une décision que nous sommes seul à pouvoir prendre.

Le doute apparaît lorsqu'un choix s'offre à nous. Immédiatement, face à ce choix,  notre égo va se référer à notre passé pour nous apporter la réponse qui lui semblera la mieux adaptée. Mais en piochant ainsi dans notre passé, nous aurons une vision erronée des choses, car notre passé contient nos traumatismes, nos expériences douloureuses..etc. Ainsi, les doutes peuvent avoir prise sur nous, par le biais de notre égo, et nous faire hésiter de la marche à suivre.

A ce moment, le doute peut devenir notre ennemi, un frein. Si nous décidons de laisser les incertitudes prendre le contrôle, et la peur nous envahir, l'évolution est au point mort.

Mais, nous pouvons également choisir de dépasser notre doute, de le transcender. Le doute peut ainsi servir d'impulsion, de moteur. Même si notre égo nous inonde d'incertitudes, nous pouvons choisir de sortir de notre zone de confort.

En dépassant nos doutes, nous NOUS dépassons. De ce point de vue, les doutes peuvent être un cadeau, ils nous permettent de nous remettre en question, de nous faire grandir, de confirmer notre place.

A chaque doute transcendé, un peu plus de confiance nous gagne.

Chaque incertitude peut devenir une marche qui nous élève sur notre chemin de vie, et c'est à nous de décider d'emprunter cet escalier Une confiance ainsi acquise, ne peut être perdue.

Le meilleur moyen de chasser un doute est d'OSER !

Allons-y, osons, fonçons, tentons, essayons, agissons.
Ne stagnons plus dans notre féminin sacré, celui de la réflexion; et entrons dans notre masculin sacré, celui qui ose. Équilibrons ces deux parties de nous.

Puis, le jour viendra où les doutes se feront plus discrets, ils n'auront plus d'utilité sur notre chemin car nous saurons qui NOUS SOMMES. Ce jour, je l'appelle le jour de la RÉSURRECTION.

09/09/2014

... j'ai écouté les cités d'or

Cette nuit mes guides m'ont réveillée à 3h33 (ça ne s'invente pas), avec une proposition d'exercices visant à libérer notre enfant intérieur.

Je la partage ici:

Notre enfant intérieur c'est notre joie, notre légèreté, notre spontanéité, l'amour que nous ressentons...c'est tout simplement notre envie de vivre.

La plupart du temps, notre enfant intérieur est blessé et en souffrance, car nous avons du essuyer, à plusieurs reprises, tout au long de notre existence, des critiques, blâmes, rejets etc.

Ces expériences ont fait peur à notre enfant intérieur, qui s'est recroquevillé dans sa petite caverne (ventre) pour ne plus en sortir, ou très peu. En effet, il se sent bien entre notre chakra plexus (qui lui apporte une forme de bouclier) et notre chakra sacré (qui lui apporte de la douceur).

Seulement, suite au cloisonnement de notre enfant intérieur, a également disparu notre joie de vivre, notre entrain, notre curiosité, a divers degrés selon les individus. La disparition de cette joie de vivre a laissé la porte ouverte à l'égo qui a imposé ses règles, et pris le contrôle, en refusant tout ce qui est nouveau car cela fait peur, en se référant constamment au passé car cela le rassure, en rejetant tout ce qui est au-delà de notre zone de confort car cela lui est inconnu, tout cela afin de protéger notre enfant intérieur. C'est donc à nous de reprendre notre place, de calmer notre égo et de tendre la main à notre enfant intérieur.

Notre enfant intérieur à simplement besoin de se sentir aimer, respecter, exister, tout comme n'importe quel enfant. Il a besoin d'amour inconditionnel pour se sentir être.

Voici quelques exercices qui cajoleront notre enfant intérieur et amèneront à sa libération:

Il faut tout d'abord reprendre contact avec lui et lui dire à quel point on l'aime. On peut utiliser la méthode Ho'Oponopono  (désolé, pardon, merci, je t'aime) qui s'avère très efficace.

Puis, nous pouvons également se remémorer notre enfance et ses moments merveilleux, car il y en a beaucoup.

- Qu'écoutiez-vous étant enfant? Quelle musique vibrait en vous? Dès qu'un titre vous vient, écoutez-le, fermez les yeux et revivez ce moment comme vous le faisiez enfant, ainsi vous vous relierez à votre enfant intérieur.

