21/08/2020
... j'ai laissé tomber le masque
Bas les masques !
Aujourd'hui le masque est obligatoire dans les lieux clos et le devient petit à petit en extérieur. Je ne vous cache pas que je trouve ces décisions de plus en plus incroyables, ce masque nous saute désormais littéralement aux yeux, un drôle de bal masqué dans lequel beaucoup se laissent entraîner.
Pourquoi accepte t-on cela avec tant de facilité ?
Parce que ce masque nous le portons depuis bien longtemps déjà ! Depuis nos premières blessures, nos premières peines, nos premiers doutes sur nous-mêmes.
En effet, nombre d'entre nous portons un masque face à l'autre, masque invisible certes mais pourtant bien réel. Ces masque nous protègent, nous défigurent parfois, mais peu importe car ils nous évitent de trop nous dévoiler, ou nous permettent de nous cacher derrière un personnage monté de toutes pièces.
Le masque nous masque, les mots sont on ne peut plus clairs !
Observons cette douce femme, qui, une fois trahie, montre l'image d'une personne froide et insensible, porte ce masque qui l'empêchera d'ouvrir son cœur à autrui et être à nouveau blessée.
Remarquons ce gentil homme qui manque de confiance en lui, alors, joue le rôle d'un personnage égotique, ce masque l'aidera à cacher qui il est et le rendra moins vulnérable.
Et cet enfant que l'on a souvent rabaissé, qui portera le masque du grand méchant pour se protéger et se sentir plus fort.
Nous portons tous des masques, plus ou moins lourds, plus ou moins visibles, plus ou moins mensongers. Ceux-ci ne sont que des artifices qui répondent à un besoin, une douleur, une peur, que nous ne voyons pas toujours. Aujourd'hui les masques devenant visibles et s'incarnant dans la matière ils nous permettent de faire le point avec nous-mêmes.
Car ces masques que l'on nous impose (avec notre accord implicite) sont la partie émergée de l'iceberg, ils sont la continuité des pensées que nous entretenons sur nous-mêmes.
On dit qu'ils nous protègent de la maladie, ils répondent donc à une peur, ils éclairent nos peurs inconscientes. Plus l'on ressent le besoin de se protéger, de diverses façons, plus cela met en lumière des choses à travailler en soi. On peut donc se demander quelles peurs doit-on guérir pour nous sentir libre d'ôter le masque.
Certains affirment porter un masque pour protéger autrui, cela semble être une délicate attention, seulement, pense-t-on être à ce point un poison toxique ? entretient-on à notre sujet la pensée que nous sommes néfaste pour autrui ? Il y a encore une peur derrière tout cela, des croyances erronées sur soi à éclairer et balayer.
Le monde est le reflet de notre intérieur et cela doit parfois se manifester extérieurement de manière grossière, comme cette drôle d'histoire du port du masque en extérieur, afin de prendre conscience qu'il y a quelque chose qui cloche quelque part. Quelque chose qui ne va pas, non pas en dehors de soi mais en dedans, car l'on peut se demander pourquoi entre-t-on si facilement dans ce bal masqué ? Pourquoi se laisse-t-on embarquer dans une masque-arade avec autant de légèreté ? N'est-ce pas parce que nous vivons dans la peur et cherchons par bien des moyens une forme de sécurité ?
Tout ce qui est contre-nature masque une souffrance.
Le raisonnement peut-être encore plus poussé ! Pourquoi donnons-nous crédit à tous ces médias qui entretiennent intentionnellement la peur ? Pourquoi ne voyons-nous que les chiffres morbides alors qu'ils sont tout à fait ridicules face à ceux de la vie ? Pourquoi continuons-nous ainsi à alimenter cette face sombre de l'expérience ? N'est-ce pas parce que nos peurs cherchent cette nourriture là, nos peurs sont attirées par de quoi avoir encore plus peur de par la loi de résonance, même lorsque la situation semble être une immense farce. Nos peurs lorsqu'elles ne sont pas guéries trouvent écho dans toutes ces informations catastrophes et morbides. Nos comportements, réactions, choix, en disent longs sur qui nous sommes.
Ainsi en période instable il est bon de se recentrer. Comprenons que si chacun travaillait sur ses propres peurs l'expérience que nous vivons actuellement n'aurait pas lieu d'être, et je m'inclus dans ce "chacun" car si je traverse cela c'est qu'une partie de moi le crée. Si nous guérissions avec paix et amour notre cœur nous tomberions le masque naturellement, par conséquent, aucun bout de tissu n'aurait le pouvoir de nous rassurer puisque aucune peur n'aurait la force de nous happer.
N'oublions pas que virus et maladies sont la manifestation des pensées toxiques que nous alimentons, tout ce que nous émettons et qui est contre-nature vient nous heurter.
Aussi, ce n'est pas en nous battant que les choses changeront mais simplement en travaillant sur nous-mêmes, en nous rapprochant de notre essence véritable, en incarnant la justesse, en osant nous dévoiler à nous-mêmes et aux autres.
Celui qui se libère de ses peurs voit clair et ne ressent plus le besoin d'entrer dans la mascarade proposée, dans cette forme de surprotection qui n'est rien d'autre qu'un subterfuge pour ne pas regarder en soi. Celui qui est libre observe le monde et en tire des conclusions justes en centrées.
Allons-nous continuer à nous empoisonner avec nos peurs et pensées toxiques jusqu'à vouloir se faire vacciner, donc encore une fois faire entrer physiquement dans notre corps une forme de poison ?
Encore une fois je tiens à remercier celles et ceux qui osent regarder au-delà du voile, qui travaillent sur eux-mêmes et pour le bien-être de la planète, qui véhiculent la lumière et non la peur, qui prennent la parole et osent ne pas suivre la masse. Merci à vous !
Aujourd'hui oser être qui je suis c'est justement écrire ce texte, qui, je le sais, attirera les foudres de certains qui y verront là un plaidoyer contre le masque alors qu'il s'agit simplement de porter à la réflexion nos comportements et nos peurs limitantes, explorer un point de vue quantique face à la situation actuelle pour mieux s'en défaire.
Quand allons-nous ôter le masque ?
Pour conclure j'ai une simple et unique question à poser : lorsque vous vous regardez dans une glace avec un masque, que voyez-vous ? Qui voyez-vous ?
20:13 | Lien permanent | Commentaires (3)
19/08/2020
... j'ai dit merci !
Aujourd’hui j'ai simplement envie d'écrire "MERCI" en lettres majuscules !
Merci à vous qui faites bouger le monde !
Merci à ceux qui se laissent gouverner par l'amour et non la peur,
merci à ceux qui œuvrent pour la lumière et écoutent leur cœur.
Merci à ceux qui refusent de se laisser manipuler par la politique de la peur,
merci à ceux qui dans le noir font briller leur douce lueur.
Merci à ceux qui ne se servent pas de leur colère pour détruire,
mais comme une impulsion à s'unir et reconstruire.
Merci à ceux qui au lieu de se plaindre osent incarner le changement,
tout en acceptant que leurs voisins soient sur un autre plan.
Merci à ceux qui au plein cœur de la tourmente,
ne se laissent pas happer par la peur ambiante.
Merci à ceux qui mettent sur pieds des projets lumineux,
afin d'aider, éclairer, servir au mieux.
Merci à ceux qui travaillent sur eux jour après jour,
et se libèrent de ces fausses croyances qui les ferment à l'amour.
Merci à ceux qui n'attendent pas un sauveur extérieur,
et s'affairent chaque jour à guérir leur intérieur.
Merci à ceux qui ont expérimenté et compris,
qu'ils étaient les seuls maîtres de leur vie.
Merci à ceux qui restent positifs et emplis d'espoir,
même lorsque la grande majorité préfère baisser les bras.
Merci à ceux qui ne choisissent pas la facilité,
quand il est tellement plus simple de tout accepter.
Merci à ceux qui travaillent pour un monde plus juste,
qui révisent leur pensées, paroles, actions et les ajustent.
Merci à vous tous qui avez compris que tout venait de vous,
que chaque petit geste impactait sur le grand tout,
le monde étant le reflet de notre intérieur,
il appartient à chacun de viser le meilleur.
Merci à vous qui incarnez le changement,
votre courage brise les enfermements.
Nous sommes arrivés à une étape charnière,
et plus que jamais nous devons prendre soin de notre Terre mère.
Merci à tous ! Merci !
Vous impactez sur ma propre vie,
car vous me donnez la motivation et l'envie
de construire ce nouveau monde ici et aujourd'hui.
Je remercie toutes les personnes qui m’inspirent et me poussent chaque jour à me remettre en question, à dépasser mes propres limites, à créer le nouveau monde.
Je vous dédie ce texte et vous exprime toute ma gratitude.
Vous êtes mes exemples, et, surtout, vous êtes bien plus nombreux qu'on ne le pense !
18:34 | Lien permanent | Commentaires (2)
29/07/2020
... j'ai choisi la paix
Il y a quelques jours une "amie" facebook a été prise à partie car elle avait osé remettre en cause le port du masque obligatoire.
En principe je n'aime pas intervenir dans ce genre de discussion, même si j'ai un avis clair sur la question, mais j'ai trouvé les commentaires envers elle assez durs, d'autant plus que je sais que c'est une gentille personne éclairée, empathique et soucieuse de l'environnement (donc pas une dangereuse inconsciente comme j'ai pu le lire). Alors, j'ai simplement écrit en commentaire que j'étais d'accord avec mon "amie", sans entrer dans le débat qui de toute façon ne mènerait à rien.
Là, en toute logique, on est venu me répondre ceci : "En fait, l'un n''implique pas l'autre...du tout. quel dommage tous ces débats stériles et ces clivages qui n'ont pas lieu d'être. Ce serait tellement bien, si en temps de crise, la solidarité primait sur les angoisses. La peur mène à tous les esclavages, même à ceux de la pensée...et que de raccourcis. Il est urgent de lire ou relire le Léviathan de Thomas Hobbes. Il y a tant à y puiser, Bonne journée sereine!"
Je précise que dans mon commentaire je n'avais en rien critiqué les gens qui souhaitaient porter un masque, car chacun est libre de penser, parler, agir comme il le souhaite, et je n'ai pas à juger cela. Simplement je suis contre l'obligation qui s'installe et la psychose qui s'ensuit.
J'ai alors répondu ceci :
"C'est exactement cela, toutes les peurs sont activées, pour mieux s'en défaire ! Car notre travail est ici : nous défaire de toutes ces peurs qui nous paralysent et nous empêchent d'accueillir la Vie ! Mes peurs n'ont absolument rien à voir avec ce virus, elles sont au sujet de nos libertés et droits qui fondent comme neige au soleil, et elles sont aussi acceptables que les peurs de certains dues au virus ! J'ai peur de laisser un monde liberticide à mes enfants, un monde dans lequel nous devrons obéir aux règles les plus folles (contravention de 135e pour non-port du masque par exemple !), un monde dans lequel un vaccin aura plus de poids qu'une alimentation saine ("on" met des millions pour créer un vaccin mais pour le "mieux manger" pas grand chose), un monde dans lequel l'esprit critique et le bon sens seront endormis car les "autres" penseront pour nous (apparemment on n'a plus le droit de dire qu'on est contre le masque obligatoire (ou pour), car quoi qu'il en soit on se fait insulter), et j'en passe... Mes peurs ont une raison d'être. Je ne juge pas les gens qui ont peur du corona car je ne connais pas leur parcours, et je ne suis pas d'accord avec le fait d'être jugée car ce virus ne m'effraie pas. On ne devrait pas comparer les peurs des uns et des autres car cela fait partie du chemin de chacun. Juger, insulter, critiquer, pointer du doigt l'autre ne fait en rien évoluer la situation. Nous avons simplement à nous défaire de ces peurs, car nous sommes les seuls à nous y enfermer au final."
Suite à ces échanges, une autre "amie" a publié un long texte sur son mur dont voici un court extrait :
"Message à tous les demi-dieux qui se pensent plus intelligents que la moyenne, et qui dénoncent le port du masque (...), on a le droit d'avoir son opinion mais faire circuler des informations qui conduisent à des décès est intolérable et criminel, je ne veux pas de ce genre de personne dans mon réseau (...)." Un message, à charge, tapé sur le coup de l'émotionnel. Je ne juge pas cette personne car il est clair qu'elle entretient des peurs face au virus et elle en a le droit, en revanche, son commentaire n'est pas des plus mesuré et elle a décidé de se séparer elle-même de celles et ceux qui ne partageaient pas son point de vue.
Et si le véritable enjeu était celui-ci : ne pas se diviser !
La période que nous traversons nous met face à nos propres peurs, ce qui est une bonne chose au final. En écrivant ces lignes je me rends compte de mes peurs : celles d'être enfermée dans un monde où obéir est le maître mot. Mais cela ne me donne pas le droit de juger celui dont les peurs sont liées au fait de tomber malade. L'un et l'autre devons prendre conscience de cela, ces peurs en nous, et travailler à nous en défaire. Et pour cela nous n'avons pas besoin de dénigrer l'autre, de moquer les angoisses, de rabaisser celui qui regarde une autre direction.
N'oublions pas que chacun vit à travers ses propres filtres.
Cette crise actuelle a beaucoup à nous dire, et ce n'est qu'un début...
19:50 | Lien permanent | Commentaires (0)