16/04/2019
... Quasimodo s'en est allé
Ce soir je vais vous parler de Notre-Dame de Paris, j'ai un ressenti très clair sur l'incendie qui a ravagé la cathédrale, et je préfère être honnête, cela risque de froisser certaines personnes et je m'en excuse si c'est le cas.
La religion a toujours été un thème compliqué à aborder, que ce soit en famille, entre amis, en couple, j'ai d'ailleurs toujours évité d'en parler sur cette page. Mais, l'incident d'hier est une nouvelle porte qui s'ouvre et l'heure est venue de franchir le seuil. Il est clair que cet écrit fera tâche au milieu de tout les mots doux, les déclarations d'amour, la peine, que l'on peut lire aujourd'hui et partout dans le monde.
Il y a quelques jours à peine, je discutais du grand changement avec une jolie lumière, et je lui disais que cela se passerait par la chute des religions, quelles qu'elles soient. Cela est en cours avec de grands scandales religieux qui éclatent ici et là. Mais ce n'étaient que les prémices, hier nous venons de passer un nouveau cap, avec la destruction par le Feu, énergie la plus puissante et transcendante qui soit ici bas.
Comme souvent, je me suis retrouvée sur un lieu clé quelques temps avant le "drame", car je me suis rendue aux abords de Notre-Dame ce samedi, pour une petite promenade familiale.
Il faut croire que je dois me rendre sur des lieux qui demandent à être purifiés, même si je n'en comprends pas encore tout à fait le sens. Pour rappel, j'étais à Miami juste après le passage d'Irma, et en Californie une semaine avant les grands incendies...
Pour revenir à cet événement, il apparaît être catastrophique dans le cœur de bien des personnes, avec des interviews de gens en larmes, des mots très forts, des visages sidérés, et j'en passe. Encore et toujours des égrégores négatifs véhiculés et relayés avec joie par les médias, je vous laisse trouver le but de cela.
Le message est si évident pourtant, comment l'ignorer ?
Cet incendie a pris au moment de la semaine sainte, semaine destinée à commémorer la Passion de Christ. Certains Chrétiens orthodoxes appellent cela "Semaine de souffrances", je pense que les mots se suffisent à eux mêmes ici... Traditions et répétitions, on commémore, on se remémore, on fait revivre à travers nos pensées. 2000 ans de rites, mais jusqu'à quand ?
Rien n'est éternel, la vie n'est que mouvement, s'accrocher ainsi à des rituels obsolètes ne fait que maintenir en place le monde d'hier.
Les reliques symboles du passé, un clou, une couronne d'épines, un fragment de croix, pensez-vous vraiment que le grand Jésus souhaite que l'on vénère cela ? Pour rappel une relique est définie comme un fragment du corps d'un saint auquel on rend un culte.
Jésus nous a montré l'art de la transcendance et du dépassement de soi, le chemin de la lumière et de la liberté, et aujourd'hui encore presque toutes ses représentations sont celles où il est cloué sur une croix, enfermé et piégé jusqu'à la mort. Que véhiculent ces images? Encore des égrégores de souffrance maintenus par tous ces supports que nous prions. Certes, l'on va me dire que ceci est métaphorique, que cela enseigne l'acceptation et la renaissance, et je suis la première à dire que la mort est une illusion, pourtant, ce que je vois c'est un homme cloué à une croix. Je pense qu'il existe 1000 représentations bien plus lumineuses de ce grand maître ascensionné et qu'il serait bien plus bénéfique de mettre en valeur celles ci.
En juillet 2018, soit le temps d'une gestation, on commencé des travaux de rénovation de la Cathédrale de Notre-Dame, il est certain que l'on ne s'attendait pas à ce résultat neuf mois plus tard ! Pourtant, résultat il y a.
Le feu a pris en 2019, pour les 856 ans de la cathédrale, 8 + 5 + 6 = 19, en additionnant le 1 + 9 apparaît le 1, soit le chiffre du commencement, car c'est bien de renouveau dont on parle ici.
Ce feu n'est rien d'autre que celui de la purification, du nettoyage, l'Univers nous montre ce qu'il y a à changer par bien des biais, même si certain refusent encore d'ouvrir les yeux.
Continuer à construire sur du vieux est un travail vain, des racines obsolètes et bancales ne peuvent que donner un résultat tout aussi bancal, il est temps de se défaire de toutes nos croyances limitantes, dont la religion fait partie. La religion nous pousse à chercher Dieu en dehors de nous, Dieu dans des rituels, Dieu dans quelques lignes, la religion met l'accent sur le principe de punition, elle parle de pêcheurs, de rédemption... La religion n'est rien d'autre qu'un enfermement de l'être. Bien entendu tout n'est pas négatif, certains messages sont lumineux, mais il est temps d'éveiller notre discernement, l'heure est venue de se fier à l'intelligence de notre cœur. La religion ne véhicule pas que des choses lumineuses, contrairement à ce que l'on pense, la religion est avant tout le fruit de l'Homme, et ce bagage de plus en plus de personnes commencent à s'en défaire. La religion parle d'un Dieu extérieur qui juge, le jugement est pourtant une invention très humaine, nous avons créé un Dieu égotique à notre image.
L'Univers vient d'envoyer un message fortement symbolique avec l'incendie de l'édifice religieux le plus connu au monde. Ceux qui voient clairs ont déjà compris le sens.
En beaucoup de lieux de culte siègent des égrégores qui aujourd'hui demandent à être nettoyés, ces égrégores sont liés à certains rites comme par exemple celui du baptême qui voile en réalité le troisième œil, et d'autres symboles, paroles, pensées et actions qui véhiculent du sombre.
La flèche qui s'est effondrée est aussi très parlante, elle nous montre l'erreur primordiale, elle la "pointe" et ce depuis si longtemps. La flèche symbolise la lumière, elle nous montre dans quelle direction nous cherchons Dieu, pointée vers le haut elle indique que nous recherchons ailleurs qu'en nous-même, et hier, une fois renversée et enflammée elle nous pointe nous les Hommes, elle nous montre que Dieu est en nous et cela a toujours été ainsi.
Même si la cathédrale a été construite d'après un savoir ancien en tenant compte de chiffres sacrés, même si son emplacement est un point tellurique majeur, même si cette cathédrale est tout à fait splendide, ce qui est à prendre en compte c'est ce qu'elle véhicule aujourd'hui et ce qu'elle émet. J'ai lu que sa destruction était catastrophique énergétiquement parlant, je ne partage pas ce point de vue bien au contraire. Pense t-on réellement que la Terre a besoin d'une fabrication de l'Homme pour ascensionner ? Et ces savoirs anciens qui ont disparu par le feu, sont-ils perdus à tout jamais ? Bien sur que non, et affirmer le contraire c'est rester dans des attachements et attentes extérieures.
Le message est clair :
Ne cherchez plus Dieu en dehors de vous, il n'y est pas ! Dieu réside en votre cœur.
Aucun livre, aucun site, aucune prière, aucun rituel, ne vous rapprochera de Dieu. Ceci est une croyance de l'ancien temps, de l'ancien monde, une croyance qui disperse et sépare.
Certains ont vu dans cet incident un féminin sacré touché, blessé, car Notre-Dame est intimement liée Marie, moi j'y vois un féminin qui se libère, un féminin qui ose briser les barrières et qui montre ce dont il est capable ! Un féminin flamboyant, renversant, époustouflant ! Tandis que certains voient la souffrance, j'y lis la renaissance. Tandis que d'autres crient au drame, j'observe la libération. Voyez ce feu sacré qui transforme tout et nous guide vers la transcendance, biais par lequel Marie devient "Aimer". Ce que j'ai vu hier c'est le phœnix qui déploie ses ailes après des années de sommeil. Transformation et mutation, l'extérieur devient illusion car tout naît du dedans.
