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07/01/2024

... j'ai perdu le nord

Notre planète est, et cela depuis un certain temps, soumise à de grands changements magnétiques, donc énergétiques.
Il faut comprendre que chaque modification du champ magnétique de la Terre impacte toutes les formes de vies terrestres, qu'elles soient végétales, animales ou humaines. D'ailleurs on remarque depuis quelques temps des phénomènes étranges, telles ces aurores boréales apparues à des endroits inhabituels, des incendies de plus en plus dévastateurs, des modifications du climat, etc, autant de preuves qu'une grande transformation est en cours, sous nos pieds et au-dessus de nos têtes. 
 
Seulement, ces perturbations, cette boussole extérieure qui s'affole, affecte également les êtres humains sur plusieurs niveaux, du corps à l'esprit. L'ancien monde se meurt et emporte avec lui des figures connues mais aujourd'hui révolues, les masques tombent et dévoilent l'obscurité qui jusque là restait cachée, et puisque tout revient définitivement à soi, l'on peut affirmer que notre lumière s'amplifie et dévoile les dernières parts d'ombre, afin de les transcender. 
 
Ainsi, l'ancien monde disparaît menant à une perte de repères inéluctable. En effet, comment se repérer lorsque la boussole extérieure n'indique plus le nord ? D'ailleurs ne dit-on pas perdre le nord quand on est perdu ? Et c'est littéralement ce qui se passe, on perd le nord. Pas tout le monde fort heureusement, les personnes les mieux alignées assistent à cette ascension sans être trop fragilisées et tourmentées.
Et, parallèlement, beaucoup d'autres se perdent, se cherchent, s'enferment dans des prisons pleines de croyances rassurantes, et tout aussi limitantes. Ainsi commence la scission entre l'ancien monde et le nouveau monde, elle a lieu ici et maintenant, devant nos yeux. L'effondrement de l'ancien monde est sans appel.
 
Notre seul et unique repère est désormais notre boussole intérieure, celle qui indique le cœur ! L'heure est venue de s'y relier et se laisser guider. Et pour cela il n'y a rien à faire, nulle chose à mettre en place, aucun édifice à construire, mais au contraire lâcher ce dont on n'a plus besoin ! 
 
Il n'y a pas à (se) guérir, mais lâcher ce qui rend malade, dès lors que l'on parle de guérison on se coupe de la santé.
Il n'y a pas à (se) changer, mais laisser tomber le masque qui empêche d'être soi.
Il n'y a pas à faire, mais à défaire.
 
L'année 2024 sera haute en couleurs, en révélations ! Et cela touchera tous les domaines, l'art, la culture, la santé, la politique, la spiritualité... Tout ce qui véhicule et prône des valeurs erronées et obsolètes est voué à disparaître. Seule la boussole intérieure montrera la voie, loin du vacarme extérieur dû à l'effondrement.
 

12/12/2023

... j'ai remercié mon père

Ce lundi 11 décembre mon père aurait fêté ses 70 ans. Je lui ai, à cette occasion, adressé une petite pensée, pensée qui m'a menée à rêver de lui cette nuit ! Certains affirmeraient que mon père est venu me faire un coucou, je dirais plus volontiers que ma pensée à son égard a créé un lien d'échange entre son Essence et moi.
 
Mais, mon rêve était confus, voire déplaisant, je me suis réveillée avec une sensation désagréable. Finalement, mon rêve était de la même teneur que les énergies de mon père lorsqu'il était vivant : pesant !
 
Celles et ceux qui me lisent depuis le début "connaissent" un peu mon père à travers mes écrits, un homme profondément gentil, mais noyé dans de terribles addictions. Ils le connaissent donc à travers l'image que je projette de lui, et cela n'est pas anodin car il y a là une réponse importante !
 
Depuis sa mort il y a 5 ans, nous avons souvent, mes sœurs et moi, croisé des gens sensibles parvenant à lire les énergies, et indiquant que celles de notre père étaient restées sur notre plan, et nous polluaient en nous amenant à traverser certaines difficultés. Il fallait donc chercher à se dégager de ce filet énergétique toxique, via des nettoyages et autres rituels.
Même si ces théories m'ont souvent laissée perplexe, nous sommes parfois, ma famille et moi, tombées dans ce piège de la facilité : nettoyer le dehors pour être au clair en dedans... mais cela reviendrait à dire que l'extérieur a prise sur nous, et ceci n'est pas ma façon de penser. 
 
Car ce dont je suis certaine c'est que nous créons tous notre réalité !
 
