30/11/2020
... j'ai marché sur la corde
Le monde change et se transforme irrémédiablement, non sans fracas, cela semble chaotique car les extrêmes s'opposent et luttent pour prendre le dessus, ce qui était caché se dévoile à nous et nous invite gentiment à choisir notre camp.
Actuellement deux bords souhaitent imposer leur vérité, alors chacun dénigre l'autre camp, pointe du doigt l'autre, critique l'autre, pourtant, aucun de ces deux côtés ne représente le juste milieu, l'équilibre. Et plus l'un tente de prendre l'ascendant plus l'autre use et abuse de stratégies pour se faire entendre. Au final donner de l'énergie au camp que l'on a choisi ne fait qu'alimenter l'autre côté. C'est exactement ce qu'il s'est passé avec ce documentaire que le gouvernement déteste tant, en le dénigrant il lui a donné encore plus de poids.
Car il faut comprendre ceci : l'Univers tout entier est équilibre et il ne peut en être autrement. Alors, la balance lorsqu'elle penche trop d'un côté doit recevoir sur l'autre plateau un poids similaire, c'est la loi du balancier. L'équilibre ne peut être rompu autrement la vie n'est plus, et même lorsque tout semble chaotique il règne un ordre sacré.
Nous assistons actuellement à ce jeu de plateaux, et chacun ajoute du poids sur le bord qu'il a choisi afin de "gagner" la bataille, seulement, la bataille ne peut être gagnée de la sorte, en ajoutant poids sur poids, car ce n'est justement qu'en allégeant que nous nous libérons et non l'inverse.
Ces deux extrêmes vous les connaissez, on leur donne tout plein de noms "doux" comme "complotistes contre moutons", "éveillés versus endormis", "l'ombre face à la lumière" et j'en passe. Aucun de ces côtés n'incarne pourtant le juste milieu puisque le milieu n'est pas un plateau à choisir mais le point zéro.
Il y a deux mois, quand ma fille a rencontré des problèmes à l'école à cause de son masque, j'ai rejoint un groupe de parents sur facebook qui peu à peu s'est transformé en un groupe de personnes soit disant "éveillées", mais, qui ne faisait que publier des fake news, des vidéos sans sources et sorties de leur contexte, et autres théories farfelues, afin de rallier les gens dans leur lutte, dans leur jeu/je, en utilisant l'énergie et la confiance des abonnés pour faire pencher la balance dans leur sens.
Et, à l'opposé, je rencontre régulièrement des personnes qui font des annonces et autres décisions gouvernementales des vérités absolues, sans une seule fois remettre en question les intentions du gouvernement. Ainsi on peut voir des personnes qui attendent avec joie le vaccin sans voir les dessous de l'affaire, ou encore qui ne parviennent pas à relativiser face au Covid et acceptent de se laisser enfermer sans mot dire.
Plus le gouvernement pose des poids plus le groupe opposé, pour maintenir l'équilibre, ajoute des poids de son côté, et vice-versa.
Finalement ces deux groupes vivent dans la peur, l'un dans la peur de perdre le contrôle, l'autre dans la peur d'être contrôlé.
Personnellement, j'ai été traitée de complotiste par des personnes qui étaient aveuglées par cette pseudo-crise, puis insultée d'endormie par des personnes fâchées que j'use de sens critique sur les fake news qu'elles partageaient.
Ces deux groupes, en apparence si opposés, tirent en réalité la même ficelle, celle de la manipulation, de la culpabilité, du jugement, de la peur, dans le but de faire grossir leur rang, ainsi, quand l'un tire sur le fil son opposé fait de même, quand une loi stupide est adoptée une fake news tout aussi stupide voit le jour, c'est la loi du balancier.
Et nous avons tous inconsciemment un parti pris, car nous avons tous un avis sur cette période ô combien inédite. Lorsque j'entends les propositions aberrantes du gouvernement il m'arrive d'alimenter l'autre plateau de la balance, puis, je me recentre et tente de regarder au-delà de mes propres croyances et mon parti pris qui peuvent m'aveugler eux aussi.
Car il est important de prendre de la hauteur et observer les ficelles pour ne plus les tirer. Voir le jeu du gouvernement tout comme le jeu opposé. Ce n'est pas simple évidemment, mais lutter ne peut que mener à la lutte et faire pencher un plateau, qui immédiatement sera contré par son opposé.
Il est bon de devenir le funambule qui, au lieu de tirer sur le fil, marche dessus avec grâce et confiance. Chercher l'équilibre en soi pour avancer sereinement car nul ne peut nous contraindre à quoi que ce soit sans notre accord, et, dès que nous venons à en douter nous alimentons automatiquement l'un des plateaux de la balance. Celui qui doute cherche toujours un appui en dehors de lui-même.
Lorsque je demande au gouvernement de me protéger je me donne le rôle de victime, lorsque je me rallie aux groupes en lutte je me donne le rôle de sauveur, et tout ceci reste un rôle que je me donne car je ne sais pas qui je suis face à la situation. C'est pourquoi il est important d'observer ce qui est sans se laisser happer. Savoir dire "non" quand cela est nécessaire ou encore "oui" quand tout est aligné.
Nos choix d'aujourd'hui dessineront notre avenir et un choix réfléchi est le fruit de l'amour et non celui de la peur.
L'équilibre se trouve en soi et celui qui parvient à le trouver dans la tumulte est totalement libre et le restera.
(Carte issue de mon Oracle "les murmures de l'âme")
17:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/10/2020
... j'ai dégainé plus vite que mon ombre
Le 28 j'ai publié sur ma page facebook un petit texte au sujet de la manipulation gouverne-mentale à laquelle nous faisons face actuellement.
Il a été très bien accueilli, mais, j'ai pu lire certains commentaires qui indiquaient que ma prise de position n'était pas très lumineuses et alimentait la dualité, ou encore qu'il était préférable de ne parler que de "lumière".
Il faut pourtant comprendre ceci, à partir du moment où nous nous sommes incarnés (un car né) nous expérimentons le principe de dualité, cela fait partie du "jeu" et ce n'est ni mal ni bien. Notre corps de chair est la manifestation même de la séparation, en effet, notre corps nous sépare physiquement et inexorablement de notre prochain. On peut se rapprocher intérieurement du sentiment d'unité, seulement, nous ne vivrons jamais, physiquement, sur terre et dans un corps de matière, l'union véritable et absolue avec l'autre. En nous incarnant nous avons créé le "je" pour entrer dans le jeu, et le retour à la source laissera derrière nous ce je/jeu. Par conséquent, on ne peut faire abstraction du principe de dualité, cela fait partie du grand tout, de la vie, en revanche il s'agit de ne pas émettre de jugement quant à cette réalité, l'accepter telle qu'elle se présente à nous. Le fait que la dualité fasse partie intégrante de la vie ne doit pas nous faire haïr l'autre, cet opposé, cela doit simplement nous aider à nous positionner par rapport à cet autre. Qu'est la lumière sans l'ombre ? Qu'est le chaud sans le froid ? Comment connaître le sentiment de liberté sans avoir été emprisonné ? La dualité ne veut pas dire être en guerre, cela signifie simplement que tout existe et son contraire.
La dualité n'est négative que dans l'esprit de la personne qui la voit ainsi, autrement elle est neutre.
Pour revenir à mon partage du 28 octobre, lorsque je dis que le gouvernement manigance contre nous, le peuple, je me positionne simplement et clairement face à ce qui est en train de se dérouler, c'est à dire que je refuse de jouer dans le jeu que le gouvernement me propose ! Celui de la peur, de la culpabilité, de l'infantilisation, et je ne m'en cache pas. Je suis ici, sur terre, pour créer un nouveau jeu en affinité avec moi-même, inventer des règles harmonieuses, respectueuses et étiques.
Lorsque je fais le tri dans ce qui ne me convient pas je n'accentue pas le principe de dualité, qui existe quoi que je fasse, seulement, je mets en avant ce qu'ici et aujourd'hui je souhaite construire, je me définis.
Revenons maintenant au principe de lumière, et pour cela je vous partage quelques expressions françaises :
- Agir en pleine lumière : agir de manière à être visible, connu de tous.
- À la lumière de quelque chose : en fonction des connaissances acquises.
- Mettre quelque chose en lumière : le faire ressortir, le mettre en évidence.
- Ne pas être une lumière : avoir peu de connaissances dans un domaine ; être peu intelligent ou même stupide, idiot.
- Revoir la lumière : recouvrer la vue ; sortir des ténèbres, d'un cachot.
Ces expressions sont on ne peut plus parlantes : la lumière représente le SAVOIR !
Donc diffuser la lumière c'est oser regarder ce qui est, sans détourner les yeux.
Encore une fois lorsque je dis que le gouvernement se moque de nous, avec preuve à l'appui une vidéo qui parle du re-confinement un mois avant l'annonce officielle du président, je ne donne pas de force au jeu de l'ombre bien au contraire je mets en lumière les ficelles qu'elle tire. Car refuser de voir les choses qui ne tournent pas rond ne les fait pas disparaitre, en revanche les mettre en lumière permet de changer ce qui doit l'être.
Je ne parle pas de s'investir émotionnellement dans ce qui dérange, car lorsque l'on laisse échapper la colère on alimente les égrégores de colère, mais simplement d'observer ce qui se passe avec objectivité, regarder la situation avec honnêteté et savoir faire preuve de sens critique.
