... j'ai joué aux échecs

J'insiste un peu avec un nouvel article sur les épreuves, car une nouvelle perception peut être libératrice :)

Il faut savoir qu'il n'y a pas réellement d'épreuves, et comme le dit si bien Stephen R. Covey: "ce n'est pas ce qui nous arrive, mais notre réponse à ce qui nous arrive qui nous blesse".

En effet, la vie est une question de point de vue, nous pouvons choisir d'être blessé par une situation, tout comme nous pouvons décider que cela ne nous touche guère, ceci reste un choix qui nous appartient.

Comme le nom l'indique, une situation permet de nous situer. Alors où décide-je de me placer ? Dans la douleur ou dans la joie ?

Il n'y a pas d'épreuves imposées, il existe seulement des opportunités de s'élever.

Chaque pierre sur notre chemin, si grosse et encombrante soit-elle, est une pierre placée ici par notre âme. Rien n'est du au hasard, alors nous pouvons décider de trébucher sur cette pierre et tomber, ou encore nous pouvons décider de monter dessus pour prendre de la hauteur et voir encore plus loin.

Ce grand échiquier de la Vie que nous avons créé à notre attention, a déjà commencé sa partie, mais il l'a commencé dans une autre vie. C'est ce qui est le plus troublant, on continue dans chaque nouvelle vie une partie commencée dans une précédente, qui elle même a pris la suite d'une partie débutée dans d'autres temps.

Nous devons donc nous adapter à la partie en cours. C'est en ce sens que l'on voit des épreuves, car parfois les pièces ne sont pas positionnées là où on aimerait qu'elles le soient, et l'on oublie que c'est nous qui les avons posées là dans un autre temps.

Ainsi, un divorce douloureux dans notre vie actuelle, sera peut être une vraie libération karmique liée à un mariage forcé dans une autre vie avec impossibilité de partir. Ce divorce d'aujourd'hui pourra être perçu comme un échec (et mat), alors qu'il est un réel besoin de l'âme d'expérimenter cela ici et maintenant pour cicatriser la blessure d'un attachement forcé, d'un emprisonnement d'autrefois. Gouter à une liberté refusée auparavant. Mais le petit moi ne le sait pas, et peut vivre ce divorce comme une épreuve.

La vie est faite d'une multitude d'opportunités de s'alléger, d'évoluer.

Alors jouons sur ce bel échiquier, et acceptons que si nous nous souvenions déjà de la partie en cours, la victoire perdrait de sa saveur.

 

 

 

... j'ai coupé le mécanisme

Cette période est assez fatigante tant physiquement que moralement.

Les états de doutes et de fatigue résultent du non lâcher prise. Plus on s'accroche plus on s'épuise intérieurement et extérieurement, car s'accrocher revient à lutter. Lorsque l'on refuse le changement, cela créé une résistance.

N'oublions pas que nous sommes dans une période de métamorphose (met à mort le faux ose) intense, car la Terre entre dans une merveilleuse période d'ascension. Afin d'accompagner la Terre dans son évolution, nous ascensionnons également, nous devons donc intégrer des énergies de fréquence plus haute, cela remue à l'intérieur, et nos résistances forment des nœuds solides qui bloquent le flux de ces nouvelles énergies. Chaque nœud est à défaire, c'est pour cela que nous sommes mis face à des situations/personnes/expériences que nous redoutons.

Regarder les choses en face nous permet d'y mettre la lumière.

 

Mes guides me donnent l'exemple d'une grosse araignée sur un mur (j'ai peur des araignées cela créé un nœud), ils me disent que je peux tourner la tête et ne plus la voir, cela ne l'empêchera par d'être là sur le mur; Si je tourne la tête, elle ne sera simplement plus dans mon champ de vision, de plus tourner la tête me forcera a toujours prendre le même chemin pour ne pas m'en approcher, un mécanisme se mettra en place, je répèterais donc chaque fois les mêmes gestes, et je n'évoluerais pas de cette façon. Pourtant, si un jour je décide de ne plus tourner la tête, mon champ de vision s'élargira, car j'accepterais de regarder l'araignée en face. La regarder c'est l'accepter, en effet, on ne peut guérir quelque chose qu'on refuse de voir. Après avoir accepté et intégré sa présence, je pourrais, soit laisser l'araignée où elle est, car sa présence ne me dérange plus (acceptation totale de ce qui est), soit la déplacer en dehors de ma maison pour en être libérée(guérison) . Bien sur cela ne se fait pas du jour au lendemain, mais peu importe le temps que ça prend, le principal est de se libérer de cette peur.

