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25/05/2015

... j'ai coupé le mécanisme

Cette période est assez fatigante tant physiquement que moralement.
Les états de doutes et de fatigue résultent du non lâcher prise. Plus on s'accroche plus on s'épuise intérieurement et extérieurement, car s'accrocher revient à lutter. Lorsque l'on refuse le changement, cela créé une résistance.
N'oublions pas que nous sommes dans une période de métamorphose (met à mort le faux ose) intense, car la Terre entre dans une merveilleuse période d'ascension. Afin d'accompagner la Terre dans son évolution, nous ascensionnons également, nous devons donc intégrer des énergies de fréquence plus haute, cela remue à l'intérieur, et nos résistances forment des nœuds solides qui bloquent le flux de ces nouvelles énergies. Chaque nœud est à défaire, c'est pour cela que nous sommes mis face à des situations/personnes/expériences que nous redoutons.
Regarder les choses en face nous permet d'y mettre la lumière.
 
Mes guides me donnent l'exemple d'une grosse araignée sur un mur (j'ai peur des araignées cela créé un nœud), ils me disent que je peux tourner la tête et ne plus la voir, cela ne l'empêchera par d'être là sur le mur; Si je tourne la tête, elle ne sera simplement plus dans mon champ de vision, de plus tourner la tête me forcera a toujours prendre le même chemin pour ne pas m'en approcher, un mécanisme se mettra en place, je répèterais donc chaque fois les mêmes gestes, et je n'évoluerais pas de cette façon. Pourtant, si un jour je décide de ne plus tourner la tête, mon champ de vision s'élargira, car j'accepterais de regarder l'araignée en face. La regarder c'est l'accepter, en effet, on ne peut guérir quelque chose qu'on refuse de voir. Après avoir accepté et intégré sa présence, je pourrais, soit laisser l'araignée où elle est, car sa présence ne me dérange plus (acceptation totale de ce qui est), soit la déplacer en dehors de ma maison pour en être libérée(guérison) . Bien sur cela ne se fait pas du jour au lendemain, mais peu importe le temps que ça prend, le principal est de se libérer de cette peur.
 
Lorsque nous nous sommes libérés d'une peur, le nœud n'est plus, les énergies circulent librement, alors nous sommes plus légers et pouvons ascensionner.
Remercions nos expériences, elles sont un tremplin et non un frein.

11:19 Publié dans Evolution, Peur | Lien permanent | Commentaires (9)

11/05/2015

... le cauchemar est devenu réalité

Je vais vous parler de mon expérience douloureuse du week end, j'ai vécu mon pire cauchemar, je peux maintenant le dépasser :). Car l'expérimentation vaut tous les savoir.

En effet, samedi, mon fils a été percuté par une voiture qui roulait un peu trop vite. Cauchemar de tous les parents...
Je suis en état de choc suite à la nouvelle, mais immédiatement une voix intérieure me dit "il n'a rien, ne panique pas, il n'a rien".
Tous les gens autour de moi sont choqués, les amis de mon fils pleurent et hurlent. J'essaie de rester centrée avec toujours cette petite voix "il n'a rien!".
Direction l'hôpital Necker en SAMU pour des examens complets, prises de sang etc... Mes émotions font de temps à autre les montagnes russes entre mon ego qui voit une catastrophe et tous les soucis possibles, et mon cœur qui me répète qu'il n'a rien.
24h d'observations à l'hôpital, j'ai une foi immense, une foi qui peut ressembler à de la folie extérieurement, même si par moment les doutes m'assaillent.
Enfin le bilan tombe: il n'a rien!!!! Aucunes fractures, aucuns organes touchés, aucunes blessures, simplement des bleus, des égratignures.
Les médecins nous disent que c'est presque un petit miraculé.
Il sort de l'hôpital le lendemain, il va bien, il est solide et heureux de revenir à la maison :)
J'ai gardé foi en la vie, foi en ma voix intérieure, cela m'a permis de ne pas m'effondrer.
J'ai vu un élan de solidarité immense, les voisines, les amis de mon fils, des gens que je ne connaissais même pas, des cadeaux, et maintenant lorsque j'ouvre ma fenêtre je vois un coin de ville avec un cœur immense, des gens sur qui je peux compter, qui sont prêts à tout donner, j'en suis heureuse car auparavant je voyais une ville triste et grise, des habitants qui font la tête, qui ne se regardent pas...etc.
Parfois le pire révèle le meilleur.
Et comme il n'y a pas de hasard, j'ai compris pourquoi nous avons vécu cette expérience.
Lorsqu'il a été percuté, mon fils sortait d'un jeu placé en bordure de route. Dès son installation, nous avons tous crié au danger mais personne ne nous a écouté. Ce qui s'est passé était presque une évidence. Je n'en veux pas à la vie d'avoir choisi mon fils pour passer ce message, car je sais que mon fils est extraordinairement solide, tant physiquement que moralement, bien plus que d'autres enfants. Et surtout qu'il a une protection incroyable depuis sa naissance.
Cette expérience empêchera probablement d'autres accidents de ce type, car maintenant les choses vont bouger très vite, afin de sécuriser ce parc.
Alors gratitude à l'Univers, aux voisins, aux inconnus, à mon fils, car même dans les moments les plus pénibles la lumière est à nos côtés :)

