Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06/04/2019

... j'ai changé de médecin

La science, pour être synonyme d'avancée et de progrès, doit être mariée à la conscience, autrement elle incarne ni plus ni moins que l'absence de sens.

Aujourd'hui, nous prenons un médicament pour un simple mal de tête, une angine, un nœud dans le ventre, et nous oublions de rechercher la cause, le mot qui se cache derrière les maux. Pourtant, tout a une raison d'être, et mon mal de tête m'indique une situation qui a trop duré, mon angine ce que je n'ose exprimer, mon nœud dans le ventre mon angoisse... Rien n'étant le fruit du hasard, chaque maladie qu'elle soit petite ou grande, est la conséquence d'un malaise que je ressens.
Certains vont dire que parfois on est simplement enrhumé car la période s'y prête, ce à quoi je réponds que non. Tout est une question de cause à effet.

Il est vrai que nous avons été conditionné à prendre des médicaments sans trop chercher à comprendre, depuis notre plus jeune âge, mais est-ce une raison pour perpétuer la chose ?

Personnellement, devant chaque maux j'ai le réflexe de rechercher la cause réelle, cela est devenu instinctif et me permet de véritablement me soigner. Prendre un médicament ne soigne pas la cause mais la conséquence du malaise, ainsi, cela repousse le mal simplement à plus tard.

De plus, la science va parfois trop loin, sous couvert de progrès elle tend à nous déconnecter de notre être, de notre corps, de notre intelligence.
En effet, nous laissons encore trop souvent la science penser et agir pour nous, sans mot dire.

Par exemple, l'arrivée de la pilule a certes libéré les femmes du risque de grossesse non désiré, mais, en parallèle, elle les a déconnectées d'elles mêmes, de l'écoute de leur corps et de leurs ressentis. Je ne parle pas ici de la composition de la pilule et de ce que cela implique... Mais, par facilité, on préfère regarder ailleurs et laisser un cachet décider de notre destin. Aujourd'hui, peu de femmes savent lire dans leur corps et saisir les périodes à risque de grossesse, et c'est bien dommage n'est-ce pas. Cette "avancée" n'a t-elle pas également fait reculer le lien avec notre corps ?

Aujourd'hui l'on souhaite vacciner contre tout et n'importe quoi, alors qu'il suffit encore une fois de se responsabiliser et de faire les meilleurs choix pour soi. Ce n'est pas un vaccin bourré de produits lourds qui met à l'abri, mais la nourriture que l'on consomme, l'hygiène de vie, l'accès à l'eau potable, la bonne gestion des émotions, le bon sens... Alors qu'aucune loi n'est votée pour interdire les poisons industriels et autres produits chimiques ajoutés à la nourriture, on adopte immédiatement 11 vaccins obligatoires, quel non-sens ! La science tente d'aveugler nos sens.
Le "progrès" réside-t-il dans le fait de faire pousser les cultures plus vite, de créer de la nourriture modifiée, de chambouler la nature, et ce peu importe les conséquences sur la planète et nos corps ? Ou encore l'évolution est-elle de créer chaque année des nouveaux vaccins agressifs sur lesquels nous n'avons encore aucun recul, nous devenons donc des cobayes puisque ces vaccins sont bien souvent à titre expérimental.
Ainsi la science devient une affaire d'argent avant tout.

Ce sont des exemples parmi tant d'autres.

A force de nous déresponsabiliser, avec notre accord évidemment, la science sans conscience nous éloigne de nous-même. Nos corps deviennent des sujets d'étude, des numéros, de simples contenants dont on analyse l'intérieur, mais aussi et cela devient dangereux, nos corps deviennent les propriétés d'autres que nous mêmes. La science sans conscience fait de notre humanité une ère de robots.

Lorsque j'étais enfant, j'avais des angines à répétitions, très douloureuses, alors, on a décidé de me retirer les amygdales. La médecine a traité la conséquence et non la cause, la cause étant qu'enfant je retenais trop mes émotions, jusqu'à me blesser intérieurement. Le plus étonnant, c'est que même après mon ablation des amygdales j'ai continué à avoir des maux de gorge très similaires à des angines ! Moins fréquentes, certes, mais les douleurs revenaient régulièrement. En effet, ce n'étaient pas mes amygdales le souci véritable, mais ma gestion des émotions. Par ailleurs, cette opération a eu pour effet de multiplier mes soucis dentaires, avec des caries et maux de dents à répétitions. La glande amygdale étant un filtre naturel et nécessaire, mes émotions se sont tout bonnement cristallisées ailleurs, dans mes dents, et plus violemment encore. Il faut comprendre que mon opération des amygdales ne m'a pas guérie, elle a simplement déplacé le problème ailleurs.

C'est pour cela qu'il est nécessaire de travailler sur la source du mal et non la conséquence. Et si la science ne le permet pas, c'est à nous de faire ce travail en amont.
L'heure est venue de nous reconnecter à nous-même ! Personne d'autre ne sait mieux que nous ce qui est bon pour nous.