Bien sur, la cathédrale n'est pas pour tous un symbole religieux, car elle incarne aussi un "joyaux" du patrimoine français, mais, là aussi un travail d'acceptation est à faire, rien n'est éternel et ce n'est pas en nous agrippant à ce qui est en place que le changement sera. Plus l'on s'accroche plus on se place dans la résistance, c'est pourtant vers l'accueil qu'il est préférable de se tourner si l'on souhaite évoluer.
Le changement passe par la transformation, parfois la destruction, c'est ainsi lorsque l'Homme est trop attaché à une forme quelconque, celle-ci ne peut que être détruite autrement aucun changement ne peut avoir lieu.
Si l'on est prêt pour le grand changement on accepte ce qui c'est passé hier, la fin de quelque chose. Cette expérience est très parlante, elle permet de lire en soi et mettre en lumière nos attachements.
Je ne suis pas émue par ce qui s'est passé hier, je n'y vois que la transformation par le feu sacré, en effet, ici et aujourd'hui les énergies négatives qui planaient autour de ce lieu ne sont plus.
De plus il existe une lecture encore plus subtile de cet événement, en effet, la cathédrale a été construite sur l'emplacement d'un ancien temple païen gallo-romain dédié à Jupiter, temple dans lesquels de nombreux sacrifices d'animaux avaient lieu, je vous laisse imaginer les énergies ambiantes. Nous pouvons également faire un parallèle avec notre président qui est surnommé ainsi "Jupiter", la fin est proche, la lumière gagne chaque jour un peu plus de place.
Par ailleurs, sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, se trouve le "point zéro", c'est à dire le point kilomètre zéro des routes quittant la capitale, quoi de plus clair que cela ? Le feu pour repartir à zéro, mais aussi le point zéro qui nous montre symboliquement que Dieu est en notre cœur/point du commencement, et que chaque support que nous utilisons/routes nous éloigne de ce point zéro.
L'Univers ne peut être plus clair, plus éloquent ! Pourtant ce message sera très mal accueilli, car il met en lumière des conditionnements dont beaucoup peinent à se défaire, voire ne veulent pas voir et reconnaître.
Notre-Dame de Paris partie en fumée, fumée qui symbolise ce voile qui plane devant nos yeux qui nous empêche de voir vrai.
La cathédrale sera surement reconstruite puisque l'Homme ne parvient vraiment pas à laisser le passé derrière lui, mais, aujourd'hui, j'ai envie de dire plutôt que reconstruire sur du passé, laissons Notre-Dame à hier et accueillons à la place "Notre (d')âme" !
Petite anecdote de dernière minute, au moment où je rédige ces lignes mon interphone sonne. Au bout du fil une dame m'explique vouloir déposer dans nos boîtes aux lettres un petit document retraçant la vie des Jésus et mettant l'accent sur son sacrifice. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer, mais cela ne fait que confirmer mon ressenti profond...
21:32 | Lien permanent | Commentaires (8)
11/04/2019
... j'ai croqué la vie à pleines dents
Plus j'évolue plus je prends conscience de mes forces mais aussi de mes faiblesses, j'apprends à me connaître à travers mes expériences, mes échanges, les personnes qui traversent mon chemin.
J'ai beaucoup changé, je prends soin de moi, je veille sur mes émotions, j'entretiens une vie simple et harmonieuse, mais, il y a un seul point sur lequel je ne m'étais pas encore attardée, non pas que celui-ci ne m’apparaissait pas, mais simplement que je n'avais pas encore la force et la patience de tout bousculer.
Ce point noir est mon alimentation.
En effet, je fais attention aux produits que j'applique sur mon corps (plan physique), j'écoute mes émotions pour ne pas qu'elles m'envahissent (plan subtil), mais je ne filtre pas ma nourriture (pont entre le physique et le subtil).
Bien entendu, mon éveil a changé quelques unes de mes habitudes, je ne mange plus de viande depuis plusieurs années (à ce propos, contrairement aux croyances collectives on vit très bien sans consommer de viande), je remplace quand cela est possible le lait animal par du végétal, j'évite au maximum les médicaments, etc, mais, je mange très facilement des choses très polluées chimiquement et sucrés, comme des plats préparés, des sucreries, des sodas...
