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18/02/2016

... j'ai aimé l'argent

J'aimerais parler d'un thème qui divise bien des gens : l'argent.

En effet, il existe deux croyances qui s'entre-choquent à ce sujet : l'argent c'est bien, l'agent c'est mal

Or, l'argent n'est en réalité ni bien ni mal, l'argent est un simple outil auquel on donne la polarité que l'on souhaite. C'est la manière dont on utilise l'argent qui nous définit, mais pas l'argent lui même, qui est une énergie, il peut même être un moteur, une ouverture.

Le système monétaire a été instauré pour faciliter les échanges entre personnes, et ainsi remplacer le troc. Ce n'est donc ni bon ni mauvais.

Avoir une vision négative de l'argent ne fait que l'éloigner de nous. Combien de personnes affirment que l'argent est "sale" et se retrouvent constamment en manque de ce même argent ? En trouvant l'argent négatif, ils refusent inconsciemment de l'inclure dans leur vie. Ou au contraire, beaucoup de personnes ne se trouvent pas assez "bien" pour mériter d'avoir de l'argent, alors ils n'en ont pas.

Ces croyances, bâties sur des idées fausses devraient être revues afin d'être transformées

En réalité, l'argent n'est pas "sale", nous méritons d'en avoir et vivre dans l'abondance.

Dans les milieux "spirituels", l'argent divise beaucoup. Certains clament que le savoir devrait être gratuit et disponible pour tous. Mais, n'oublions pas qu'il fût un temps, tous les grands sages de ce monde étaient remerciés et récompensés par des offrandes, de la nourriture, des vêtements... Il existait déjà cet échange, car l'échange c'est l'équilibre, lorsque les choses ne vont que dans un sens la balance n'est plus.

L'échange a toujours existé et c'est ce qui relie les gens entres eux. 

Je vais prendre un exemple pour illustrer cela :

Je propose des soins énergétiques, en échange de la somme de 30€. Je fais cela avec le cœur, et je sais que le receveur paye lui aussi avec le cœur car le soin est un moment agréable pour lui. De plus, lorsque la personne "donne", elle est en mesure de "recevoir". Si elle ne donnait pas à son tour le flux serait bloqué, l'échange au point mort. Nous parlons d'argent par praticité, mais un échange autre est tout à fait valable, il m'est arrivé de donner un soin en échange d'un bijou, ou encore d'une pierre, mais aussi d'un disque ou une création faite main. L'essentiel reste l'échange quel qu'il soit. Il existe bien entendu des cas dans lesquels le receveur ne peut vraiment pas donner, dans ce cas là je m'adapte, mais j'ai pu constater que cela révèle assez souvent un blocage important sur le fait de donner/recevoir. 

Si je proposais des soins à 80€, cela ne me ressemblerait pas, je m'éloignerais de qui je suis et du but que je me suis fixé. Il faut écouter son cœur et ses aspirations, afin de proposer des échanges équitables pour le plus grand bien de tous. C'est lorsque l'échange n'est pas correct, disproportionné, que l'on voit l'argent négativement, et qu'on le rejette. Car dans un échange inégal, là encore la balance ne penche que d'un côté.

C'est un exemple parmi tant d'autres, cultivons une vision positive de l'argent, voyons comme il aide bien des personnes à monter des projets merveilleux, comme il peut soutenir des idées, comme il peut débloquer des situations. Utilisé à bon escient c'est une belle énergie.

Il y a un juste milieu à tout, il existe donc une voie entre le "gratuit" et le "hors de prix", retrouvons cette justesse intérieure, révisons nos façons de faire, autorisons-nous et utilisons ce bel outil à des fins lumineuses.

Alors, l'argent n'est ni bon ni mauvais, il est et restera à jamais un échange, c'est à nous de lui donner la polarité que l'on désire.

19:52 Publié dans Abondance | Lien permanent | Commentaires (3)

06/02/2016

... J'ai retiré les bâtons de mes roues

Aujourd'hui, j'aimerais parler de l'auto-sabotage. C'est à dire de ces bâtons que nous déposons dans nos propres roues, de ces projets dont nous coupons les ailes avant même qu'ils ne s'envolent, de ces relations dont inconsciemment nous faisons en sorte qu'elles n'aboutissent pas... 
Cela paraît très étrange cet auto-sabotage, paradoxal, pourtant c'est assez courant, parfois nous tenons à nos échecs
 
Il y a bien sûr une explication assez évidente à cela : celle de la sous-estime de soi. Nous ne pensons pas mériter assez pour voir nos projets se concrétiser, alors nous nous auto-sabotons.
 
Mais, il existe aussi une explication bien plus subtile, insidieuse :
Notre peur du vide, donc de mourir.
 
Lorsque l'on a des projets, des envies, cela nous fait vivre, c'est comme un moteur à l'intérieur de notre corps. J'imagine que vous ressentez tous ces papillons dans le ventre à chaque nouvelle rencontre, cet enthousiasme devant chaque nouveau projet, cette envie de créer, avancer, évoluer qui donne des ailes. C'est extrêmement vivifiant, ce sont des sensations très "électriques". Dans ces moments là, on se sent vivant, présent, bien ancré dans le ici et maintenant.
 
La mise en oeuvre d'un projet est intéressante et enrichissante. Personnellement j'adore ça !
 
