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13/04/2018

... j'ai pris ma boule de cristal

Parlons des énergies, elles sont partout, elles sont la base de toute forme de vie, le support de la création, nous nous en servons chaque jour sans même nous en rendre compte. 
Certains pensent ne pas les percevoir, alors que c'est tout à fait impossible, tout le monde lit dans les énergies ! On pense à tort qu'il faut être médium pour cela, posséder des capacités extrasensorielles, pourtant, chaque jour nous ressentons et interprétons les énergies, et TOUT le monde le fait.

Par exemple, lorsque l'on arrive dans un endroit et que nous ressentons un malaise, nous captons en réalité les énergies du lieu qui ne sont sûrement pas bonnes pour nous. Quand nous discutons avec un inconnu et que le feeling passe très bien, cela signifie que les énergies de cet inconnu résonnent avec les nôtres. Tandis que lorsque nous ressentons de l'antipathie pour quelqu'un cela veut dire que ses énergies ne vibrent pas avec ce que nous sommes. Si nous prenons beaucoup de plaisir à cuisiner c'est que les énergies liées à cette activité nous nourrissent et nous font du bien. Lorsque nous sommes face à un choix important et que l'une des décisions nous ravit plus qu'une autre, cela signifie que les énergies de ce choix sont les plus bénéfiques pour nous. 
Pour résumer, lorsque nous aimons quelque chose ou quelqu'un, lorsque nous éprouvons de l'affection et de l'envie, les énergies sont bonnes pour nous. A contrario, quand nous n'apprécions pas quelque chose cela signifie que les énergies ne sont pas les meilleures pour nous.

Ainsi, nous lisons tous dans les énergies, et ce, chaque jour, à chaque moment, à chaque endroit, à chaque rencontre, à chaque décision... Nos ressentis profonds nous montrent la voie, nos ressentis sont tels des convertisseurs d'énergie. Une énergie négative nous donne un ressenti désagréable, une énergie positive un ressenti agréable.

Nous n'avons pas l'habitude de nous écouter alors cela semble compliqué. Mais c'est très simple en réalité : "est-ce que cela vibre ou non en moi ?" C'est la question à se poser et la réponse est une lecture énergétique.

De plus, nous utilisons tous, inconsciemment, des symboles qui sont des ondes énergétiques. Par exemple, lorsque mon enfant me dessine un cœur sur une feuille, il m'offre des énergies d'amour de la plus délicieuse des façons. Le cœur étant une onde de forme très positive. Mais, si je trace au milieu de ce cœur une brisure, cela change sa signification et son énergie, il deviendra un amour brisé. Nous sourions à la vue d'un beau cœur rouge, et faisons la moue quand nous observons un cœur brisé, ceci est bien souvent inconscient mais nous lisons les énergies de chaque symbole et les interprétons.

Les mots sont également de puissants vecteurs d'énergie eux aussi, je m'en rends compte lorsque je vois ma fille de 21 mois s'exclamer "oh c'est bel !" quand elle admire quelque chose. Sans tout à fait comprendre le sens du mot "bel" elle sait ce qu'il transporte énergétiquement parlant, et l'utilise tout à fait quand il le faut. Elle comprend les énergies de ce mot.

Il y a quelques temps j'ai remarqué qu'un avion de guerre américain s'appelait "le Poséidon", quelle tristesse en passant de se servir des belles énergies de Poséidon pour cela, mais quoi qu'il en soit, ceux qui ont nommé cet avion ainsi se sont servis des énergies véhiculées par le grand Poséidon afin de donner à cet avion force, puissance et autorité.

Lorsque nous écoutons une musique, nous sommes transportés ou au contraire agacés; quand nous regardons un tableau, nous sommes éblouis ou bien rebutés ou encore stoïques; lorsque nous dégustons un mets, nous l'apprécions ou alors n'aimons pas son goût... Car ce que nous voyons, entendons, touchons, goûtons, sentons, est une énergie qui vibre ou non avec notre être, nos sens nous servent à interpréter ces énergies, c'est pourquoi nous pouvons affirmer lire dans les énergies, tous !

