14/05/2025
... j'ai écouté ma petite voix/voie
Tout a un sens, la vie ne travaille pas contre nous mais pour nous, car chaque expérience vient porter un message à notre attention.
Les mauvaises expériences ne sont pas les conséquences d'un manque de chance ou d'une fatalité, elles sont le fruit d'un manque d'écoute intérieure.
En effet, face à un carrefour notre Essence connaît intuitivement la meilleure voie, et si l'on se refuse à écouter cette guidance intérieure pour finalement emprunter le chemin inverse, celui du contre-cœur, il est fort probable que nos futures expériences soient lourdes.
Notre chemin est la somme de tous nos choix ou absence de choix, nous le traçons seconde après seconde. Plus l'écoute intérieure est grande plus le chemin sera fluide.
Notre âme n'est pas venue expérimenter la douleur contrairement aux croyances répandues, la souffrance n'est que la conséquence d'un manque de cohérence. En effet, l'écoute de soi est souvent obstruée par d'anciennes mémoires, des croyances obsolètes, des blessures anciennes, résultent de cela des insécurités et peurs orientant inconsciemment nos choix. Et à mesure que l'on (ré)apprend à écouter notre cœur/présent, on se détache des drames/passé, et le chemin/futur s'allège.
Le travail sur soi est toujours synonyme de lâcher-prise, lâcher la souffrance, les attachements néfastes, les blessures, lâcher tout ce qui n'est pas soi afin d'accueillir l'harmonie. Et ce travail ne peut se faire que par soi-même/m'aime, car, si une souffrance perdure c'est qu'une partie de soi la retient, alors l'Univers, tel un écho, renverra ces mêmes énergies de souffrance via des expériences.
Oui, la vie ne travaille pas contre nous mais pour nous, elle dévoile ce que nous vibrons, afin de corriger ce qui doit l'être lorsque cela blesse.
18:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
03/05/2025
... Dieu m'a donné la foi
Nous sommes tous traversés par des envies électrisantes, des projets vivifiants, des idées stimulantes, durant ces phases de félicité tout s'éclaire et la voie devient évidence, et notre voiture file à toute allure sur cette route de lumière... jusqu'à l'apparition d'un panneau de signalisation sur lequel est inscrit "vais-je y arriver ?", plus loin, un second panneau "suis-je à la hauteur ?", puis, un troisième "que va penser mon entourage ?"...
Les doutes s'en viennent et tout s'emmêle.
Les envies retombent, les projets s'effondrent dans le gouffre de la pensée, les idées s'éteignent. La route s'en retrouve plongée dans ne noir.
Ces doutes sont un peu nos compagnons de route, ils font un bout de voyage à nos côtés.
Plus tard, un nouveau passager s'invite dans la voiture : le courage. Car sans doutes, sans peur, le courage ne pourrait exister.
Alors tout recommence, les envies électrisantes se réveillent, les projets vivifiants se révèlent, les idées stimulantes s'éveillent, et la route s'éclaire à nouveau... jusqu'au prochain panneau de signalisation.
Et si c'était un jeu ? Un jeu de rôle bourreau-victime-sauveur, ces 3 maîtres du "je": doute-obscurité-courage. Assurément, si on n'aime pas douter on aime à se (sa)voir courageux. Finalement nous nous servons de ces drames pour (r)allumer la flamme/feu l'âme. Ainsi naît ce "je" de rôle/jeu de héros.
Pourtant, en réalité la foi véritable n'a nul besoin de drames/de rames pour émerger, la foi est une absence de doutes et donc de courage, elle est merveilleuse/mère veilleuse, silencieuse, avec elle tout est limpide car évidence/Eve y danse.
Mais, conditionnés à toujours devoir nous battre dans la vie, sommes-nous vraiment prêts à baisser les armes et nous laisser porter par nos idées et envies ? A accueillir la vie sans mots dire/maudire ?
En effet, on ne cherche pas à ériger sa foi, on ne recherche pas la lumière en soi, tout ceci est déjà là ; à contrario, on lâche tout ce qui empêche d'être soi et emprisonne la foi.
Avoir foi n'est donc pas un travail de construction mais de déconstruction des croyances que l'on entretient. Ce n'est pas une brique que l'on pose mais une brique que l'on ôte.
La foi, la voie, la joie sont évidences ; le doute, la peur, la lutte sont créations.
17:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/03/2025
... j'ai frotté la lampe
En spiritualité on parle souvent de "la zone de confort", ce cocon sécurisant dans lequel on tend à s'enfermer. Au-delà de notre zone de confort se trouve tout ce qui est inconnu, ce que l'on ne reconnait pas en soi, en conséquence tout ce qui pourrait nous faire évoluer et grandir. Ainsi, il est bon d'apprendre à agrandir notre zone de confort afin d'étendre notre univers.
En spiritualité on aborde plus rarement "la zone de génie", cet espace dans lequel nous excellons !
La zone de génie est celle de nos dons et capacités, pour la détecter il suffit de mettre en lumière ce que l'on sait faire de mieux et de manière innée, cela peut être chanter, dessiner, guider, jardiner... L'on peut dire que cette zone est celle de nos passions.
La zone de génie contient tout ce qui est une évidence en soi, elle semble incarner notre voie.
Si l'on éprouve des difficultés à identifier cette zone de génie, cela ne signifie pas qu'elle n'existe pas, cela indique simplement qu'elle n'a pas encore été conscientisée. Pour la mettre en lumière il est bénéfique de se remémorer les instants où nous avons littéralement brillé, lorsque nous nous sentions à notre place, vivant et vibrant. Tous ces moments où notre lumière s'est révélée symbolisent notre zone de génie, fruit de nos vibrations, cœur de notre âme. Chaque être incarné possède sa ou ses zones de génie car chaque âme émet sa propre vibration, nous sommes tous des notes de musique jouant un rôle dans la mélodie de l'Univers.
J'insiste sur le fait que cette zone représente ce qui est inné, par exemple, je peux affirmer que ma zone de génie est celle du dessin car j'ai toujours su et aimé dessiner. Par la suite je me suis perfectionnée pour en faire mon métier, mais le dessin a toujours été en moi. Certains sont très doués pour apaiser les cœurs, d'autres pour prendre soin des animaux, il existe autant de zones de génies qu'il y a de partitions en ce monde.
Comprenons que la zone de génie peut se trouver au-delà des murs de notre zone de confort, elle est une lumière qui nous attire au loin... Alors, il faut oser répondre à son appel, avoir le courage de sortir de son cocon pour aller vers la lumière.
Assurément, aux limites de notre zone de confort se cachent bien des trésors !
Et vous, avez-vous trouvé votre zone de génie ?
15:58 | Lien permanent | Commentaires (0)