C'est assez incohérent je le sais bien, mais, comme je le dis tout le temps, on fait toujours au mieux.
Mon mieux du moment était de ne pas trop m'inquiéter de cela.
En effet, en tant que créateur de notre vie, nos pensées façonnent elles aussi notre réalité, ainsi, si à chaque fois que je bois un verre de soda je pense "ohlàlà je me pollue", et bien il est clair que je polluerai mon corps. Le but n'est pas de faire l'autruche non plus, mais simplement de ne pas accentuer les choses en y ajoutant des pensées négatives.
J'ai absolument conscience que mon alimentation n'est pas la plus bénéfique, mais, j'accepte de ne pas avoir réussi à m'en détacher pour un certain temps, sans culpabiliser. Et, finalement, les méfaits dus à mon alimentation n'ont que très peu de prises sur moi, puisque je ne m'accable pas de mes choix. Cela n'a pas empêché mon éveil, mon évolution et d'autres prises de conscience importantes.
Mais, petit à petit, l'idée de changer mes habitudes alimentaires a creusé sa place. Cela a mit du temps, mais tout arrive toujours a point nommé.
Il faut dire que je ne suis pas une grande cuisinière, et pour être tout à fait honnête je n'aime pas me retrouver aux fourneaux.
Mais, j'ai reçu ces trois dernières semaines divers signes à ce sujet, j'ai laissé cela germer jusqu'au moment clé du déclic : un message d'une jeune femme à laquelle je me suis immédiatement identifiée, qui s'articulait autour de notre façon de manger.
Alors, du jour au lendemain, j'ai décidé de cesser de consommer des choses à tendance négative pour aller vers de la nourriture dîte "vivante". Et cela m'a fait le plus grand bien ! J'ai commencé par une semaine complète, et finalement cela a été plus simple que je ne le pensais. Je ne dis pas que ma semaine a été 100% nature et pure, mais presque !
Ce qui est merveilleux, c'est que j'ai remarqué qu'en prenant soin de moi, de mon intérieur, les situations extérieures s'alignaient avec cela, ainsi, j'ai eu la joie de recevoir au beau milieu de la semaine un fabuleux soin énergétique de mon compagnon, qui, comme ça sur un coup de tête, a voulu me transmettre de belles énergies ! C'était la première fois que je recevais un tel soin de sa part, j'ai tout de suite mis cela en parallèle avec ma résolution de mieux me "nourrir", intérieurement et physiquement. On attire ce que l'on émet.
Suite à cette semaine de mieux-être, je suis tombée malade, deux jours, avec tous les symptômes de la grippe spirituelle. On l'appelle spirituelle car c'est avant tout une transformation énergétique importante. Cette grippe est une conclusion naturelle liée au changement que j'ai opéré dans ma façon de manger. Encore une fois l'Univers a répondu à ma demande de nettoyage intérieur.
Par ailleurs, malade, je ne me suis pas alimentée durant 24h, le jeûne étant le moyen naturel le plus efficace pour nettoyer son corps et ses cellules, j'ai compris à quel point tout était parfait !
Mon changement de nourriture avait préparé le terrain pour le jeûne et tous les bienfaits liés à cela.
En effet, on a tendance à penser que lorsque l'on tombe malade il faut manger, seulement, comprenons que la nature est bien faite, et que ne pas avoir envie de manger fait partie de l'intelligence du corps, il sait qu'il a besoin d'être purifié afin de repartir sur des bases saines. Bien entendu je ne parle pas de jeûne prolongé, mais simplement d'une pause d'un jour ou deux afin que le corps se débarrasse de toutes ses toxines, physiques ou subtiles.
Lors de cette courte période de grippe, mes rêves se sont transformés eux aussi, avec des souvenirs d'autres vies, ils sont devenus plus lucides et riches. J'ai réellement ressenti un changement énergétique, dans mon corps et mes idées.
A peine remise de cet état grippal, je n'avais qu'une idée en tête : couper mes cheveux !