Certains peuvent aller encore plus loin en pressentant les énergies à venir ou passées, car ils ont affiné leurs sens et ont appris à (s')écouter et (se) faire confiance. Ils savent qu'ils sont eux même une énergie parmi le grand Tout, alors ils peuvent se promener dans le flot de la vie tels des harpistes qui pincent plusieurs cordes en même temps pour jouer leur plus belle mélodie, car l'énergie est aussi ceci : une immense mélodie dans laquelle chacun de nous joue ses propres notes. Lorsque la musique est belle les énergies sont harmonieuses, mais si cela sonne faux de nouveaux choix se proposent à nous. 
Par conséquent, cessez de penser ou dire "je n'arrive pas à lire les énergies", remplacez cela par "je fais partie de la grande partition de la Vie".

Je termine par cette citation d'Albert Einstein : "Tout est énergie et cela résume tout. Mettez-vous sur la fréquence de la réalité que vous voulez obtenir et vous ne pourrez qu'obtenir cette réalité. Il ne peut en être autrement. Ce n'est pas de la philosophie. C'est de la physique"

20:10 Publié dans énergie | Lien permanent | Commentaires (0)

29/03/2018

... j'ai écrit au désespoir

Il y a deux jours une nouvelle m'a attristée, j'ai entendu parler de l'école obligatoire dès 3 ans maintenant. Mais au delà de cette loi ce sont les réactions qui m'ont peinée, j'ai entendu des choses telles que "ce n'est qu'une formalité car la grande majorité des enfants va à l'école dès 3 ans" ou encore "c'est bien comme cela l'enfant aura un suivi" ou même "cela aidera l'enfant dans ses acquisitions".

Alors, pour chasser cette tristesse j'ai conversé avec moi même et cette lettre est née. Elle est longue je le sais, mais peut être qu'elle éclairera d'autres voies.

Lettre d'espoir en période de doute :

L'ascension a commencé, ne vous laissez pas illusionner par ce que vous voyez... Oui les lois se durcissent, oui l'on tente de nous maintenir endormis, oui la peur est le bâton que l'on agite devant nous. Mais celui qui voit les ficelles évite les pièges. Certes, il est triste de constater que ces ficelles restent encore invisibles pour certains, quand tout nous saute aux yeux et que d'autres refusent de voir comment garder espoir ? Comment croire au changement lorsque bien des gens restent stoïques ?

Je vais vous conter mon histoire :
Faisons un bond dans le passé, il y a 15 ans à peine, je vis sur le rythme du métro-boulot-dodo. Levée à 7h00 pour aller travailler, je ne reviens pas avant 18h00 chez moi, je passe 1h ou 2 chaque jour dans les embouteillages pour me rendre à mon emploi, tout cela dans le but de travailler 8h durant pour un patron que je ne connais même pas. Une vie comme tant d'autres n'est-ce pas ?

Mon premier enfant naît en 2004, à peine l'ai-je chouchouté et câliné deux mois que je recherche déjà une nounou pour le garder, car bien entendu je ne compte pas m'arrêter de travailler. Arrêter de travailler signifie perdre une grande partie de mes ressources, mais aussi ma place, ma légitimité dans la société. Qui suis-je et comment ferais-je sans emploi ?

S'en suivent deux autres merveilleux enfants, qui eux aussi seront gardés par la nounou puis basculeront à la crèche plus tard. Toutes ces personnes "inconnues" qui s'alternent pour s'occuper de mes enfants les aident à se sociabiliser, c'est génial non ? Quand je vois ces quelques mamans qui gardent leurs enfants à la maison avec elles, je me demande comment elles font pour se sentir épanouies, et je me dis pauvres enfants qui passent leurs journées collés à leurs mamans et sont coupés du monde...

Un rythme militaire se met en place, et je suis si fière de m'y tenir ! 6h30 réveil pour tous et retour à la maison vers 18h, je me sens si forte car tout est sous contrôle : mes horaires, mes enfants, ma maisonnée. Je passe plus de 10h par jour loin de mes enfants, mais c'est la vie n'est-ce pas ? Et de toute façon il y a les week-ends pour se rattraper.

Les allaiter ? Pas le temps pour cela, et encore moins l'envie à vrai dire, et ces mamans qui donnent le sein de nos jours, dehors, dans les parcs, dans les grandes surfaces, sans se cacher, alors qu'il existe des laits en poudre qui nous facilitent la vie, il faut vivre avec son temps non ?

Durant les premiers mois de vie de mes enfants, je ne compte même pas le nombre de vaccins administrés. La pédiatre ne me demande même pas mon avis, nous programmons tel vaccin tel jour et je m'y rends tout naturellement. A vrai dire, même si elle m'avait demandé mon avis sur ces injections j'aurais accepté, après tout les vaccins sont pour notre bien n'est-ce pas ?

