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11/04/2019

... j'ai croqué la vie à pleines dents

Plus j'évolue plus je prends conscience de mes forces mais aussi de mes faiblesses, j'apprends à me connaître à travers mes expériences, mes échanges, les personnes qui traversent mon chemin.

J'ai beaucoup changé, je prends soin de moi, je veille sur mes émotions, j'entretiens une vie simple et harmonieuse, mais, il y a un seul point sur lequel je ne m'étais pas encore attardée, non pas que celui-ci ne m’apparaissait pas, mais simplement que je n'avais pas encore la force et la patience de tout bousculer.

Ce point noir est mon alimentation.

En effet, je fais attention aux produits que j'applique sur mon corps (plan physique), j'écoute mes émotions pour ne pas qu'elles m'envahissent (plan subtil), mais je ne filtre pas ma nourriture (pont entre le physique et le subtil).

Bien entendu, mon éveil a changé quelques unes de mes habitudes, je ne mange plus de viande depuis plusieurs années (à ce propos, contrairement aux croyances collectives on vit très bien sans consommer de viande), je remplace quand cela est possible le lait animal par du végétal, j'évite au maximum les médicaments, etc, mais, je mange très facilement des choses très polluées chimiquement et sucrés, comme des plats préparés, des sucreries, des sodas...

C'est assez incohérent je le sais bien, mais, comme je le dis tout le temps, on fait toujours au mieux.

Mon mieux du moment était de ne pas trop m'inquiéter de cela.

En effet, en tant que créateur de notre vie, nos pensées façonnent elles aussi notre réalité, ainsi, si à chaque fois que je bois un verre de soda je pense "ohlàlà je me pollue", et bien il est clair que je polluerai mon corps. Le but n'est pas de faire l'autruche non plus, mais simplement de ne pas accentuer les choses en y ajoutant des pensées négatives.

J'ai absolument conscience que mon alimentation n'est pas la plus bénéfique, mais, j'accepte de ne pas avoir réussi à m'en détacher pour un certain temps, sans culpabiliser. Et, finalement, les méfaits dus à mon alimentation n'ont que très peu de prises sur moi, puisque je ne m'accable pas de mes choix. Cela n'a pas empêché mon éveil, mon évolution et d'autres prises de conscience importantes.

Mais, petit à petit, l'idée de changer mes habitudes alimentaires a creusé sa place. Cela a mit du temps, mais tout arrive toujours a point nommé.

Il faut dire que je ne suis pas une grande cuisinière, et pour être tout à fait honnête je n'aime pas me retrouver aux fourneaux.

Mais, j'ai reçu ces trois dernières semaines divers signes à ce sujet, j'ai laissé cela germer jusqu'au moment clé du déclic : un message d'une jeune femme à laquelle je me suis immédiatement identifiée, qui s'articulait autour de notre façon de manger.

Alors, du jour au lendemain, j'ai décidé de cesser de consommer des choses à tendance négative pour aller vers de la nourriture dîte "vivante". Et cela m'a fait le plus grand bien ! J'ai commencé par une semaine complète, et finalement cela a été plus simple que je ne le pensais. Je ne dis pas que ma semaine a été 100% nature et pure, mais presque !

Ce qui est merveilleux, c'est que j'ai remarqué qu'en prenant soin de moi, de mon intérieur, les situations extérieures s'alignaient avec cela, ainsi, j'ai eu la joie de recevoir au beau milieu de la semaine un fabuleux soin énergétique de mon compagnon, qui, comme ça sur un coup de tête, a voulu me transmettre de belles énergies ! C'était la première fois que je recevais un tel soin de sa part, j'ai tout de suite mis cela en parallèle avec ma résolution de mieux me "nourrir", intérieurement et physiquement. On attire ce que l'on émet.

Suite à cette semaine de mieux-être, je suis tombée malade, deux jours, avec tous les symptômes de la grippe spirituelle. On l'appelle spirituelle car c'est avant tout une transformation énergétique importante. Cette grippe est une conclusion naturelle liée au changement que j'ai opéré dans ma façon de manger. Encore une fois l'Univers a répondu à ma demande de nettoyage intérieur.

Par ailleurs, malade, je ne me suis pas alimentée durant 24h, le jeûne étant le moyen naturel le plus efficace pour nettoyer son corps et ses cellules, j'ai compris à quel point tout était parfait !

Mon changement de nourriture avait préparé le terrain pour le jeûne et tous les bienfaits liés à cela.

En effet, on a tendance à penser que lorsque l'on tombe malade il faut manger, seulement, comprenons que la nature est bien faite, et que ne pas avoir envie de manger fait partie de l'intelligence du corps, il sait qu'il a besoin d'être purifié afin de repartir sur des bases saines. Bien entendu je ne parle pas de jeûne prolongé, mais simplement d'une pause d'un jour ou deux afin que le corps se débarrasse de toutes ses toxines, physiques ou subtiles.