Cela revenait sans cesse, si bien que j'ai répondu favorablement à mon envie. J'ai aujourd'hui 20 cm de cheveux en moins et c'est très bien ainsi.
Il faut comprendre que nos cheveux sont nos antennes, ils absorbent les énergies subtiles et les transmettent à tous nos corps. Le cheveu est le fil de l'âme, dans notre chevelure restent codées et parfois cristallisées nos expériences passées, de plus, nos cheveux pressentent les choses à venir. Couper ses cheveux est très symbolique, cela est synonyme d'un changement intérieur profond qui va se manifester également extérieurement par la coupe des cheveux.
D'ailleurs, les personnes qui refusent de changer de coupe de cheveux sont souvent des personnes très routinières, qui peuvent avoir peur du changement, ceci est très parlant évidemment.
Les cheveux possèdent une place importante dans notre processus d'évolution, il est bon de les observer, car leur état de santé nous parle.
Aujourd'hui il ne me reste que des douleurs de dos, là aussi ce n'est pas le fruit du hasard, le dos étant une porte de sortie de ce dont on n'a plus besoin, ce qui nous pèse. Les maux restent et resteront à jamais des mots.
Désormais, je ferai au mieux pour maintenir une alimentation équilibrée, sans pression, avec joie et amour. Je sais par avance que ce ne sera pas parfait tous les jours, mais je l'accepte car je fais au mieux et c'est l'essentiel.
19:23 | Lien permanent | Commentaires (4)
06/04/2019
... j'ai changé de médecin
La science, pour être synonyme d'avancée et de progrès, doit être mariée à la conscience, autrement elle incarne ni plus ni moins que l'absence de sens.
Aujourd'hui, nous prenons un médicament pour un simple mal de tête, une angine, un nœud dans le ventre, et nous oublions de rechercher la cause, le mot qui se cache derrière les maux. Pourtant, tout a une raison d'être, et mon mal de tête m'indique une situation qui a trop duré, mon angine ce que je n'ose exprimer, mon nœud dans le ventre mon angoisse... Rien n'étant le fruit du hasard, chaque maladie qu'elle soit petite ou grande, est la conséquence d'un malaise que je ressens.
Certains vont dire que parfois on est simplement enrhumé car la période s'y prête, ce à quoi je réponds que non. Tout est une question de cause à effet.
Il est vrai que nous avons été conditionné à prendre des médicaments sans trop chercher à comprendre, depuis notre plus jeune âge, mais est-ce une raison pour perpétuer la chose ?
Personnellement, devant chaque maux j'ai le réflexe de rechercher la cause réelle, cela est devenu instinctif et me permet de véritablement me soigner. Prendre un médicament ne soigne pas la cause mais la conséquence du malaise, ainsi, cela repousse le mal simplement à plus tard.
De plus, la science va parfois trop loin, sous couvert de progrès elle tend à nous déconnecter de notre être, de notre corps, de notre intelligence.
En effet, nous laissons encore trop souvent la science penser et agir pour nous, sans mot dire.
Par exemple, l'arrivée de la pilule a certes libéré les femmes du risque de grossesse non désiré, mais, en parallèle, elle les a déconnectées d'elles mêmes, de l'écoute de leur corps et de leurs ressentis. Je ne parle pas ici de la composition de la pilule et de ce que cela implique... Mais, par facilité, on préfère regarder ailleurs et laisser un cachet décider de notre destin. Aujourd'hui, peu de femmes savent lire dans leur corps et saisir les périodes à risque de grossesse, et c'est bien dommage n'est-ce pas. Cette "avancée" n'a t-elle pas également fait reculer le lien avec notre corps ?
Aujourd'hui l'on souhaite vacciner contre tout et n'importe quoi, alors qu'il suffit encore une fois de se responsabiliser et de faire les meilleurs choix pour soi. Ce n'est pas un vaccin bourré de produits lourds qui met à l'abri, mais la nourriture que l'on consomme, l'hygiène de vie, l'accès à l'eau potable, la bonne gestion des émotions, le bon sens... Alors qu'aucune loi n'est votée pour interdire les poisons industriels et autres produits chimiques ajoutés à la nourriture, on adopte immédiatement 11 vaccins obligatoires, quel non-sens ! La science tente d'aveugler nos sens.
