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13/09/2020

... quelqu'un a voulu la peau de mon Scenic

J'en parle souvent ici car je l'expérimente jour après jour : notre vie est le reflet de ce qui nous habite. Plus l'on est joyeux plus notre expérience de vie est lumineuse, à contrario, lorsque la colère s'incruste en notre cœur notre vie devient fort remuante et tout devient motif à être encore plus grognon.
 
En ce moment je navigue entre joie et colère, un jour je me sens légère et je profite pleinement du moment présent, le lendemain la colère me gagne et tout m'apparaît sombre. J'en ai fait un écrit dans lequel je parlais de me recentrer, de trouver le juste milieu entre "être en colère par rapport à ce qui se passe actuellement", et "faire l'autruche et ne rien voir". Parfois il me semble avoir trouvé cette justesse, pourtant, au moindre agacement ma colère reprend.
 
Vendredi, ma fille a reçu deux heures de retenue pour avoir baissé son masque dans la cours, et la colère s'est (encore) installée en mon cœur. Mon premier réflexe a été de téléphoner au collège pour leur dire ce que je pensais de leur façon de faire, mais il était trop tard le bureau du CPE étant fermé, avec du recul je me dis fort heureusement car j'allais me laisser porter par ma colère et certainement envenimer la situation et discréditer mon message. Ecrire un texte sur cette expérience et le partager sur facebook, mettre des mots sur les maux a permis d'amoindrir cette tempête intérieure, du moins au départ, puisque par la suite certains commentaires m'ont un peu irritée, entre des personnes qui ont commenté "la loi c'est la loi et si vous ne la respectez pas tant pis pour vous", ou encore une vague de "c'est à cause des gens comme vous qu'il va y avoir encore plein de morts", mais aussi des moqueries "tout ça pour deux petites heures de colle"... Mon premier réflexe a été de me séparer intérieurement de ces personnes là, de "ceux" qui selon moi ne comprenaient pas la gravité de la situation et nous emmenaient avec eux dans un monde liberticide et sombre.
Finalement, encore une fois, je me suis décentrée, j'ai pointé du doigt autrui. Et mes propres jugements sont retombés sur moi sous forme de critiques et commentaires négatifs.
 
En réalité, l'expérience de ma fille n'est que le reflet de ce que je pense depuis le début, à savoir que l'on me vole ma liberté. Le mot qu'elle a reçu est plus qu'explicite : "refus d'obéir et comportement inadapté". En effet, je ne veux pas obéir à ces règles idiotes et je ne désire pas "jouer le jeu" que l'on me propose. Cette piqûre de rappel a attisé ma colère. Colère qui, même si elle reste parfois en sourdine, est tout de même bien présente en moi.
 
Et l'expérience ne s'est pas arrêtée là, car, dans la nuit de vendredi à samedi qui fait directement suite à ma grogne, une autre anecdote pénible mais ô combien parlante est survenue ! On a essayé de voler ma voiture ! Oui, pour la première fois en vingt ans on s'en est pris à ma voiture. Je pense que c'est une tentative de vol car rien n'a disparu dans la voiture, le sac à dos contenant les affaires de mes filles n'a même pas été ouvert, le poste de radio intact, mes autres effets personnels n'ont pas bougé... j'ai retrouvé mon véhicule avec une vitre brisée, la mienne celle du conducteur, portière ouverte, et les pneus totalement braqués côté route comme-ci on avait voulu la remorquer. Ayant un problème de frein à main, j'imagine que cela a bloqué le véhicule qui n'a pas bougé d'un centimètre.
 
Quel lien entre cette tentative de vol et ce que je ressens ? Ma voiture incarne ma liberté de conduire (ma vie) et aujourd'hui je me sens bernée, volée, j'ai l'impression que l'on tente de me priver de ma liberté, je dis bien "on tente" car, au final, tout comme ce vol avorté, personne ne peut réellement me voler ma liberté qui est avant toute chose intérieure. Personne ne peut m'empêcher de penser ce que j'ai envie de penser, exprimer ce que je ressens et agir en ce sens. Seulement, mon expérience est le reflet de mon agitation intérieure, de ma pensée première, cela me montre que ma colère loin d'être salutaire me revient tel un boomerang par le biais de cette intrusion dans mon véhicule et cette vitre cassée.
 
La voiture symbolise également mon véhicule terrestre donc mon corps, cela met en lumière ces énergies négatives que je laisse entrer en moi en ce moment et qui me blessent.
 
L'Univers nous parle à travers nos expériences, et la mienne, même si elle est désagréable, n'est que le reflet de ce que j'émets depuis quelques jours. Le comprendre m'aide à apprendre, réfléchir et agir plus justement.
Je ne souhaite pas incarner la voie/voix de la colère, même si celle-ci semble me tendre la main.
 
