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19/04/2016

... je me suis coupée en deux

Voici une petite astuce pour faire les meilleurs choix sans avoir peur de se tromper. En effet, nous restons souvent bloqués lorsque deux voies opposées s'offrent à nous, nous ne savons laquelle prendre, nous avons peur de faire une erreur, mais cette peur attire justement à elle de mauvaises énergies et une confusion pour la suite.
 
Alors, lorsque vous vous trouvez face à un dilemme, comme par exemple poursuivre une relation amoureuse qui bat de l'aile ou vous séparer, demandez-vous quelle réponse naît dans la peur et la souffrance et quelle réponse vous pousse vers la joie et la sérénité. 
 
Pour répondre à cette question, si vous préférez continuer votre relation par crainte de vous retrouver seul, perdu, sans finance... vous choisissez cette option par peur, c'est cette émotion qui vous retient et vous enferme. 
En revanche, si vous restez car vous aimez votre partenaire, que cette relation vous porte vers le haut et que vous savez que la situation compliquée actuelle est passagère, vous faites ce choix par amour, vous écoutez la voix de votre cœur. 
Dans le premier cas c'est la peur qui vous influence, dans le second c'est l'amour.
 
A contrario, si vous souhaitez rompre une relation car vous êtes sous le coup de la colère et que vous ne voulez pas faire le premier pas après une dispute, ou encore parce que vous aimeriez que votre partenaire soit un peu plus comme vous le voudriez... vous êtes sous le coup de l'ego, donc de la peur.
Alors que si vous voulez mettre fin à votre relation car celle ci vous enferme, vous empêche d'être qui vous êtes, ou encore n'est plus en résonance avec vous, vous choisissez cette option par amour de vous même, c'est donc un choix du cœur.
Ici, dans ce premier cas c'est la peur qui vous pousse à partir, alors que dans le second exemple c'est l'amour qui vous pousse à voler de vos propres ailes.
 
C'est un exercice assez simple à faire chaque fois que l'on est face à un choix. Est-ce l'amour ou la peur qui nous guide? l'envie ou la crainte ? Les meilleurs choix sont toujours ceux qui respectent notre cœur. 
Nos émotions forment une jauge nous montre le chemin le mieux adapté à qui nous sommes, alors observez vos émotions. 
 
J'aimerais ajouter qu'un choix n'est jamais vraiment définitif, la vie est changeante et pleine de surprises. Alors si vous choisissez de rester avec quelqu'un par crainte de partir, ne culpabilisez pas, cela sera une expérience de plus sur votre chemin, puis, un jour, l''envie de partir sera si évidente que la question ne se posera plus, la réponse s'imposera d'elle même et vous prendrez votre voie. 

13:21 Publié dans égo | Lien permanent | Commentaires (0)

11/04/2016

... mon ego a pointé le bout de son nez

Je ris en tapant le titre, c'est de l'humour bien sûr... ou pas.

Aujourd'hui j'aimerais parler d'un magazine très sympathique "Madame Bien être", on y retrouve plein d'articles intéressants sur le développement personnel et spirituel, le site est fluide, agréable, dynamique :)

On peut y trouver en ce moment un article qui parle de mes soins énergétiques, un grand merci à Stéphanie, son auteure, pour sa confiance et ses jolis mots.

Le lien est ici

logo-madame-bien-etre.png

 

 

 

31/03/2016

... je n'ai pas été sage et gentille

Nous sommes conditionnés, dès notre plus jeune âge, à obéir. Obéir à des règles sans douter de leur bien fondé, obéir à nos parents sans contester leur autorité, obéir à nos instituteurs sans remettre en question leurs enseignements... Il est vrai que certaines règles existent pour notre bien être, mais est-ce le cas de toutes ces règles ? En effet, quelques fois cela ressemble davantage à un conditionnement, à un enfermement de notre être.
 
Bien souvent, nos parents instaurent des règles afin qu'on leur ressemble, nos institutions rédigent des règles pour nous maintenir dans des cases, nos écoles écrivent des enseignements pour diriger notre attention dans un seul sens, nos religions posent des règles afin qu'on évite de chercher notre propre Vérité. Au final, tous ces codes sont des cages dorées, nous pensons que ces limites nous rendent bons, meilleurs, que cela fait de nous des êtres humains, des gens civilisés, alors nous obéissons tels des robots. Souvent, même lorsque ces règles nous paraissent insensées.
 
Et gare à celui qui se rebelle, qui refuse d'entrer dans la case, il est très vite marginalisé.
 
Pourtant, qu'est-ce que la désobéissance, si ce n'est l'affirmation de ce que l'on est ? Cela fait-il de nous de mauvaises personnes lorsque l'on refuse des lois qui nous semblent folles ? Devenons-nous des délinquants quand on met à mal des règles irrespectueuses pour l'Homme et la Terre ?
 
La désobéissance, lorsqu'elle est réfléchie j'insiste bien sur ce point, est une preuve d'intelligence et de bon sens.
 
Une personne qui sait remettre en cause ce qu'on tente de lui inculquer, est une personne qui sait écouter ses ressentis, son cœur. 
Ne pas être d'accord c'est s'affirmer, se démarquer de la masse souvent aveuglée, c'est tout simplement réfléchir afin d'adopter un point de vue personnel. Bien entendu, je parle ici de la désobéissance intelligente, celle qui brise l'enfermement de l'être pour le plus grand bien de tous. C'est par cette opposition que la société évolue.
 
La désobéissance n'est pas une lutte, bien au contraire, c'est simplement être qui l'on est, ce n'est que lorsque nous n'écoutons pas notre intérieur afin de rentrer dans une case qui ne nous ressemble pas que nous luttons. Alors nul besoin de se battre, de sortir les armes, restons simplement qui nous sommes et écoutons la voix de notre cœur
 
Je termine par cette phrase de Jiddu Krishnamurti :
"Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade."