Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/07/2025

... j'ai croisé un pigeon voyageur

Une incroyable anecdote à vous partager

Hier après-midi, je suis allée visiter la basilique du Sacré-Cœur avec mes enfants. Un endroit magnifique, haut lieu de vibrations.
Petite parenthèse avant de poursuivre : je n'appartiens à aucune religion, je m’intéresse principalement à l’aspect vibratoire des lieux. D’ailleurs, certains édifices religieux portent des vibrations négatives.

Revenons-en à mon histoire. Arrivés devant l’entrée du Sacré-Cœur, après une incroyable ascension de plus de 200 marches, une religieuse est venue nous proposer une visite de la crypte. Il faut savoir que peu de personnes visitent la crypte ; le "hasard" a fait que nous sommes arrivés le bon jour, au bon moment. Symboliquement, une crypte fait le lien entre la vie et la mort.

Nous sommes donc descendus avec un petit groupe d’une vingtaine de personnes dans cet endroit mystique. J’ai pu ressentir de sacrées vibrations.
Durant la visite, la religieuse a demandé à mes deux plus jeunes filles — seules enfants présentes (mes trois aînés étant majeurs) — de distribuer de petites bougies à chaque participant.
Mes filles, incarnant la pureté de cœur due à leur jeune âge et à leur innocence, distribuaient la lumière à tous. Jolie symbolique pour illustrer l’importance de suivre la voie (ou voix) de l’enfant intérieur.

Ensuite, la religieuse nous a proposé de déposer la bougie sur un autel, en pensant à une personne décédée. J’ai donc eu une pensée pour ma tante Béatrix.
La visite de la crypte s’est terminée à 18 h, une messe commençait, alors nous sommes sortis de la basilique.

Quelques minutes plus tard, je reçois une fiente de pigeon sur le bras… berk ! Heureusement, une fontaine se trouvait à proximité. Je me nettoie, puis je regarde mes messages et m’aperçois que mon compagnon m’a envoyé une photo… d’un pigeon posé juste à côté de lui ! Mais plus encore : il m’a également envoyé la signification spirituelle du pigeon.
Exactement au moment où je recevais la fiente !
Sans le savoir, mon compagnon devenait mon messager, car recevoir une fiente de pigeon peut signifier — je cite — :

"Une communication sacrée, un petit clin d’œil venu d’en haut, comme si les dieux eux-mêmes avaient quelque chose à vous dire."

D'ailleurs n'utilisait-on pas les pigeons par le passé pour envoyer des messages ? Pigeons voyageurs.

Puis, ce matin, je regarde mes mails et découvre un message reçu la veille à 18 h 14, provenant de ma cousine. Elle est en train de construire un arbre généalogique et m’a associée à ma tante Béatrix, sa belle-mère.
En ouvrant le mail, je suis directement tombée sur une photo de ma tante, avec écrit au-dessus :

"Émilie, vous avez une correspondance avec Béatrix."

Correspondance peut signifier "correspondre", mais aussi "échanger par message".
Il faut savoir que ces trois signes se sont produits dans le même laps de temps  Fiente de pigeon, message de mon compagnon sur les pigeons, mail de ma cousine concernant ma tante Béatrix

Et surtout : tout cela quinze minutes après avoir déposé une bougie pour ma tante dans la basilique du Sacré-Cœur.
Que dire de plus ?

Ah si, une dernière chose : ma cousine — celle qui a fait le lien entre ma tante et moi sur l’arbre généalogique — porte le nom de famille Merlin. Oui, comme le grand mage enchanteur.
La vie est un enchantement !
J’ai reçu un joli coucou de ma tante.

Et vous, quels sont vos signes ?

14/05/2025

... j'ai écouté ma petite voix/voie

Tout a un sens, la vie ne travaille pas contre nous mais pour nous, car chaque expérience vient porter un message à notre attention. 
 