Aujourd'hui je remarque les décisions prisent, sans mon consentement, et celles-ci ne me conviennent pas pour plusieurs raisons déjà évoquées ici ou ailleurs.
Ne parler que lumière en faisant abstraction de l'ombre, donc du Tout, revient à vivre la moitié de l'expérience terrestre. Accepter la présence de l'ombre est un pas important de notre évolution spirituelle.
Je sais qu'il existe une forme de spiritualité qui raye de la carte le principe même d'ombre, ce mouvement est à mon sens une spiritualité immature, qui, au lieu d'accepter le principe de dualité qui régit la terre préfère le nier. Accepter la lumière c'est aussi accepter son opposé, autrement le puzzle reste incomplet. Nier l'ombre c'est rejeter une partie de soi, tandis qu'accepter l'ombre et son rôle met automatiquement fin à la notion de séparation, et c'est à ce moment que la dualité redevient ce qu'elle est : neutre. Alors tout s'unit et se marie pour ne former qu'une seule et même expérience : la vie terrestre.
De plus, pour laisser passer la lumière il faut savoir être transparent avec soi-même et les autres, alors, aujourd'hui, je ne souhaite pas faire comme ci les choses me convenaient, j'écoute et je laisse parler mon cœur car je ne souhaite pas vivre une bataille intérieure en m'interdisant de ressentir ce que je ressens, en m'interdisant d'être honnête avec moi-même, bataille qui ne ferait qu'alimenter les égrégores de lutte.
Encore une fois, cela ne veut pas dire se laisser submerger par ses émotions et se rendre malade, mais simplement accepter qu'à l'instant T la situation ne s'aligne pas avec la fréquence de notre cœur. La paix véritable commence ici, lorsque l'on accepte pleinement nos ressentis véritables.
Et puis n'oublions pas que nous sommes humains, nous avons aussi le droit de parfois être en colère, simplement, veillons à ce que celle-ci ne dure pas et reste l'impulsion qui mène au changement afin qu'elle reste constructive et non destructrice.
Ainsi, diffuser la lumière c'est aussi savoir parler de l'ombre, l'ombre qui se trouve en chacun de nous et autour de nous, c'est apprendre à observer les liens qui nous enferment pour mieux nous en défaire. Ceux qui ne peuvent ou ne veulent voir la dictature qui s'installe insidieusement sont principalement ceux qui ne se sont pas encore défaits de leur propre prison intérieure, et qui, par besoin de sécurité, se laissent dicter leurs choix, paroles et pensées par toute forme d'autorité extérieure à eux.
Bien entendu nous avons le pouvoir de transmuter ce qui peut l'être, ainsi, ce confinement peut devenir une occasion de mieux apprendre à se connaître et travailler sur soi, ce couvre-feu peut être une opportunité de passer plus de temps en famille le soir, ces promenades d'une heure peuvent devenir un délicieux moment durant lequel on savoure intensément la vie... nos prisons sont avant tout intérieures et celui qui a ouvert la porte est un Homme libre, peu importe ce qui se passe autour de lui. Mais, même en transformant à notre avantage l'expérience on peut également faire en sorte que les règles du jeu changent au fur et à mesure de nos choix. Nous pouvons œuvrer à ce que toutes ces lois liberticides mettent en lumière ce que nous désirons créer maintenant, par opposition, donc via le principe de dualité. Tout existe en même temps, donc oui nous pouvons prendre du plaisir à être confinés tout en essayant de mettre un terme à cela !
Souvenons-nous que pour changer le monde il faut avant tout commencer par soi, panser notre intérieur, oser de nouveaux choix, assumer nos ressentis profonds, partager nos expériences et ne pas avoir honte d'être qui nous sommes. Nous libérer de l'intérieur pour que l'extérieur s'illumine.
Une anecdote de dernière minute en guise de conclusion, qui vient valider mon ressenti :
Au moment où j'écris la dernière ligne de ce texte il est 18h30, il fait presque nuit noire dehors. D'un coup les plombs sautent, la lumière s'éteint et je me retrouve dans le noir total, dans l'ombre. Je dois alors allumer la lampe de mon portable, donc utiliser ce petit faisceau de lumière afin de remettre le disjoncteur en marche et rétablir tout le courant. Ainsi, se laisser guider par sa lumière (portable) pour éclairer ce qui ne va pas (disjoncteur) permet bien souvent de diffuser une lumière encore plus grande (lumière revenue dans tout l'appartement).
Joli signe, jolie métaphore, je n'ai rien à ajouter de plus.