Le "progrès" réside-t-il dans le fait de faire pousser les cultures plus vite, de créer de la nourriture modifiée, de chambouler la nature, et ce peu importe les conséquences sur la planète et nos corps ? Ou encore l'évolution est-elle de créer chaque année des nouveaux vaccins agressifs sur lesquels nous n'avons encore aucun recul, nous devenons donc des cobayes puisque ces vaccins sont bien souvent à titre expérimental.
Ainsi la science devient une affaire d'argent avant tout.
Ce sont des exemples parmi tant d'autres.
A force de nous déresponsabiliser, avec notre accord évidemment, la science sans conscience nous éloigne de nous-même. Nos corps deviennent des sujets d'étude, des numéros, de simples contenants dont on analyse l'intérieur, mais aussi et cela devient dangereux, nos corps deviennent les propriétés d'autres que nous mêmes. La science sans conscience fait de notre humanité une ère de robots.
Lorsque j'étais enfant, j'avais des angines à répétitions, très douloureuses, alors, on a décidé de me retirer les amygdales. La médecine a traité la conséquence et non la cause, la cause étant qu'enfant je retenais trop mes émotions, jusqu'à me blesser intérieurement. Le plus étonnant, c'est que même après mon ablation des amygdales j'ai continué à avoir des maux de gorge très similaires à des angines ! Moins fréquentes, certes, mais les douleurs revenaient régulièrement. En effet, ce n'étaient pas mes amygdales le souci véritable, mais ma gestion des émotions. Par ailleurs, cette opération a eu pour effet de multiplier mes soucis dentaires, avec des caries et maux de dents à répétitions. La glande amygdale étant un filtre naturel et nécessaire, mes émotions se sont tout bonnement cristallisées ailleurs, dans mes dents, et plus violemment encore. Il faut comprendre que mon opération des amygdales ne m'a pas guérie, elle a simplement déplacé le problème ailleurs.
C'est pour cela qu'il est nécessaire de travailler sur la source du mal et non la conséquence. Et si la science ne le permet pas, c'est à nous de faire ce travail en amont.
L'heure est venue de nous reconnecter à nous-même ! Personne d'autre ne sait mieux que nous ce qui est bon pour nous.
Ecouter son corps, ses émotions, mettre en lumière ce que nous souffle la maladie, les maux, travailler sur la source pour mettre fin à la conséquence et non l'inverse, c'est cela la science en conscience, et ceci est aujourd’hui à notre portée, nous sommes capables de comprendre et apprendre, de prendre des décisions, de mettre en lumière nos besoins propres. Pour y arriver il est temps de reprendre notre place de créateur, de nous responsabiliser, afin de travailler main dans la main avec la médecine de demain. Cette médecine qui écoute le corps, le cœur et l'âme, celle qui ne divise pas mais au contraire relie.
En nous reconnectant à nous-même nous permettrons à la science en conscience de prendre la place qui est sienne.
Lors de ma dernière visite chez mon médecin gynécologue, cette dernière a très fortement insisté pour que je prenne une pilule spécifique (alors que je n'y allais pas pour cela), j'ai refusé une fois, deux fois, puis trois fois ! Elle ne comprenait pas mon refus, j'ai simplement expliqué que je ne voulais pas de ces produits chimiques en moi, elle était abasourdie par ma réponse, elle a essayé de me convaincre en vain. Je suis repartie sans pilule, et je repartirai... chez un autre gynécologue, à l'écoute de mon être et de mes besoins. Une personne qui travaille avec conscience en ne m'imposant pas ce dont je ne veux pas !
Cette citation de Rabelais est si juste : "La science sans conscience n'est que ruine de l'âme"
11:13 | Lien permanent | Commentaires (2)