Arrive l'époque de l'école, et que mes enfants soient malades ou fatigués je les force tout de même à y aller. Je suis fière de ne pas me laisser attendrir, car l'école c'est important et ils se reposeront plus tard, quand ils en auront le temps ! S'ils sont mauvais à l'école ils ne s'en sortiront jamais dans la vie, car dans la vie il faut se battre, qui dirait le contraire ?

Parfois, il m'arrive d'être malade, mais je vais quand même travailler, je suis assidue et sérieuse, une employée modèle aucune absence en 7 ans !

A peine mes enfants rentrent-ils de l'école que le travail continue, les devoirs s'accumulent. Une leçon mal comprise ou une mauvaise note deviennent source de cris et de conflits. Je ne veux pas que mes enfants soient derniers de leur classe, comme tout le monde non ?

Entre temps, je perds mon emploi, car j'ai découvert que mon patron (que je n'ai jamais vu) garde une partie de ma paie bien au chaud pour lui, et cette découverte m'a coûtée ma place. J'ai tant donné, jamais une vague, rien, je suis un peu dépitée et commence à ouvrir les yeux... Le chômage est difficile financièrement mais je me contente de peu alors cela me va. Et ce statut de chômeur qui me colle à la peau ne me convient pas du tout, j'ai presque honte de passer par là il faut vite que je sorte de cette situation, il n'y a que les paresseux qui chôment non ? Ces gens qui coûtent cher à l'état et nous poussent vers le bas.
Profiter de cette période d'inactivité pour prendre du temps pour moi ? Non merci j'ai besoin d'une activité pour exister.

Je regarde souvent les informations à la télévision, cela me donne un aperçu de ce qui se passe ici et ailleurs, quelle chance nous avons d'avoir ces informations, car la télé me montre ce que je ne peux voir moi même, et comme je ne crois que ce que je vois... C'est tellement pire ailleurs, au moins ici en France on n'a pas à se plaindre même quand cela ne va pas. Le monde est dangereux en fait, vous ne trouvez pas ?

Parfois, tout cela, ce rythme, les médias, le chômage, l'école, me donnent mal à la tête, alors je prends un doliprane et tout rentre dans l'ordre, la vie suit son cours, vous faites comme moi n'est-ce pas ?

Quoi qu'il en soit, je suis heureuse, vraiment ! Cette vie je l'ai choisie, et cela je le sais, c'est bien la seule chose dont j'ai conscience à vrai dire. Même si mes choix ont fortement été influencés, je les ai fait sans réfléchir les yeux fermés, oui les yeux FERMÉS et sans RÉFLÉCHIR...

Ma meilleure amie de l'époque a un mode de vie très différent du mien, je l’adore mais je ne comprends pas ses choix !

Lorsqu'elle en a assez d'un emploi elle démissionne, quelle folie !

Elle refuse de faire vacciner ses enfants, quelle inconscience !

Elle ne prend pas les médicaments que lui prescrit son médecin, quelle insouciance !

Elle me parle de bio et de produits naturels, quelle perte de temps et d'argent !

Elle n'envoie pas ses enfants à l'école lorsqu'ils sont malades ou fatigués, quel laxisme !

Non, vraiment, je ne la comprend pas, mais je l'adore ! Elle vit avec une telle légèreté que je perçois cela comme de l'inconscience. Moi je n'aime pas me faire remarquer, sortir du lot, et je pense sincèrement qu'il est important de suivre les règles que l'on nous dicte, car ces règles sont pour notre bien, n'est-ce pas ? 
Il est tellement plus simple de laisser les autres nous dire ce qu'il y a à faire.

Puis, arrive le 13 janvier 2013, jour de mon r-éveil, mes yeux s'ouvrent à peine que j'ai déjà envie de les refermer. La vérité fait mal et il est bien plus facile de se laisser bercer !

Mes erreurs me sautent aux yeux, mes non-choix aussi, à tout je disais "oui" car cela venait de plus haut que moi (société, gouvernement, école, médecin...), qui étais-je pour avoir un point de vue différent ? Pour remette en cause ce que l'on me disait ? Moi, Emilie, une simple petite citoyenne sans pouvoir ni rien...