Lors de cette courte période de grippe, mes rêves se sont transformés eux aussi, avec des souvenirs d'autres vies, ils sont devenus plus lucides et riches. J'ai réellement ressenti un changement énergétique, dans mon corps et mes idées.

A peine remise de cet état grippal, je n'avais qu'une idée en tête : couper mes cheveux !

Cela revenait sans cesse, si bien que j'ai répondu favorablement à mon envie. J'ai aujourd'hui 20 cm de cheveux en moins et c'est très bien ainsi.

Il faut comprendre que nos cheveux sont nos antennes, ils absorbent les énergies subtiles et les transmettent à tous nos corps. Le cheveu est le fil de l'âme, dans notre chevelure restent codées et parfois cristallisées nos expériences passées, de plus, nos cheveux pressentent les choses à venir. Couper ses cheveux est très symbolique, cela est synonyme d'un changement intérieur profond qui va se manifester également extérieurement par la coupe des cheveux.

D'ailleurs, les personnes qui refusent de changer de coupe de cheveux sont souvent des personnes très routinières, qui peuvent avoir peur du changement, ceci est très parlant évidemment.

Les cheveux possèdent une place importante dans notre processus d'évolution, il est bon de les observer, car leur état de santé nous parle.

Aujourd'hui il ne me reste que des douleurs de dos, là aussi ce n'est pas le fruit du hasard, le dos étant une porte de sortie de ce dont on n'a plus besoin, ce qui nous pèse. Les maux restent et resteront à jamais des mots.

Désormais, je ferai au mieux pour maintenir une alimentation équilibrée, sans pression, avec joie et amour. Je sais par avance que ce ne sera pas parfait tous les jours, mais je l'accepte car je fais au mieux et c'est l'essentiel.

06/04/2019

... j'ai changé de médecin

La science, pour être synonyme d'avancée et de progrès, doit être mariée à la conscience, autrement elle incarne ni plus ni moins que l'absence de sens.

Aujourd'hui, nous prenons un médicament pour un simple mal de tête, une angine, un nœud dans le ventre, et nous oublions de rechercher la cause, le mot qui se cache derrière les maux. Pourtant, tout a une raison d'être, et mon mal de tête m'indique une situation qui a trop duré, mon angine ce que je n'ose exprimer, mon nœud dans le ventre mon angoisse... Rien n'étant le fruit du hasard, chaque maladie qu'elle soit petite ou grande, est la conséquence d'un malaise que je ressens.
Certains vont dire que parfois on est simplement enrhumé car la période s'y prête, ce à quoi je réponds que non. Tout est une question de cause à effet.

Il est vrai que nous avons été conditionné à prendre des médicaments sans trop chercher à comprendre, depuis notre plus jeune âge, mais est-ce une raison pour perpétuer la chose ?

Personnellement, devant chaque maux j'ai le réflexe de rechercher la cause réelle, cela est devenu instinctif et me permet de véritablement me soigner. Prendre un médicament ne soigne pas la cause mais la conséquence du malaise, ainsi, cela repousse le mal simplement à plus tard.

De plus, la science va parfois trop loin, sous couvert de progrès elle tend à nous déconnecter de notre être, de notre corps, de notre intelligence.
En effet, nous laissons encore trop souvent la science penser et agir pour nous, sans mot dire.

Par exemple, l'arrivée de la pilule a certes libéré les femmes du risque de grossesse non désiré, mais, en parallèle, elle les a déconnectées d'elles mêmes, de l'écoute de leur corps et de leurs ressentis. Je ne parle pas ici de la composition de la pilule et de ce que cela implique... Mais, par facilité, on préfère regarder ailleurs et laisser un cachet décider de notre destin. Aujourd'hui, peu de femmes savent lire dans leur corps et saisir les périodes à risque de grossesse, et c'est bien dommage n'est-ce pas. Cette "avancée" n'a t-elle pas également fait reculer le lien avec notre corps ?

Aujourd'hui l'on souhaite vacciner contre tout et n'importe quoi, alors qu'il suffit encore une fois de se responsabiliser et de faire les meilleurs choix pour soi. Ce n'est pas un vaccin bourré de produits lourds qui met à l'abri, mais la nourriture que l'on consomme, l'hygiène de vie, l'accès à l'eau potable, la bonne gestion des émotions, le bon sens... Alors qu'aucune loi n'est votée pour interdire les poisons industriels et autres produits chimiques ajoutés à la nourriture, on adopte immédiatement 11 vaccins obligatoires, quel non-sens ! La science tente d'aveugler nos sens.
Le "progrès" réside-t-il dans le fait de faire pousser les cultures plus vite, de créer de la nourriture modifiée, de chambouler la nature, et ce peu importe les conséquences sur la planète et nos corps ? Ou encore l'évolution est-elle de créer chaque année des nouveaux vaccins agressifs sur lesquels nous n'avons encore aucun recul, nous devenons donc des cobayes puisque ces vaccins sont bien souvent à titre expérimental.
Ainsi la science devient une affaire d'argent avant tout.