Les mauvaises expériences ne sont pas les conséquences d'un manque de chance ou d'une fatalité, elles sont le fruit d'un manque d'écoute intérieure.
En effet, face à un carrefour notre Essence connaît intuitivement la meilleure voie, et si l'on se refuse à écouter cette guidance intérieure pour finalement emprunter le chemin inverse, celui du contre-cœur, il est fort probable que nos futures expériences soient lourdes. 
 
Notre chemin est la somme de tous nos choix ou absence de choix, nous le traçons seconde après seconde. Plus l'écoute intérieure est grande plus le chemin sera fluide. 
Notre âme n'est pas venue expérimenter la douleur contrairement aux croyances répandues, la souffrance n'est que la conséquence d'un manque de cohérence. En effet, l'écoute de soi est souvent obstruée par d'anciennes mémoires, des croyances obsolètes, des blessures anciennes, résultent de cela des insécurités et peurs orientant inconsciemment nos choix. Et à mesure que l'on (ré)apprend à écouter notre cœur/présent, on se détache des drames/passé, et le chemin/futur s'allège. 
 
Le travail sur soi est toujours synonyme de lâcher-prise, lâcher la souffrance, les attachements néfastes, les blessures, lâcher tout ce qui n'est pas soi afin d'accueillir l'harmonie. Et ce travail ne peut se faire que par soi-même/m'aime, car, si une souffrance perdure c'est qu'une partie de soi la retient, alors l'Univers, tel un écho, renverra ces mêmes énergies de souffrance via des expériences. 
 
Oui, la vie ne travaille pas contre nous mais pour nous, elle dévoile ce que nous vibrons, afin de corriger ce qui doit l'être lorsque cela blesse. 

03/05/2025

... Dieu m'a donné la foi

Nous sommes tous traversés par des envies électrisantes, des projets vivifiants, des idées stimulantes, durant ces phases de félicité tout s'éclaire et la voie devient évidence, et notre voiture file à toute allure sur cette route de lumière... jusqu'à l'apparition d'un panneau de signalisation sur lequel est inscrit "vais-je y arriver ?", plus loin, un second panneau "suis-je à la hauteur ?", puis, un troisième "que va penser mon entourage ?"... 
Les doutes s'en viennent et tout s'emmêle. 
Les envies retombent, les projets s'effondrent dans le gouffre de la pensée, les idées s'éteignent. La route s'en retrouve plongée dans ne noir.
 
Ces doutes sont un peu nos compagnons de route, ils font un bout de voyage à nos côtés.
Plus tard, un nouveau passager s'invite dans la voiture : le courage. Car sans doutes, sans peur, le courage ne pourrait exister.
Alors tout recommence, les envies électrisantes se réveillent, les projets vivifiants se révèlent, les idées stimulantes s'éveillent, et la route s'éclaire à nouveau... jusqu'au prochain panneau de signalisation.
 
Et si c'était un jeu ? Un jeu de rôle bourreau-victime-sauveur, ces 3 maîtres du "je": doute-obscurité-courage. Assurément, si on n'aime pas douter on aime à se (sa)voir courageux. Finalement nous nous servons de ces drames pour (r)allumer la flamme/feu l'âme. Ainsi naît ce "je" de rôle/jeu de héros. 
 
Pourtant, en réalité la foi véritable n'a nul besoin de drames/de rames pour émerger, la foi est une absence de doutes et donc de courage, elle est merveilleuse/mère veilleuse, silencieuse, avec elle tout est limpide car évidence/Eve y danse.
 
Mais, conditionnés à toujours devoir nous battre dans la vie, sommes-nous vraiment prêts à baisser les armes et nous laisser porter par nos idées et envies ? A accueillir la vie sans mots dire/maudire ? 
 
En effet, on ne cherche pas à ériger sa foi, on ne recherche pas la lumière en soi, tout ceci est déjà là ; à contrario, on lâche tout ce qui empêche d'être soi et emprisonne la foi. 
 
Avoir foi n'est donc pas un travail de construction mais de déconstruction des croyances que l'on entretient. Ce n'est pas une brique que l'on pose mais une brique que l'on ôte.
La foi, la voie, la joie sont évidences ; le doute, la peur, la lutte sont créations.