04/12/2018
... j'ai attrapé Pikachu
Que se passe t-il actuellement, en France et bientôt partout ailleurs ?
La colère gronde, l'insatisfaction augmente, les cris résonnent, la violence s'installe... lorsque nous nous laissons happer par ces égrégores de colère, tous nos sens se mettent en veille.
Personnellement, j'essaie au mieux de ne pas m'impliquer émotionnellement dans ce que je vois et entends, tout d'abord, parce que je sais que les médias ont la fâcheuse tendance à inverser la réalité, mais aussi car je préfère rester à l'écart des égrégores agressifs.
Cela faisait longtemps que l'on pressentait ces événements qui se déroulent actuellement en France, et nous y voilà arrivés.
Cela s'appelle la loi du balancier, ainsi, plus un peuple se sent opprimé, plus il répondra par la violence pour recréer un équilibre. La vie n'est que perfection et même dans le chaos l'équilibre est. A ne pas confondre avec équité !
Ainsi tout est parfait et le changement a lieu comme il est prévu depuis longtemps, seulement, il n'est pas obligatoire de le faire dans la violence.
Dans un premier temps il faut apprendre à s'élever au dessus des égrégores de colère, se placer en temps qu'observateur, ne pas s'impliquer émotionnellement. Lorsque je regarde les informations, que je sais orientées, je reste observatrice, j'analyse, je prends les messages qui m'apparaissent.
Et voici ce qui me vient:
Une fois que l'on s'éveille, on ne peut plus se rendormir...
Nous nous trouvons actuellement dans une période d'éveils de masse, poussés par les énergies du changement et de la transformation nous souhaitons aligner extérieur et intérieur, et comme nous voyons de plus en plus clair cela nous permet de savoir ce que l'on veut mais surtout ce que l'on ne veut plus. Cet ancien monde nous semble si limitant, si triste, si éloigné de notre coeur et de la Vie, alors nous souhaitons le changer, du moins la grande majorité réclame le changement !
La petite minorité qui ne le désire pas abat ses dernières cartes, telle une partie de poker où le mensonge et la manipulation sont de mise. Mais, au final, les manigances se retournent toujours contre l'émetteur, puisque nous récoltons ce que nous semons de par la loi de résonance.
Les gilets jaunes incarnent physiquement notre feu intérieur, celui qui siège en notre chakra du plexus solaire, celui qui pousse à l'action, l'Homme en nous qui agit et qui ose. Il suffit de voir la couleur si jaune et lumineuse des gilets pour que le parallèle soit édifiant, sans parler du fait que le gilet se pose directement sur notre chakra solaire. Les symboles sont si présents.
Mais aussi, le plexus héberge notre colère lorsque celle ci nous habite encore.
Ainsi, une certaine partie des gilets jaunes est violente, et cette partie représente celles et ceux qui ont encore affaire à leur colère intérieure, car pour émettre un acte de violence la colère doit tout d'abord nous habiter. On ne donne que ce que l'on possède, c'est ainsi. Si aucune colère ne nous habite nous ne pouvons êtres violents.
Une autre partie des gilets jaunes incarne quant à elle le changement dans la douceur, sans armes et avec patience.
Une dernière partie des gilets jaunes vacille entre l'un et l'autre de ces deux groupes, ce sont les personnes en voie de guérison, mais qui ne savent encore où se positionner et qui elles sont.
Alors, tous ces plexus solaires ne brillent pas de la même façon, certains ne sont que lumière tandis que d'autres projettent un feu aveuglant qui brûle et détruit tout sur son passage.
Une grande partie des gilets jaunes s'est donnée rendez-vous Place de l'Etoile à Paris. Symbole encore plus grandiose, car notre plexus solaire n'est rien d'autre qu'une étoile qui brille en nous, alors, tout s'est embrasé, le feu attisant le feu, la violence a explosé. Certaines personnes en apparence calmes ont laissé s'exprimer leur révolte et leur colère, car pris dans les égrégores de feu.