Je vais donc continuer à travailler sur moi, m'alléger et me recentrer. Je vais me servir de ma colère non pas pour détruire mais pour me donner l'impulsion de construire ce que je souhaite voir émerger. Par conséquent, je ne vais pas appeler le collège lundi et leur hurler mon mécontentement avec la rage au ventre comme j'avais l'intention de le faire, mais les appeler en exposant calmement mon point de vue et en essayant de leur apporter un éclairage nouveau sur la situation que rencontre nos enfants. Je pense que ce n'est que par la dialogue que nous ferons avancer les choses et non dans la violence.
 
Je ne suis pas totalement responsable de ce que nous traversons aujourd'hui, mais je suis entièrement responsable de la manière dont je le vis et des fréquences que j'émets aujourd'hui.

19:01 Publié dans alignement | Lien permanent | Commentaires (2)

21/08/2020

... j'ai laissé tomber le masque

Bas les masques !
 
Aujourd'hui le masque est obligatoire dans les lieux clos et le devient petit à petit en extérieur. Je ne vous cache pas que je trouve ces décisions de plus en plus incroyables, ce masque nous saute désormais littéralement aux yeux, un drôle de bal masqué dans lequel beaucoup se laissent entraîner.
 
Pourquoi accepte t-on cela avec tant de facilité ?
 
Parce que ce masque nous le portons depuis bien longtemps déjà ! Depuis nos premières blessures, nos premières peines, nos premiers doutes sur nous-mêmes.
 
En effet, nombre d'entre nous portons un masque face à l'autre, masque invisible certes mais pourtant bien réel. Ces masque nous protègent, nous défigurent parfois, mais peu importe car ils nous évitent de trop nous dévoiler, ou nous permettent de nous cacher derrière un personnage monté de toutes pièces.
Le masque nous masque, les mots sont on ne peut plus clairs !
 
Observons cette douce femme, qui, une fois trahie, montre l'image d'une personne froide et insensible, porte ce masque qui l'empêchera d'ouvrir son cœur à autrui et être à nouveau blessée.
Remarquons ce gentil homme qui manque de confiance en lui, alors, joue le rôle d'un personnage égotique, ce masque l'aidera à cacher qui il est et le rendra moins vulnérable.
Et cet enfant que l'on a souvent rabaissé, qui portera le masque du grand méchant pour se protéger et se sentir plus fort.
 
Nous portons tous des masques, plus ou moins lourds, plus ou moins visibles, plus ou moins mensongers. Ceux-ci ne sont que des artifices qui répondent à un besoin, une douleur, une peur, que nous ne voyons pas toujours. Aujourd'hui les masques devenant visibles et s'incarnant dans la matière ils nous permettent de faire le point avec nous-mêmes.
 
Car ces masques que l'on nous impose (avec notre accord implicite) sont la partie émergée de l'iceberg, ils sont la continuité des pensées que nous entretenons sur nous-mêmes.
On dit qu'ils nous protègent de la maladie, ils répondent donc à une peur, ils éclairent nos peurs inconscientes. Plus l'on ressent le besoin de se protéger, de diverses façons, plus cela met en lumière des choses à travailler en soi. On peut donc se demander quelles peurs doit-on guérir pour nous sentir libre d'ôter le masque.
 
Certains affirment porter un masque pour protéger autrui, cela semble être une délicate attention, seulement, pense-t-on être à ce point un poison toxique ? entretient-on à notre sujet la pensée que nous sommes néfaste pour autrui ? Il y a encore une peur derrière tout cela, des croyances erronées sur soi à éclairer et balayer.
 
Le monde est le reflet de notre intérieur et cela doit parfois se manifester extérieurement de manière grossière, comme cette drôle d'histoire du port du masque en extérieur, afin de prendre conscience qu'il y a quelque chose qui cloche quelque part. Quelque chose qui ne va pas, non pas en dehors de soi mais en dedans, car l'on peut se demander pourquoi entre-t-on si facilement dans ce bal masqué ? Pourquoi se laisse-t-on embarquer dans une masque-arade avec autant de légèreté ? N'est-ce pas parce que nous vivons dans la peur et cherchons par bien des moyens une forme de sécurité ?
 
Tout ce qui est contre-nature masque une souffrance.
 
Le raisonnement peut-être encore plus poussé ! Pourquoi donnons-nous crédit à tous ces médias qui entretiennent intentionnellement la peur ? Pourquoi ne voyons-nous que les chiffres morbides alors qu'ils sont tout à fait ridicules face à ceux de la vie ? Pourquoi continuons-nous ainsi à alimenter cette face sombre de l'expérience ? N'est-ce pas parce que nos peurs cherchent cette nourriture là, nos peurs sont attirées par de quoi avoir encore plus peur de par la loi de résonance, même lorsque la situation semble être une immense farce. Nos peurs lorsqu'elles ne sont pas guéries trouvent écho dans toutes ces informations catastrophes et morbides. Nos comportements, réactions, choix, en disent longs sur qui nous sommes.
 