Ce sont des exemples parmi tant d'autres.

A force de nous déresponsabiliser, avec notre accord évidemment, la science sans conscience nous éloigne de nous-même. Nos corps deviennent des sujets d'étude, des numéros, de simples contenants dont on analyse l'intérieur, mais aussi et cela devient dangereux, nos corps deviennent les propriétés d'autres que nous mêmes. La science sans conscience fait de notre humanité une ère de robots.

Lorsque j'étais enfant, j'avais des angines à répétitions, très douloureuses, alors, on a décidé de me retirer les amygdales. La médecine a traité la conséquence et non la cause, la cause étant qu'enfant je retenais trop mes émotions, jusqu'à me blesser intérieurement. Le plus étonnant, c'est que même après mon ablation des amygdales j'ai continué à avoir des maux de gorge très similaires à des angines ! Moins fréquentes, certes, mais les douleurs revenaient régulièrement. En effet, ce n'étaient pas mes amygdales le souci véritable, mais ma gestion des émotions. Par ailleurs, cette opération a eu pour effet de multiplier mes soucis dentaires, avec des caries et maux de dents à répétitions. La glande amygdale étant un filtre naturel et nécessaire, mes émotions se sont tout bonnement cristallisées ailleurs, dans mes dents, et plus violemment encore. Il faut comprendre que mon opération des amygdales ne m'a pas guérie, elle a simplement déplacé le problème ailleurs.

C'est pour cela qu'il est nécessaire de travailler sur la source du mal et non la conséquence. Et si la science ne le permet pas, c'est à nous de faire ce travail en amont.
L'heure est venue de nous reconnecter à nous-même ! Personne d'autre ne sait mieux que nous ce qui est bon pour nous.

Ecouter son corps, ses émotions, mettre en lumière ce que nous souffle la maladie, les maux, travailler sur la source pour mettre fin à la conséquence et non l'inverse, c'est cela la science en conscience, et ceci est aujourd’hui à notre portée, nous sommes capables de comprendre et apprendre, de prendre des décisions, de mettre en lumière nos besoins propres. Pour y arriver il est temps de reprendre notre place de créateur, de nous responsabiliser, afin de travailler main dans la main avec la médecine de demain. Cette médecine qui écoute le corps, le cœur et l'âme, celle qui ne divise pas mais au contraire relie.

En nous reconnectant à nous-même nous permettrons à la science en conscience de prendre la place qui est sienne. 

Lors de ma dernière visite chez mon médecin gynécologue, cette dernière a très fortement insisté pour que je prenne une pilule spécifique (alors que je n'y allais pas pour cela), j'ai refusé une fois, deux fois, puis trois fois ! Elle ne comprenait pas mon refus, j'ai simplement expliqué que je ne voulais pas de ces produits chimiques en moi, elle était abasourdie par ma réponse, elle a essayé de me convaincre en vain. Je suis repartie sans pilule, et je repartirai... chez un autre gynécologue, à l'écoute de mon être et de mes besoins. Une personne qui travaille avec conscience en ne m'imposant pas ce dont je ne veux pas !

Cette citation de Rabelais est si juste : "La science sans conscience n'est que ruine de l'âme"

04/04/2019

... j'ai eu mal

Tout ce que nous vivons et traversons, lorsque cela nous fait souffrir, nous indique que nous faisons fausse route. A contrario, lorsque cela nous met en joie nous sommes sur la bonne voie.
Chaque incident, accident, est un signal que l'on ne va pas dans la bonne direction, tout comme chaque maladie nous souffle que ne faisons pas les meilleurs choix, car toute souffrance indique que quelque chose ne va pas. 
 
Concernant la maladie, cela fait de plus en plus son chemin, les consciences s'ouvrent et l'on comprend que les maux sont des mots, que la maladie veut dire "l'âme l'a dit" et c'est merveilleux ! Mais, on a encore tendance à mettre les accidents dans la case fatalité ou malchance, pourtant, aucun accident n'est le fruit du hasard. Un accident est un cri du cœur lui aussi, et la souffrance qui en découle est une façon de dire que nous nous éloignons de ce qu'il y a de mieux pour nous-même.
 