Ecouter son corps, ses émotions, mettre en lumière ce que nous souffle la maladie, les maux, travailler sur la source pour mettre fin à la conséquence et non l'inverse, c'est cela la science en conscience, et ceci est aujourd’hui à notre portée, nous sommes capables de comprendre et apprendre, de prendre des décisions, de mettre en lumière nos besoins propres. Pour y arriver il est temps de reprendre notre place de créateur, de nous responsabiliser, afin de travailler main dans la main avec la médecine de demain. Cette médecine qui écoute le corps, le cœur et l'âme, celle qui ne divise pas mais au contraire relie.

En nous reconnectant à nous-même nous permettrons à la science en conscience de prendre la place qui est sienne. 

Lors de ma dernière visite chez mon médecin gynécologue, cette dernière a très fortement insisté pour que je prenne une pilule spécifique (alors que je n'y allais pas pour cela), j'ai refusé une fois, deux fois, puis trois fois ! Elle ne comprenait pas mon refus, j'ai simplement expliqué que je ne voulais pas de ces produits chimiques en moi, elle était abasourdie par ma réponse, elle a essayé de me convaincre en vain. Je suis repartie sans pilule, et je repartirai... chez un autre gynécologue, à l'écoute de mon être et de mes besoins. Une personne qui travaille avec conscience en ne m'imposant pas ce dont je ne veux pas !

Cette citation de Rabelais est si juste : "La science sans conscience n'est que ruine de l'âme"

04/04/2019

... j'ai eu mal

Tout ce que nous vivons et traversons, lorsque cela nous fait souffrir, nous indique que nous faisons fausse route. A contrario, lorsque cela nous met en joie nous sommes sur la bonne voie.
Chaque incident, accident, est un signal que l'on ne va pas dans la bonne direction, tout comme chaque maladie nous souffle que ne faisons pas les meilleurs choix, car toute souffrance indique que quelque chose ne va pas. 
 
Concernant la maladie, cela fait de plus en plus son chemin, les consciences s'ouvrent et l'on comprend que les maux sont des mots, que la maladie veut dire "l'âme l'a dit" et c'est merveilleux ! Mais, on a encore tendance à mettre les accidents dans la case fatalité ou malchance, pourtant, aucun accident n'est le fruit du hasard. Un accident est un cri du cœur lui aussi, et la souffrance qui en découle est une façon de dire que nous nous éloignons de ce qu'il y a de mieux pour nous-même.
 
Par exemple, si je pose ma main sur une plaque brûlante, la douleur m'indiquera que je dois retirer ma main au plus vite, la souffrance est un signal d'alarme, et j'y répondrai en ôtant ma main. Lorsque notre corps physique est affecté nous entendons bien mieux le message. Dans cet exemple il est évident que la douleur me dit "stop".
Malheureusement, lorsqu'il s'agit de notre cœur, de notre intérieur, les messages sont moins forts, plus intimes, ils sont comme des murmures, alors on ne le écoute pas, nous les entendons, parfois, mais sans vraiment y prêter attention. 
De plus, même lorsque nous ressentons véritablement nos guidances intérieures, y répondons-nous favorablement ? En n'écoutant pas nos envies véritables, nous nous mentons à nous-même, et ce manque d'honnêteté nous mènera automatiquement à des situations confuses.
 
Par exemple, si j'en ai assez de ma situation professionnelle, mon cœur me soufflera de changer de voie, mais, je préférerais peut-être faire la sourde oreille et me trouverais des raisons pour ne rien changer. En m'accrochant à cette situation qui me déplaît tant, je me sentirais probablement de plus en plus mal et mon emploi deviendra une véritable corvée, jusqu'au jour où surviendra un accident de travail. Je serais alors arrêtée, et cet accident sera un signal fort que la situation devenait tellement blessante intérieurement que je me suis blessée physiquement. A ce propos, le type de blessure sera une indication de ce qui me faisait souffrir, est-ce mon bras qui a été meurtri (inaction), est-ce mon genou (conflit avec l'autre), est-ce une maladie liée aux poumons (étouffement)... ? 
 
La blessure extérieure, plus visible que la souffrance intérieure, est une boussole à ne pas négliger, c'est le dernier recours de notre Moi supérieur pour nous dire de réagir. Dans un premier temps, la blessure nous permet de faire une pause salutaire, de se recentrer et réfléchir, puisqu'une blessure met la vie en "pause", pour par la suite prendre des décisions plus justes et adaptées à nos besoins et envies. Car, bien souvent, nous attendons que la souffrance intérieure se transforme en blessure véritable pour changer ce qui doit l'être.
 