Ainsi en période instable il est bon de se recentrer. Comprenons que si chacun travaillait sur ses propres peurs l'expérience que nous vivons actuellement n'aurait pas lieu d'être, et je m'inclus dans ce "chacun" car si je traverse cela c'est qu'une partie de moi le crée. Si nous guérissions avec paix et amour notre cœur nous tomberions le masque naturellement, par conséquent, aucun bout de tissu n'aurait le pouvoir de nous rassurer puisque aucune peur n'aurait la force de nous happer.
 
N'oublions pas que virus et maladies sont la manifestation des pensées toxiques que nous alimentons, tout ce que nous émettons et qui est contre-nature vient nous heurter.
 
Aussi, ce n'est pas en nous battant que les choses changeront mais simplement en travaillant sur nous-mêmes, en nous rapprochant de notre essence véritable, en incarnant la justesse, en osant nous dévoiler à nous-mêmes et aux autres.
 
Celui qui se libère de ses peurs voit clair et ne ressent plus le besoin d'entrer dans la mascarade proposée, dans cette forme de surprotection qui n'est rien d'autre qu'un subterfuge pour ne pas regarder en soi. Celui qui est libre observe le monde et en tire des conclusions justes en centrées.
 
Allons-nous continuer à nous empoisonner avec nos peurs et pensées toxiques jusqu'à vouloir se faire vacciner, donc encore une fois faire entrer physiquement dans notre corps une forme de poison ?
 
Encore une fois je tiens à remercier celles et ceux qui osent regarder au-delà du voile, qui travaillent sur eux-mêmes et pour le bien-être de la planète, qui véhiculent la lumière et non la peur, qui prennent la parole et osent ne pas suivre la masse. Merci à vous !
 
Aujourd'hui oser être qui je suis c'est justement écrire ce texte, qui, je le sais, attirera les foudres de certains qui y verront là un plaidoyer contre le masque alors qu'il s'agit simplement de porter à la réflexion nos comportements et nos peurs limitantes, explorer un point de vue quantique face à la situation actuelle pour mieux s'en défaire.
 
Quand allons-nous ôter le masque ?
 
Pour conclure j'ai une simple et unique question à poser : lorsque vous vous regardez dans une glace avec un masque, que voyez-vous ? Qui voyez-vous ?

19/08/2020

... j'ai dit merci !

Aujourd’hui j'ai simplement envie d'écrire "MERCI" en lettres majuscules !
 
Merci à vous qui faites bouger le monde !
 
Merci à ceux qui se laissent gouverner par l'amour et non la peur,
merci à ceux qui œuvrent pour la lumière et écoutent leur cœur.
Merci à ceux qui refusent de se laisser manipuler par la politique de la peur,
merci à ceux qui dans le noir font briller leur douce lueur.
 
Merci à ceux qui ne se servent pas de leur colère pour détruire,
mais comme une impulsion à s'unir et reconstruire.
Merci à ceux qui au lieu de se plaindre osent incarner le changement,
tout en acceptant que leurs voisins soient sur un autre plan.
 
Merci à ceux qui au plein cœur de la tourmente,
ne se laissent pas happer par la peur ambiante.
Merci à ceux qui mettent sur pieds des projets lumineux,
afin d'aider, éclairer, servir au mieux.
 
Merci à ceux qui travaillent sur eux jour après jour,
et se libèrent de ces fausses croyances qui les ferment à l'amour.
Merci à ceux qui n'attendent pas un sauveur extérieur,
et s'affairent chaque jour à guérir leur intérieur.
 
Merci à ceux qui ont expérimenté et compris,
qu'ils étaient les seuls maîtres de leur vie.
Merci à ceux qui restent positifs et emplis d'espoir,
même lorsque la grande majorité préfère baisser les bras.
 
Merci à ceux qui ne choisissent pas la facilité,
quand il est tellement plus simple de tout accepter.
Merci à ceux qui travaillent pour un monde plus juste,
qui révisent leur pensées, paroles, actions et les ajustent.
 
Merci à vous tous qui avez compris que tout venait de vous,
que chaque petit geste impactait sur le grand tout,
le monde étant le reflet de notre intérieur,
il appartient à chacun de viser le meilleur.
 
Merci à vous qui incarnez le changement,
votre courage brise les enfermements.
Nous sommes arrivés à une étape charnière,
et plus que jamais nous devons prendre soin de notre Terre mère.
 
Merci à tous ! Merci !
Vous impactez sur ma propre vie,
car vous me donnez la motivation et l'envie
de construire ce nouveau monde ici et aujourd'hui.
 
Je remercie toutes les personnes qui m’inspirent et me poussent chaque jour à me remettre en question, à dépasser mes propres limites, à créer le nouveau monde.
Je vous dédie ce texte et vous exprime toute ma gratitude.
Vous êtes mes exemples, et, surtout, vous êtes bien plus nombreux qu'on ne le pense !