 

Lorsque nous nous sommes libérés d'une peur, le nœud n'est plus, les énergies circulent librement, alors nous sommes plus légers et pouvons ascensionner.

Remercions nos expériences, elles sont un tremplin et non un frein.

... j'ai rebondi

Aujourd'hui un petit article mais ô combien important ^^

La vie est un cercle Sacré.

Il est essentiel de reprendre les commandes de sa vie, de devenir plus qu'un acteur: un être créateur.

- Lorsque nous sommes créateurs, les expériences nous servent à nous définir, a créer notre être, nous adoptons un point de vue nouveau face à chaque situation, ceci s’appelle l'évolution.
- Lorsque nous sommes dans la réaction face aux expériences, nous répétons inlassablement les mêmes choses, nous tournons en rond, et par conséquent, nous appelons à nous les mêmes expériences, l'évolution est au point mort.

Notre âme crée constamment les situations qui vont nous élever, chaque épreuve est une demande de l'âme, et bien souvent notre "petit moi" l'oublie. Ainsi, au lieu de prendre le relais et à son tour créer une réponse efficace face à la situation proposée par l'âme, le petit moi va piocher dans ses mémoires (mental) pour réagir de la même façon à chaque fois. Mais alors, les mêmes réactions vont appeler les mêmes expériences. Il est donc préférable de travailler en harmonie avec son moi supérieur en adoptant une position de créateur, et regarder chaque expérience, chaque épreuve avec un regard neuf. Il faut faire fi du passé, vivre chaque jour comme le premier jour de sa vie.

Voici un exemple de situation qui prouve que chaque instant de notre vie est une création ou réaction: si j'insulte mon voisin, je vais créer un conflit, ce conflit pourra même perdurer des années si je le souhaite. Alors que si je suis agréable avec ce même voisin, je vais créer une bonne entente de voisinage. Je décide de mon expérience selon ce que je choisis d'être. Dans tous mes choix, tous mes actes, tout mon quotidien, je créé  de la même façon mes expériences. Je suis un acteur, mais avant tout un créateur. Et si mon voisin m'insulte alors que j'ai été polie avec lui, je peux décider de réagir et être en colère, ou bien encore je peux décider que cela ne m'affectera pas, je suis la seule à pouvoir choisir l'attitude que je désire adopter, il n'y a de limites que celles de mon imagination. Encore une fois je crée ma réalité, car si je me mets en colère (égo) cela engendrera une nouvelle situation, et si je reste indifférente (moi supérieur) une autre situation. Je crée ma future expérience par mes choix du moment. C'est en ce sens que nous sommes tous des êtres créateurs, car je peux décider de réagir (en écoutant mon égo), ou de créer (en me ralliant à mon moi supérieur).

Comme le dit si justement Neale Donald Walsch: "Votre monde suivra l'idée que vous vous faites de vous mêmes."

Ce qui est merveilleux, c'est qu'une fois que l'on prend conscience de ce processus de création/réaction, nous pouvons transformer notre cercle fermé à notre guise en reprenant les rênes de notre vie, ainsi nous apparaît une nouvelle vision: le cercle n'est plus linéaire mais en 3D, il devient un ressort. Nous allons donc vers le haut du ressort, expérience après expérience, en créant ce que nous sommes par de nouveaux choix, nous ne passons plus par le mental en répétant les mêmes choses et en tournant en rond.

Nous créons, nous vivons, nous aimons, nous transformons. Nous dé-voilons notre être.

Alors vive la création, débridons notre imagination et avançons :)