En effet, un mort ne peut vivre qu'à travers la mémoire d'un vivant. Dès lors que plus aucune mémoire n'alimente le souvenir d'une personne décédée, celle-ci s'efface à tout jamais pour retourner dans la Totalité. 
Par conséquent, une personne décédée porte en elle les énergies que l'on veut bien lui donner, et cette polarité passe par le souvenir que l'on garde d'elle. 
 
Si je garde en mémoire l'image d'un père aux énergies lourdes et empoisonnantes, il est certain que des personnes au sens aiguisés, type médium, verront cela et pourront affirmer que les énergies de mon père me polluent, ce qui serait une réalité puisque le fruit de ma création. Tandis que si je nourris en mon cœur un souvenir positif de mon père, en mettant en lumière ses qualités, en remarquant ses belles actions, en restant neutre quant à ses addictions, émaneront alors de lui des énergies positives, et cela sera également une vérité.
En réalité, ce n'est pas un nettoyage des lieux ou des énergies du défunt qui est demandé, mais un nettoyage du souvenir que l'on entretient de lui ! Nous sommes les seuls à avoir cette capacité de donner une polarité à nos expériences, nos rencontres, notre vie en règle générale, à travers nos pensées, paroles et actions. Nous créons à chaque pas notre réalité, tout vient du dedans pour s'exprimer au dehors  Assurément, si j'entretiens l'idée que mon père était toxique, maintenant qu'il est disparu je serais un relai créant des énergies en ce sens, car l'Univers, impartial, reflètera l'écho de ma voix.
 
Évidemment, il ne s'agit pas de m'illusionner en affirmant que mon père était un homme enjoué et serein, mais plutôt accepter le fait qu'il portait en lui tout un éventail d'émotions, bonnes et moins bonnes, sombres et lumineuses, comme cela est rendu possible dans ce merveilleux cadeau qu'est l'incarnation. Accepter et pardonner ce qui a pu être blessant, afin de réviser l'idée que j'ai de mon père encore aujourd'hui. C'est à moi, et à moi seule, de transformer son empreinte énergétique ! Nul besoin de rituels extérieurs à moi, c'est mon cœur que je dois nettoyer afin de transformer mon expérience. A ce moment là, les énergies lourdes de mon père cesseront de me hanter, dans tous les sens du terme. 
 
Anecdote rigolote venant sceller ma nouvelle compréhension : ce matin, en déposant mes filles à l'école, j'ai trouvé sur un petit muret un téléphone portable appartenant à un enfant, cela ne faisait aucun doute. En cherchant dans son répertoire pour prévenir un proche, je suis immédiatement tombée sur "Papa". J'ai donc téléphoné au papa de l'enfant, sans y réfléchir sur le moment, afin qu'il puisse récupérer le téléphone.
Joli signe, le muret incarnant un obstacle, le téléphone représentant un message à mon attention, et le "Papa" apportant la solution.
 
En définitive, ce n'est pas mon père qui me pollue, je me pollue seule à travers lui !
 

03/12/2023

... j'ai vidé mes poches

Je remarque que, bien souvent, on se demande ce dont on a besoin pour évoluer. On cherche ce que l'on ne trouve pas en soi. On travaille à combler nos failles ...

Et si on se trompait ? 

Et si, pour évoluer, il n'y avait rien à trouver mais tout à lâcher ! Oui, lâcher tout ce qui empêche d'être soi-même. 

Lorsque l'on fait une randonnée, on ne s'arrête pas toutes les dix minutes pour ramasser un caillou et le mettre dans sa poche pensant que cela sera bénéfique pour notre avancée ! Au contraire, on se déleste, on retire les cailloux de nos chaussures afin d'avancer sereinement.

La vie est cette grande randonnée !

Si on cherche ce dont on a besoin pour évoluer, on alourdit nos poches de petits cailloux. De plus, être dans la recherche constante empêche d'accueillir la vie, cela revient à envoyer le message qu'il nous manque quelque chose pour "être", pour évoluer.

Par exemple, on ne cherche pas un gri-gri pour se protéger de la maladie, on veille simplement à ne plus entretenir la tourmente en soi, donc, on lâche les comportements nocifs vecteurs de la maladie.

On ne cherche pas à ouvrir son cœur, on ôte simplement la pierre qui le durcit.

On ne cherche pas à briller, on se défait simplement des jugements que l'on entretient sur soi-même.

Et ainsi de suite.

La question n'est pas ce dont on a besoin pour évoluer, mais ce dont on n'a plus besoin.