Mais alors, pourquoi saboter leur réussite ? N'espère t-on pas voir notre projet nous mener à quelque chose ? Et bien parfois non, parce qu'une fois un projet abouti, une fois que nous lui avons donné toutes nos énergies, qu'il nous a tant fait vivre, il devient "mort" si je puis dire, lorsqu'il est terminé il n'est plus. Un projet bouclé ne nous demande plus d'énergie.... Alors que cette énergie nous alimentait, donc nous maintenait en vie
En effet, les échanges énergétiques ne sont pas seulement des échanges entres personnes, ils sont aussi liés à nos désirs, nos envies, nos projets, nos soucis, nos problèmes. Lorsque l'on crée un projet, on lui envoie de l'énergie, et voir ce projet avancer, se façonner, nous donne en retour de l'énergie. Ce n'est que un va-et-vient énergétique, comme un cœur qui bat. Une fois que le projet a pris vie, il n'a plus besoin de nos énergies car il peut voler de ses propres ailes, alors d'un coup on se retrouve vide, seul.
 
Je vais prendre un exemple pour que ce soit plus clair:
Imaginons une personne confrontée à de gros problèmes d'argent, des découverts, des crédits ... C'est son quotidien, c'est ancré en elle. Cela la stresse, et elle passe beaucoup de temps à essayer de trouver des solutions à ses problèmes financiers. C'est un peu devenu un fil rouge: ne plus manquer d'argent. Ce fil rouge devient sa vie, et elle tient à sa vie, elle l'aime même. Pourtant, elle se plaint de cette situation, de ce manque d'argent. Après un travail sur elle même, cette personne se rend compte que si cela ne cesse pas, cela signifie qu'au final elle a quelque chose à y gagner. Alors, après ce travail intérieur, elle s’aperçoit que si elle parvenait à régler ses soucis financiers (qui sont d'ailleurs le principal de ses soucis), que lui resterait-il ? Rien... Plus rien contre quoi se battre, le vide, le néant. Finalement, oui elle tient à ses soucis car ses soucis lui donnent un but, une raison de vivre: s'en sortir. Par conséquent, moins elle atteint ce but, plus elle vit. Aussi longtemps ce projet de s'en sortir l’habite, plus longtemps elle se sent vivante. Dans le fond, elle a peur d'atteindre le but, son but, alors elle repousse l'arrivée à chaque fois, en se créant de nouveaux soucis financiers.
Atteindre c'est aussi perdre, et cela fait peur.
Elle doit donc travailler sur cette peur du vide, apprendre à accepter cela. Cela revient à accepter la mort.
 
Je pense que cet exemple est assez parlant.
C'est très difficile d'expliquer cela avec de simples mots, c'est une sensation intérieure, très subtile, mais aussi très fréquente. 
 
Nous sommes nombreux à nous auto-saboter, alors prenons conscience de cela car nous avons toutes les clés pour nous délivrer.

06/07/2015

... je suis devenue riche

Nous avons coutume de croire qu'il n'y a pas assez pour tous: pas assez de travail, pas assez d'argent, pas assez de nourriture, pas assez d'amour, pas assez de santé... Nous vivons dans cette croyance erronée, par conséquent nous vivons dans le manque.

Par ailleurs, le manque appelle le manque.

En effet, si nous pensons ne pas avoir assez, nous bloquons l'abondance. Par exemple, si nous recherchons l'abondance financière, mais que notre pensée racine est "il n'y a pas assez d'argent", l'entrée d'argent est bloquée car nous entretenons inconsciemment une idée de manque. Une idée de manque ne peut créer l'abondance, alors les finances ne seront pas bonnes, et parallèlement l'idée de manque entretenue et alimentée.

Pour mettre un terme à cette spirale, il est bon de changer nos croyances, et de remplacer la pensée de manque par une pensée d'abondance. N'oublions pas que nous créons notre réalité par notre façon de penser. En réalité, il y a assez de tout pour tous, et nous méritons ce qu'il y a de mieux. L'abondance n'est pas un rêve mais bien une réalité.

Et pour mettre fin à nos croyances erronées sur l'abondance, il faut accepter que nous ne possédons rien. Cela peut paraître contradictoire, mais ça ne l'est pas.

Accepter que nous ne possédons rien permet de ne pas s'accrocher à ce que nous avons. Car s'accrocher, que ce soit à l'amour, à l'argent, aux relations, aux biens... nous enferme et bloque le flux d'abondance. Imaginons un placard plein de vieux vêtements, si nous nous accrochons à ces habits, si nous les gardons tous, nous n'avons pas la place d'accueillir de nouvelles tenues, nous n'avons pas la place de les ranger. Dans ce cas, le flux est bloqué, la peur de perdre nos anciens vêtements nous empêche d'en recevoir de nouveaux, plus beaux, plus nombreux, l'abondance est donc au point mort.

Tandis que si nous décidons de donner, trier, troquer, partager, une partie de ces vêtements, il nous restera de la place pour en recevoir d'autres, l'abondance sera. 

Prenons un autre exemple, il existe encore de nos jours des pays qui meurent de faim, on pourrait donc penser qu'il n'y a pas assez de nourriture pour tous, mais ceci n'est pas la réalité. La réalité est qu'il y a assez de nourriture pour chaque Homme, mais que certains pays refusent de partager, et préfèrent détruire les denrées plutôt que les offrir. Le flux est donc bloqué, encore une fois "posséder" et "ne rien lâcher" fait barrage à l'abondance, car dans cet exemple la nourriture ne circule pas. Pourtant, l'abondance existe bel et bien car la Terre a de quoi nourrir tous ses Hommes et ses animaux.

Pour vivre dans l'abondance, il faut donc accepter de ne rien "posséder", mais de tout "avoir".

18:33 Publié dans Abondance | Lien permanent | Commentaires (8)