L'arc de Tromphe a été dégradé, mais qu'est-ce que l'arc de Triomphe ? Pour rappel c'est un monument érigé en l'honneur des soldats français revenant de guerre. Cela a été construit avec cette intention de mettre à l'honneur les combattants, l'intention étant une énergie propre ce monument porte en lui cette empreinte énergétique, celle de la guerre, la mort, la victoire sur l'autre. Même si ce monument séduit bien des foules il faut comprendre ce qu'il véhicule au delà des apparences. La loi d'attraction agissant en tout lieu et tout temps, il est tout naturel que cet endroit ait été désigné par l'inconscient collectif pour incarner le lieu parfait à ces débordements et violences.
Tout est là : la place de l'étoile (plexus) et l'arc de Triomphe (guerre), ou le feu à son apogée, le destruction et la colère.
Bien entendu, les débordements (orientés eux aussi) ont eu lieu à d'autres endroits, mais à chaque fois des signes et messages sont présents.
Je rajoute ceci avant de conclure, le point de rupture a commencé dès l'instant où les instances gouvernementales/gouverne mental ont décidé de taxer davantage encore l'essence, l'Essence, donc d'avoir la main-mise sur notre Essence. Cela fera peut-être rire certains, mais comprenez que les mots sont porteurs de vibrations eux aussi, voyez donc le parallèle qui se trouve ici et pourquoi le peuple a (enfin) réagi. Même si l'impulsion première semble être l'aspect financier, il existe en réalité un langage subtil et codé et celui qui voit les signes le sait déjà.
Comprenons que rien n'est le fruit du hasard, même si les choix ne sont pas conscients ils font partie d'un plan parfait.
Et, puisque l'Homme en a décidé ainsi, le changement se fera pour le moment dans la violence. Mais rien n'étant figé il n'est pas jamais trop tard pour agir dans la paix et l'amour, loin de la confusion et des cris.
Tout est parfait et le plan suit son cours.
Il fallait ce président, à ce moment précis, à cet endroit précis, pour que les gens réclament le changement.
A suivre ...
20:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/11/2018
... j'ai fait un rêve
15:47 Publié dans Changements, Evolution | Lien permanent | Commentaires (3)
23/11/2018
... j'ai traversé la rue et été déçue
Qui est réellement heureux dans son métier actuel ?
Qui trouve dans son travail épanouissement et joie?
Je serais curieuse de voir les réponses.
Dans nos sociétés le travail possède une place d'honneur. Bien souvent, avant même de demander son prénom à une personne on lui demande ce qu'elle fait dans la vie, quand on regarde une émission télévisée il apparaît toujours sous le prénom du candidat son métier, lorsque nous remplissons des papiers administratifs on nous interroge systématiquement sur notre profession, les enfants dès l'école doivent déjà avoir un futur métier en tête...
A bien y regarder, tout tourne autour du travail, celui qui n'en a pas est vite pointé du doigt, et celui qui refuse ce système est marginalisé.
On a même été jusqu'à affirmer "le travail c'est la santé !"
Alors, je répète ma question : "qui est réellement heureux dans son métier actuel ?". Je suis persuadée que l'on est loin de la grande majorité !
L'angoisse du dimanche soir est-elle une illusion ?
La boule au ventre lors des réunions est-elle une invention ?
Le travail qui s'accumule alors que l'on fait déjà du mieux qu'on peut, est-ce de l'imagination ?
Tout a été mis en oeuvre pour nous faire croire que le travail était le pilier les plus important de notre vie, et cela fonctionne à merveille. Nous n'en avons pas tout à fait conscience mais nous nous identifions à notre emploi, lorsque l'on a un bel emploi nous pensons être une personne bien/ intelligente/importante/complète, a contrario, lorsque notre métier est sous-évalué nous nous sous-estimons.
Il y a un rapport de mérite très ancré vis à vis du monde professionnel.
Nous faisons passer notre emploi avant tout le reste puisque nous travaillons plus de 8 heures par jour, cela devient alors notre première activité, avant nos besoins, nos envies, les moments en famille, les plaisirs...
Je me souviens, il n'y a pas si longtemps de cela, je me levais à 6h, je déposais mes enfants à la crèche à 7h, je faisais 1h30 de trajet pour arriver à mon lieu de travail, j'enchaînais mes 8h pour quitter à 16h30, refaire 1h30 de route, récupérer mes enfants à 18h... tous les jours de la semaine, du mois, de l'année. Et je trouvais cela "normal", comme bien des gens, après tout il faut gagner sa vie. 5 jours de travail pour 2 jours de repos, 40 ans de travail pour 15 ans de retraite, n'y a t-il rien de choquant là-dedans ?