A ce moment précis je m'aperçois que tous mes choix étaient en réalité ceux des autres, mais aussi que ce qui est en apparence pour notre plus grand bien sert en réalité d'autres intérêts que les nôtres. C'est douloureux... 
Je prends conscience que ce n'est pas l'amour qui dirige le monde, mais la peur, et que cette peur est entretenue volontairement par toutes ces institutions à qui je donne toute ma confiance. Oui, je vis dans la peur : la peur de ne plus avoir d'emploi, la peur d'être exclue, la peur que mes enfants travaillent mal, la peur de me faire remarquer, la peur d'être malade, la peur de ne pas être d'accord... Je ne travaille pas de bon cœur avec le système comme je le pensais, mais je travaille avec peur pour le système.

Mon réveil se fait dans la douleur.

Il me faut quelques années pour reprendre mon pouvoir, briser les barrières que l'on m'a proposées et que j'ai moi même mises en place. Car rien n'est jamais imposé en réalité, simplement fortement suggéré. 
J'ai détruit pour reconstruire, en mieux.

Et mon pouvoir je le prends maintenant, je ne laisse plus personne décider pour moi, ni l'état, ni l'école, ni le médecin, ni la télé, ni mes proches, personne ! Je fais ce que je veux quand je veux et si cela déplaît ce n'est pas grave car je suis responsable de mes actes pas de ce que l'on interprète.

Aujourd'hui, je ne travaille plus pour un patron que je ne connais pas mais pour moi. Et je n'ai plus besoin d'appartenir à une tranche d'activité pour exister car je sais qui je suis.

Aujourd'hui je ne suis plus le rythme métro-boulot-dodo car je pose le rythme qui me convient le mieux.

Aujourd'hui quand je tombe malade je lève le pied et cherche ce que mon corps me dit.

Aujourd'hui je garde ma puce de 20 mois près de moi et l'allaite encore avec joie. Je la mettrai à l'école quand je l'aurai décidé et non à 3 ans comme l'état l'impose maintenant, car sa juste place est auprès de ses parents.

Aujourd'hui je ne suis pas d'accord avec les vaccins que l'on veut imposer à mon enfant et refuse de me plier à des règles qui ne sont qu'une histoire d'argent dissimulée.

Aujourd'hui je laisse mes enfants se reposer quand besoin est et cesse de leur dire que la vie est un combat. Au contraire, je leur montre via mon expérience que dans la vie tout est possible à celui qui croit en lui.

Aujourd'hui je pars en vacances quand je le souhaite et non selon des dates imposées par je ne sais qui. Et je partirai encore en période scolaire avec mes enfants dès la semaine prochaine et peu importe ce que l'on en dit.

Aujourd'hui mon compagnon s'est arrêté de travailler pour être près de nos enfants et les voir grandir. Et tant pis si l'on sort des codes habituels et si nous devons réduire nos dépenses.

Aujourd'hui je n'ai plus peur de manquer de quoi que ce soit car je sais que je crée ma vie et ma réalité. Je n'ai plus peur du système mais le système a peur des personnes comme moi, qui ne peuvent plus être mises sous contrôle.

Aujourd'hui je fais ce que je veux, je pense comme j'en ai envie et ne me soucie guère de ce que l'on dit de mes choix.

Et aujourd'hui je ne regrette rien car mon chemin et parfait, j'accepte mes choix d'hier qui sont si différents de ceux d'aujourd'hui. Il me reste encore des chaînes à briser, et elles le seront le moment venu. Les "il y a pire ailleurs" ne font plus partie de mon vocabulaire car cela génère une forme de passivité qui devient une excuse pour ne rien faire.

Je vois ce qui se passe car j'ai ouvert les yeux et en grands ! Et je ne laisse plus autrui penser, dire, et agir pour moi.

Mais surtout, et l'essence de mon message se trouve ici : je suis la preuve que l'éveil est en cours ! Quand je vois mon chemin le mot "espoir" me vient.

Je ne dis pas que seul ce mode de vie est le bon, car chaque être est différent et a des envies différentes, je dis simplement que notre vie doit s'aligner avec les énergies de notre cœur, et non être dictée par l'extérieur. Ma "première vie", même si elle me rendait heureuse, car j'ai toujours été heureuse à vrai dire que je vive endormie ou éveillée, était clairement influencée par d'autres que moi même, tandis que ma présente vie est celle de mon cœur, alors mon bonheur d'aujourd'hui est simplement incomparable avec celui d'hier, il est plus pur, plus vrai, plus libre, car insoumis.