11:40 Publié dans Foi | Lien permanent | Commentaires (5)

05/05/2015

... j'ai sauté la case prison

Quel lourd fardeau est la culpabilité, voyez comme il courbe le dos de celui qui le porte.
 
La culpabilité nous ronge de l'intérieur, elle nous consume, elle nous enferme.
 
C'est une punition terrible, que nous sommes les seuls à pouvoir nous infliger.
 
Nous sommes tous passés un jour ou l'autre par cette émotion dévastatrice. En effet, il est parfois arrivé que nos choix ne soient pas les plus judicieux, que nos paroles ne soient pas les plus gentilles, que nos pensées ne soient pas les plus lumineuses...et de le regretter par la suite.
 
Pourtant, la pire de nos erreurs est aussi une pierre de notre chemin, la plus noire des paroles a engendré un changement intérieur, car nous nous sommes dit "plus jamais"! Plus jamais nous ne nous comporterons ainsi.
 
Une erreur est un indicateur de ce que nous ne voulons plus recréer, il faut apprendre d'une "erreur" car elle nous sert à grandir.
 
Comme le disent mes guides: "oubliez l'expérience mais retenez la leçon".
Car penser sans cesse à l'expérience douloureuse revient à la revivre, et se punir. Plus on y pense, plus on aimerait créer une autre fin, et deux phrases nous suivent et nous poursuivent inlassablement: "Si j'avais"/"si je n'avais pas".

Ainsi est la culpabilité, elle se résume à cela: si j'avais, ou, si je n'avais pas.
Culpabiliser c'est vivre dans le passé, un passé dans lequel la peine et le reproche nous courbe le dos.

Or, ce qui est fait est fait, le seul remède à la culpabilité est l'acceptation.
 
Voyons nos "erreurs" comme un bon indicateur de ce que nous désirons être et du chemin que nous souhaitons emprunter. Elles ont donc leur utilité et en tirer des leçons c'est poursuivre notre évolution.
 
En revanche, culpabiliser est contre constructif. Cela ne nous élève pas, bien au contraire, culpabiliser c'est se punir, se détruire, c'est refuser ce qui est, par la même refuser un peu de qui nous sommes.
 
Car n'oublions pas que refuser notre passé, nos erreurs, c'est renier une partie de soi. Nos erreurs doivent être accepter pour être libérées.
 
Il est bien plus sain(t) de s'excuser du tort que l'on a fait que de culpabiliser sans fin.
 
Lâcher prise et accepter est la meilleure des attitudes à avoir. Aimons-nous assez pour nous libérer de ce poids énorme qu'est la culpabilité, et surtout pardonnons-nous, faisons la paix avec nous même.
 
Et si finalement il n'y avait pas d'erreurs mais simplement des opportunités...