Par exemple, si je pose ma main sur une plaque brûlante, la douleur m'indiquera que je dois retirer ma main au plus vite, la souffrance est un signal d'alarme, et j'y répondrai en ôtant ma main. Lorsque notre corps physique est affecté nous entendons bien mieux le message. Dans cet exemple il est évident que la douleur me dit "stop".
Malheureusement, lorsqu'il s'agit de notre cœur, de notre intérieur, les messages sont moins forts, plus intimes, ils sont comme des murmures, alors on ne le écoute pas, nous les entendons, parfois, mais sans vraiment y prêter attention. 
De plus, même lorsque nous ressentons véritablement nos guidances intérieures, y répondons-nous favorablement ? En n'écoutant pas nos envies véritables, nous nous mentons à nous-même, et ce manque d'honnêteté nous mènera automatiquement à des situations confuses.
 
Par exemple, si j'en ai assez de ma situation professionnelle, mon cœur me soufflera de changer de voie, mais, je préférerais peut-être faire la sourde oreille et me trouverais des raisons pour ne rien changer. En m'accrochant à cette situation qui me déplaît tant, je me sentirais probablement de plus en plus mal et mon emploi deviendra une véritable corvée, jusqu'au jour où surviendra un accident de travail. Je serais alors arrêtée, et cet accident sera un signal fort que la situation devenait tellement blessante intérieurement que je me suis blessée physiquement. A ce propos, le type de blessure sera une indication de ce qui me faisait souffrir, est-ce mon bras qui a été meurtri (inaction), est-ce mon genou (conflit avec l'autre), est-ce une maladie liée aux poumons (étouffement)... ? 
 
La blessure extérieure, plus visible que la souffrance intérieure, est une boussole à ne pas négliger, c'est le dernier recours de notre Moi supérieur pour nous dire de réagir. Dans un premier temps, la blessure nous permet de faire une pause salutaire, de se recentrer et réfléchir, puisqu'une blessure met la vie en "pause", pour par la suite prendre des décisions plus justes et adaptées à nos besoins et envies. Car, bien souvent, nous attendons que la souffrance intérieure se transforme en blessure véritable pour changer ce qui doit l'être.
 
Pourtant, nos émotions sont de merveilleuses messagères, une émotion positive indique que tout est parfait, une émotion négative signifie que quelque chose "cloche", elles balisent donc notre chemin, c'est pour cela qu'il est essentiel de les écouter. Mais, nous avons tendance à refouler nos émotions, on nous a appris à ne pas écouter nos émotions, un exemple parmi tant d'autres, enfant nous n'avions pas le droit de pleurer car cela faisait "bébé". La blessure survient après l'émotion désagréable à laquelle nous n'avons pas su répondre.
Aujourd'hui, nous-nous reconnectons peu à peu à nos émotions, c'est une bonne chose, mais il faut également y répondre.
Si je ressens une émotion négative face à une situation, je dois l'entendre, l'accepter, mais aussi faire en sorte de changer ce qu'il y a à changer, afin de m'en libérer. Autrement, l'émotion s'installera et pourra se matérialiser d'une manière ou d'une autre afin d'être écoutée.
 
En tant que créateur de notre vie, rien n'arrive jamais par hasard, toute expérience est projetée par notre intérieur, ainsi, plus on cultive la joie plus notre vie sera heureuse. Et plus nous laissons les émotions parasites nous habiter plus notre vie sera confuse.
 
Parfois, nous avons l'impression d'être réellement bloqué dans une situation, par exemple, nous pensons ne pas pouvoir changer d'emploi, même si selon moi nous avons toujours le choix dans la vie, si vraiment changer d'emploi paraît très compliqué, il est possible de transformer son regard sur l'expérience, comme l'a dit Lao Tseu : "les choses ne changent pas. Change ta façon de les voir, cela suffit". En effet, il existe du positif partout, alors, il est bon de mettre en lumière tous les points lumineux qui existent dans une situation afin de la rendre plus agréable et être moins à la merci des émotions négatives. On peut voir cela comme un défi, un jeu, un challenge, comme une nouvelle façon d'évoluer, et c'est très bien ainsi. Jusqu'au jour où nous serons prêt pour le changement, alors changement il y aura.
Mais, n'oublions pas que bien souvent il est plus difficile de lutter pour maintenir ce qui nous déplaît en place, que lâcher-prise et accueillir la nouveauté.
 
Ainsi, les accidents ne sont pas une fatalité, tout comme la maladie n'est pas une malchance. Tout cela est simplement une projection de ce qui réside en chacun de nous.
 
Une émotion est une boussole qui nous murmure le meilleur chemin, une blessure est un GPS qui prend le relais et nous dit que nous nous sommes trompé de voie. 

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