Pourtant, nos émotions sont de merveilleuses messagères, une émotion positive indique que tout est parfait, une émotion négative signifie que quelque chose "cloche", elles balisent donc notre chemin, c'est pour cela qu'il est essentiel de les écouter. Mais, nous avons tendance à refouler nos émotions, on nous a appris à ne pas écouter nos émotions, un exemple parmi tant d'autres, enfant nous n'avions pas le droit de pleurer car cela faisait "bébé". La blessure survient après l'émotion désagréable à laquelle nous n'avons pas su répondre.
Aujourd'hui, nous-nous reconnectons peu à peu à nos émotions, c'est une bonne chose, mais il faut également y répondre.
Si je ressens une émotion négative face à une situation, je dois l'entendre, l'accepter, mais aussi faire en sorte de changer ce qu'il y a à changer, afin de m'en libérer. Autrement, l'émotion s'installera et pourra se matérialiser d'une manière ou d'une autre afin d'être écoutée.
 
En tant que créateur de notre vie, rien n'arrive jamais par hasard, toute expérience est projetée par notre intérieur, ainsi, plus on cultive la joie plus notre vie sera heureuse. Et plus nous laissons les émotions parasites nous habiter plus notre vie sera confuse.
 
Parfois, nous avons l'impression d'être réellement bloqué dans une situation, par exemple, nous pensons ne pas pouvoir changer d'emploi, même si selon moi nous avons toujours le choix dans la vie, si vraiment changer d'emploi paraît très compliqué, il est possible de transformer son regard sur l'expérience, comme l'a dit Lao Tseu : "les choses ne changent pas. Change ta façon de les voir, cela suffit". En effet, il existe du positif partout, alors, il est bon de mettre en lumière tous les points lumineux qui existent dans une situation afin de la rendre plus agréable et être moins à la merci des émotions négatives. On peut voir cela comme un défi, un jeu, un challenge, comme une nouvelle façon d'évoluer, et c'est très bien ainsi. Jusqu'au jour où nous serons prêt pour le changement, alors changement il y aura.
Mais, n'oublions pas que bien souvent il est plus difficile de lutter pour maintenir ce qui nous déplaît en place, que lâcher-prise et accueillir la nouveauté.
 
Ainsi, les accidents ne sont pas une fatalité, tout comme la maladie n'est pas une malchance. Tout cela est simplement une projection de ce qui réside en chacun de nous.
 
Une émotion est une boussole qui nous murmure le meilleur chemin, une blessure est un GPS qui prend le relais et nous dit que nous nous sommes trompé de voie. 

19:05 Publié dans alignement | Lien permanent | Commentaires (0)

26/03/2019

... j'ai été inspirée

J'ai le bonheur de vous présenter mon "ORacle inspiré" !

J'ai reçu plusieurs signes lorsque ce projet est venu toquer à mon cœur, d'où l'importance d'écouter les messages qui se présentent à nous !

Par exemple, le jour où j'ai parlé pour la première fois de ce projet à mon compagnon, donc mis des mots sur mon idée, mon fils aîné est venu me dire : "tiens maman j'ai trouvé une de tes cartes dans ma chambre", et il m'a tendu la dernière carte de mon premier oracle "l'Oracle du monde", carte qui signifie "aboutissement". 
J'en ai alors déduit que mon intuition était bonne et mon projet parfait.

Puis, dès le lendemain, j'ai reçu un mail d'une personne souhaitant réaliser un oracle et me demandant si j'acceptais de travailler sur ce genre de projet. J'ai pris cela comme un grand "oui" de mes guides, "oui tu es sur la bonne voie !". En effet, le principe de "l'ORacle inspiré" repose sur l'idée inédite que c'est à vous de trouver les titres des cartes, chaque carte possède une illustration clé que c'est à vous de nommer en apposant votre écriture (signature énergétique). Ainsi, le jeu devient un prolongement de votre être, c'est une forme de co-création que je suis heureuse de partager avec vous. Car, bien souvent, certaines cartes des oracles ne "parlent" pas, on les renomme alors dans notre tête, on les évite, on cherche à les comprendre, ces cartes correspondent aux énergies du créateur du jeu, et il se peut que celles-ci ne résonnent pas en nous. J'ai donc choisi de faire de "l'ORacle inspiré" un jeu qui correspond aux besoins de chacun.

Enfin, tandis que je me demandais si le système de cartes qui tombent à l'envers ou à l'endroit pour un résultat différent était une bonne chose, j'ai reçu au même instant un mail d'une personne me demandant si les cartes de mon premier Oracle, tombées à l'envers, étaient à prendre en considération pour l'interprétation du tirage. Merci pour la réponse !

Tous ces signes ont renforcé ma confiance en ce projet, et aujourd'hui je suis heureuse de partager avec vous "l'ORacle inspiré", qui est un oracle adapté à vos besoins et ressentis: ICI 

La vie est magique !

présentation copier.jpg

11:15 Publié dans oracle | Lien permanent | Commentaires (2)