- Qu'aimiez-vous comme saveur enfant? Une pâtisserie, un plat? Faites vous plaisir et mangez à nouveau ce plat. Dégustez-le en vous transportant à l'époque où vous étiez enfant, lâchez-prise et remémorez-vous ce doux passé.

- Quelle senteur vous transportait enfant? Un parfum, un fruit, une odeur de papier ? Procurez-vous cet objet ou arôme, sentez, vibrez, rêvez, comme quand vous étiez plus jeune et sentiez pendant des heures votre doudou adoré.

- Quel lieu vous rappelle de merveilleux moments de votre enfance? Si vous pouvez vous y rendre, allez-y! Si vous ne le pouvez pas, regardez des photos de ce lieu sur le net, projetez-vous à cet endroit, rappelez-vous à quel point plus jeune vous vous y sentiez bien.

- Quels dessin animé ou série regardiez-vous enfant? Regardez quelques épisodes, ou simplement les génériques, vous revivrez instantanément vos anciennes émotions de bien être, cela fonctionne très bien avec les génériques de dessin-animé.

Avez-vous gardez votre doudou? des photos de moments agréables? des anecdotes à partager?

Les activités artistiques et manuelles sont également de très bons procédés pour libérer son enfant intérieur.

Il existe bien d'autres exemples comme ceux proposés, alors n'hésitez pas à replonger dans ces merveilleux souvenirs, en particulier tout ce qui concerne les sons et les odeurs, qui sont des thérapies très puissantes.

Il ne s'agit pas là de vivre dans le passé, mais simplement d'exercices qui vont permettre à l'enfant intérieur de se dévoiler, de sortir de sa caverne, de se sentir apaiser, rassuré.

Une fois à nos côtés, on lui envoie tout plein d'amour, on pardonne toutes situations et personnes (dont nous même) qui l'ont maintenu enfermé, et on le garde libéré en continuant à se faire plaisir, à aimer, à s'amuser, à rire, à voir la vie à travers les yeux d'un enfant émerveillé.

Notre enfant intérieur ne demande qu'à être libéré :)

hoponoponof.jpg

08/08/2014

... j'ai dessiné un gremlins

L'égo, l'égo, l'égo... il est pénible, il nous inonde de doutes, de peurs, il pose des barrières à notre évolution. Mais qui est-il? J'entends par là comment le voyons nous ? On met souvent des mots dessus, mais finalement tout cela reste très abstrait. On nous demande de le calmer, mais où est-il et comment lui parler? Pas simple n'est-ce pas.


Voici une petite technique, toute simple et qui j'en suis sûre s'avèrera efficace (c'est mes guides qui le disent :)

Prenons une feuille de papier, un crayon et....dessinons votre égo !


Posons sur une feuille tout ce qui nous vient à l'esprit lorsque nous pensons à notre égo.
Personnellement je le vois comme un gremlins (suite à une métaphore de mes guides), et c'est resté ainsi, je l'appelle mon gremlins. D'ailleurs lui donner un petit nom n'est pas une si mauvaise idée, quand je dis gremlins c'est un nom affectueux car je le dis avec beaucoup d'humour. Car le but n'est pas de se battre, de résister, mais d'avancer main dans la main avec notre égo.
Lorsque votre dessin sera terminé (et ça risque d'être plutôt sympa comme résultat), cela vous permettra de mettre une image sur votre égo (même si c'est un dessin très abstrait, un animal, un cercle, un visage...etc).


Le fait de l'imaginer, puis le dessiner, va poser une intention très forte d'entrer en contact avec lui. Ainsi vous pourrez plus facilement lui parler, l'apaiser, lui expliquer qu'il n'a pas besoin de vous limiter comme cela, tout simplement l'apprivoiser. Le support papier permet une visualisation simple et rapide, cela focalise notre intention. Vous pourrez garder ce petit dessin, afin d'avoir toujours un oeil sur votre égo, et lui parler si besoin est, toujours en douceur.

Cela parait fou, mais cet exercice assez marrant nous permet aussi de laisser s'exprimer notre enfant intérieur, car c'est par ses yeux que nous imaginons notre égo, en effet l'égo a été créé pour protéger notre enfant intérieur, telle une mère qui met en garde ses petits sur les dangers de la vie.

Alors au boulot, et surtout amusons-nous, car le but de cet exercice est de s'amuser en créant, d'apporter un peu de légèreté à cette notion d'égo et ainsi s’apercevoir qu'il a tout simplement besoin d'être aimé :))

15:02 Publié dans égo | Lien permanent | Commentaires (2)