Ainsi, quand je lis un peu partout que ces 11 vaccins sont une bonne idée, que l'école obligatoire dès 3 ans est pour le bien des enfants, que les lois liberticides sont pour nous protéger, que les attentats qui chaque fois tombent au moment où le peuple commence à se rebeller sont le fruit du hasard ... quand j'entends ces propos déconcertants de la part de personnes comme vous et moi, de citoyens pris au piège dans le système et aveuglés, je me dis n'oublie pas d'où tu viens ! Je me remémore mon chemin. J'ai vécu aveugle plus de 30 ans et me voilà aujourd'hui réveillée, je ne juge pas les choix de chacun car moi aussi je les ai fait. Et cela me donne justement le recul nécessaire pour comprendre ces gens qui refusent encore de regarder la Vérité. Ils pensent sincèrement que tout ce que l'on leur impose est pour leur plus grand bien, et que ceux qui n'écoutent pas sont fous ! Ils pensent travailler avec le système en vue d'un monde meilleur, ils voient les 11 vaccins comme un remède miracle contre de graves maladies, ils considèrent que l'école à 3 ans aidera les enfants à mieux grandir et s'instruire, ils pensent que le métro-boulot-dodo est une bonne chose car cela remplie la vie... mais ils ne voient pas que ces idées ne sont pas les leurs.

Mon amie savait à l'époque et je ne la comprenais pas. Je préférais suivre car c'est plus simple que d'ouvrir la voie. Alors je comprends ceux qui préfèrent garder les yeux fermés, mais surtout, je garde espoir ! La plupart des gens éveillés aujourd'hui sont passés par là eux aussi, alors patience, les choses changent, et plus les lois se durcissent plus cela indique que la peur se propage, mais du côté du système cette fois.

Certes, vivre selon ses propres choix c'est prendre le risque d'être incompris, mais c'est surtout prendre le risque d'être libre ! Quand j'expose cela il y a souvent des réactions réfractaires, d'ailleurs cet écrit fera peur à certains, ou d'autres réactions du style "c'est facile pour toi de dire cela puisque tu travailles pour toi de chez toi", et bien n'oublions pas que ma vie je l'ai créée et que ce n'est pas la chance qui m'a menée où je suis aujourd'hui.

La simple question à se poser est celle ci : "Vous sentez vous libre ?"
Si la réponse est "oui", tout est parfait ne changez rien ! Si la réponse est "non", dans quels aspects de votre vie vous sentez vous enfermés ? Mettez en lumière cela et devenez le changement que vous souhaitez voir se produire dans votre vie.

A celles et ceux qui voient déjà cela mais pensent être pris au piège, sachez que vous avez tout de même la clé en vous.

Lettre d'espoir qui s'adresse avant tout à moi même.

14:18 Publié dans Espoir | Lien permanent | Commentaires (3)

20/03/2018

... je suis devenue wonderwoman

Le fait de vouloir contrôler les choses, son prochain, les événements, soi même... révèle un manque de sécurité intérieure, que l'on tente de pallier par un contrôle extérieur.

Par exemple, si j'ai peur de manquer d'argent, je vais contrôler mes dépenses, d'ailleurs cette peur peut-être totalement infondée car je peux avoir toujours vécu dans l'abondance.
Si j'ai peur de me retrouver seule, je vais tenter de contrôler mon partenaire.
Si j'ai peur de déplaire à autrui, je vais porter un masque qui sera un rôle que je tiens auprès des autres, donc une forme de contrôle.

Nous contrôlons pour nous sentir en sécurité. Mais, on peut se demander quelle est la source de ce manque de sécurité ?
Et la réponse est tout à fait renversante !

Comprenons que la sécurité est souvent représentée par des limites, les limites nous rassurent, lorsque nous contrôlons au final nous posons ces mêmes limites, l'être humain a toujours été rassuré par les limites car cela lui donne un cadre
Et sur ce même schéma nous avons tout limité, compartimenté, chaque pays possède ses limites que l'on appelle frontières, la terre et la mer ont leurs limites, la journée a des limites et la nuit aussi, le rythme métro-boulot-dodo nous rassure car il nous donne un cadre, nos croyances et religions nous limitent donc nous évitent de nous éparpiller, nous limitons les agissements de ceux que nous aimons pour leur éviter de s'éloigner de nous, notre temps de vie est limité et la mort fait peur autant qu'elle rassure car elle marque une fin... nous posons et déposons des limites partout où cela est possible, pour nous rassurer. Car sans limites que reste t-il ? L'infini, l'immensité, l'éternité, ces mots font peurs car incarnent l'absence de finalité. Qui a envie de commencer quelque chose qui n'a pas de fin ?