C'est la vie, me dira t-on...
Je réponds non !
Depuis que j'ai brisé ce conditionnement et l'idée que je me faisais de la vie et du travail en général, je vois les choses telles qu'elles sont : le travail (tel qu'on le connaît aujourd'hui) n'est rien d'autre qu'un enfermement et une mascarade.
Tout d'abord, nul ne devrait avoir besoin de gagner sa vie, car la vie ne se gagne pas ! Qui nous a laissé croire que nous devions gagner quoi que ce soit ? Si nous sommes incarnés ici bas c'est pour vivre et nous n'avons pas à justifier cela, nous ne sommes redevables à personne d'être en vie, et en aucun cas le fait de travailler n'éponge une quelconque dette, qui est imaginaire évidemment.
Le travail est défini ainsi : ensemble des activités humaines organisées, coordonnées en vue de produire ce qui est utile.
Cette définition me plaît, mais il me semble qu'aujourd'hui elle est obsolète.
Le travail ne devrait pas être une chaîne qui nous lie les mains, mais une opportunité de développer nos capacités. Le travail ne devrait pas se transformer en une prison, mais être une clé pour se réaliser. Le travail ne devrait pas être une charge lourde et personnelle, mais un sac dans lequel chacun dépose ses idées. Le travail ne devrait pas nous séparer ou nous subordonner, mais au contraire nous unir et nous réunir pour la même cause.
Le travail, de nos jours, n'est pas vraiment merveilleux et épanouissant, et cela devient de plus en plus flagrant. Le malaise s'installe, la division se crée, alors les règles se durcissent pour tenter de contenir tout cela. En effet, il devient de plus en plus clair que le travail n'a pas pour but premier un enrichissement personnel mais plutôt l'enrichissement d'une petite élite. Ceci n'est pas un jugement mais une observation.
Bien entendu et fort heureusement, tout n'est pas à mettre dans le même sac, mais je constate depuis quelques temps une dégradation importante du bien-être dans le monde professionnel.
Qui, aujourd'hui, travaille pour se faire plaisir, pour transmettre et apprendre, pour son évolution...? Trop peu encore.
La vie ce n'est pas le travail tel qu'on le connaît ! Et lorsque les contraintes sont lourdes, le travail devient parfois facteur de maladies, car tout ce que l'on fait à contre-cœur n'est pas correct.
Un métier non voulu n'est pas correct. Il est temps de prendre conscience de cela, la vie n'est pas travailler, mais créer, rire, jouer, danser, s'émerveiller, flâner, aimer, apprendre, transmettre, et si le travail que l'on fait n'est que plaisir et amour, ce n'est pas un travail mais la juste voie.
Bien sur, on va me dire que tout cela est bien utopiste, que l'on est tout de même obligé de travailler pour payer ses factures, en effet c'est une réalité, mais il existe aussi d'autres réalités, car nous ne sommes obligés à rien et chaque prison possède une clé !
Le changement nous appartient, et nous ne sommes pas obligés de suivre un modèle qui ne nous correspond pas. Nous avons le pouvoir de dire stop et aller vers ce qui nous anime.
Aujourd'hui je refuse de passer la moitié de ma vie à travailler pour telle personne, je l'ai fait par le passé mais à présent c'est terminé, je refuse de passer à côté de l'essentiel, de laisser derrière moi ma santé mentale et physique, c'est mon choix et je l'assume pleinement. Je suis pour un système nouveau basé sur le partage, sur l'échange, sur la transmission, sur la création à plusieurs, sur l'équité, et non un système pyramidale qui laisse de côté la majorité.
Tout cela nous pouvons le créer en mettant fin à nos anciennes croyances et en refusant ce que l'on tente de nous imposer. Souvenons-nous que le pouvoir est en nous.
Souhaitons-nous cette vie de robot à nos enfants, ou préférons-nous qu'ils fassent ce que leurs cœurs leur soufflent ? Alors n'enfermons plus nos enfants dans ce même schéma qui nous étouffe tant.
Inventons la vie que nous souhaitons vivre, il n'est jamais trop tard pour cela.
Comme l'a dit judicieusement Confucius : "choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez plus à travailler un seul jour de votre vie"
09:01 | Lien permanent | Commentaires (4)