Pourtant, en réalité, les frontières sont une invention de l'Homme, la terre et la mer se fondent et s'embrassent constamment, le jour et la nuit ne s'arrêtent pas car ils existent au même moment mais sur deux pôles différents, le rythme métro-boulot-dodo nous enferme plus qu'autre chose, nos croyances et religions nous séparent les uns des autres plus qu'elles ne nous rapprochent, le contrôle que nous exerçons sur ceux que nous aimons ne garantit pas qu'ils ne nous quitteront jamais, la mort est irréelle car elle est le début de quelque chose d'autre... Ces limites ne sont que des créations mentales qui nous maintiennent dans une forme de sécurité illusoire, en nous laissant penser que chaque début possède une fin, alors, pour maintenir ces limitations en place nous utilisons notre pouvoir dans un sens négatif : celui du contrôle !
Il existe pourtant un autre aspect du pouvoir, mais celui là fait peur car il s'oppose totalement à ce que l'on connaît : la liberté. Car le mot pouvoir possède ces deux sens qui s'entrechoquent : "contrôle" ou "possibilité"

Notre balance penche encore trop souvent sur le pouvoir/contrôle, alors nous contrôlons et nous laissons contrôler même si nous n'en avons pas tout à fait conscience, alors qu'il serait plus bénéfique de commencer à ajuster notre balance sur l'autre côté, le pouvoir/liberté, qui est celui de toutes nos possibilités, celui qui met fin aux enfermements et aux chaînes.

Celui qui bascule du contrôle à la liberté devient un sage incontrôlable, et cela fait peur parfois.

Beaucoup d'Hommes sont encore comme des petits arbres qui ont besoin d'un tuteur pour bien grandir, il suffit de regarder autour de soi, combien s'accrochent à leurs croyances et religions, combien sont rassurés par la présence de frontières, combien luttent pour ne pas sortir du conditionnement métro-boulot-dodo, combien donnent leur pouvoir à leur gouvernement, combien font la guerre aveuglément, combien se tuent et s'entre-tuent pour maintenir des séparations... combien se servent du contrôle comme pouvoir ? 
Aujourd'hui, celui qui ne suit plus est pointé du doigt, celui qui ne rentre plus dans le moule est traité de fou, celui qui dénonce est accusé et enfermé, car celui qui est libre et ne répond à aucun code fait peur ! Nul Homme n'est plus puissant que celui qui est libre. Tous les grands Hommes de ce monde qui ont montré la voie ont été accusés, enfermés, malmenés, tués, chassés... car ils ont montré l'autre facette du mot pouvoir qui est celle de toutes les possibilités ! Ils ont fait peur à ceux qui utilisaient le pouvoir pour contrôler à des fins égotiques, et ils ont fait peur à ceux qui préféraient se laisser contrôler et et ne rien faire

Aujourd'hui, et soyons sûrs que cette période d'ascension est le moment clé pour cela, nous sommes tous en mesure de reprendre notre pouvoir, c'est déjà ce qui se passe pour un certain nombre de personnes, celles ci montrent le chemin où tout est possible. Elles ne recherchent plus la sécurité procurée par le contrôle et les limites car elles ont accepté la notion de potentiel illimité.

Il est temps de devenir l'arbre qui brise le tuteur, d'être l'enfant qui lâche la main de ses parents pour avancer ! La Terre entre dans l'âge adulte et nous avec elle. Est arrivée l'heure de s’émanciper, de briller, de devenir son propre chemin, de ne plus avoir peur de soi même, car c'est de ce dont il s'agit en réalité, ce besoin de sécurité que l'on recherche a pour but de se mettre à l'abri du Je suis véritable, celui qui n'a ni limites ni codes, ni frontières ni barrières, celui qui est libre de TOUT. 
Nous formons tous une belle et grande énergie, et contrôler signifie aussi limiter notre "je" du jeu, ce grand jeu qu'est la Vie, ce besoin de séparation touche à sa fin et chacun trouvera le chemin de la liberté, certains prix seront à payer, certes, mais comme on le dit "la liberté n'a pas de prix !"

Je termine par cette phrase de Bouddha : "Celui qui est maître de lui même est plus grand que celui qui est maître du monde"

08:31 Publié dans Contrôler | Lien permanent | Commentaires (0)