20:30 Publié dans Ombre | Lien permanent | Commentaires (2)
13/09/2020
... quelqu'un a voulu la peau de mon Scenic
J'en parle souvent ici car je l'expérimente jour après jour : notre vie est le reflet de ce qui nous habite. Plus l'on est joyeux plus notre expérience de vie est lumineuse, à contrario, lorsque la colère s'incruste en notre cœur notre vie devient fort remuante et tout devient motif à être encore plus grognon.
En ce moment je navigue entre joie et colère, un jour je me sens légère et je profite pleinement du moment présent, le lendemain la colère me gagne et tout m'apparaît sombre. J'en ai fait un écrit dans lequel je parlais de me recentrer, de trouver le juste milieu entre "être en colère par rapport à ce qui se passe actuellement", et "faire l'autruche et ne rien voir". Parfois il me semble avoir trouvé cette justesse, pourtant, au moindre agacement ma colère reprend.
Vendredi, ma fille a reçu deux heures de retenue pour avoir baissé son masque dans la cours, et la colère s'est (encore) installée en mon cœur. Mon premier réflexe a été de téléphoner au collège pour leur dire ce que je pensais de leur façon de faire, mais il était trop tard le bureau du CPE étant fermé, avec du recul je me dis fort heureusement car j'allais me laisser porter par ma colère et certainement envenimer la situation et discréditer mon message. Ecrire un texte sur cette expérience et le partager sur facebook, mettre des mots sur les maux a permis d'amoindrir cette tempête intérieure, du moins au départ, puisque par la suite certains commentaires m'ont un peu irritée, entre des personnes qui ont commenté "la loi c'est la loi et si vous ne la respectez pas tant pis pour vous", ou encore une vague de "c'est à cause des gens comme vous qu'il va y avoir encore plein de morts", mais aussi des moqueries "tout ça pour deux petites heures de colle"... Mon premier réflexe a été de me séparer intérieurement de ces personnes là, de "ceux" qui selon moi ne comprenaient pas la gravité de la situation et nous emmenaient avec eux dans un monde liberticide et sombre.
Finalement, encore une fois, je me suis décentrée, j'ai pointé du doigt autrui. Et mes propres jugements sont retombés sur moi sous forme de critiques et commentaires négatifs.
En réalité, l'expérience de ma fille n'est que le reflet de ce que je pense depuis le début, à savoir que l'on me vole ma liberté. Le mot qu'elle a reçu est plus qu'explicite : "refus d'obéir et comportement inadapté". En effet, je ne veux pas obéir à ces règles idiotes et je ne désire pas "jouer le jeu" que l'on me propose. Cette piqûre de rappel a attisé ma colère. Colère qui, même si elle reste parfois en sourdine, est tout de même bien présente en moi.
Et l'expérience ne s'est pas arrêtée là, car, dans la nuit de vendredi à samedi qui fait directement suite à ma grogne, une autre anecdote pénible mais ô combien parlante est survenue ! On a essayé de voler ma voiture ! Oui, pour la première fois en vingt ans on s'en est pris à ma voiture. Je pense que c'est une tentative de vol car rien n'a disparu dans la voiture, le sac à dos contenant les affaires de mes filles n'a même pas été ouvert, le poste de radio intact, mes autres effets personnels n'ont pas bougé... j'ai retrouvé mon véhicule avec une vitre brisée, la mienne celle du conducteur, portière ouverte, et les pneus totalement braqués côté route comme-ci on avait voulu la remorquer. Ayant un problème de frein à main, j'imagine que cela a bloqué le véhicule qui n'a pas bougé d'un centimètre.
Quel lien entre cette tentative de vol et ce que je ressens ? Ma voiture incarne ma liberté de conduire (ma vie) et aujourd'hui je me sens bernée, volée, j'ai l'impression que l'on tente de me priver de ma liberté, je dis bien "on tente" car, au final, tout comme ce vol avorté, personne ne peut réellement me voler ma liberté qui est avant toute chose intérieure. Personne ne peut m'empêcher de penser ce que j'ai envie de penser, exprimer ce que je ressens et agir en ce sens. Seulement, mon expérience est le reflet de mon agitation intérieure, de ma pensée première, cela me montre que ma colère loin d'être salutaire me revient tel un boomerang par le biais de cette intrusion dans mon véhicule et cette vitre cassée.
La voiture symbolise également mon véhicule terrestre donc mon corps, cela met en lumière ces énergies négatives que je laisse entrer en moi en ce moment et qui me blessent.
L'Univers nous parle à travers nos expériences, et la mienne, même si elle est désagréable, n'est que le reflet de ce que j'émets depuis quelques jours. Le comprendre m'aide à apprendre, réfléchir et agir plus justement.
Je ne souhaite pas incarner la voie/voix de la colère, même si celle-ci semble me tendre la main.
Je vais donc continuer à travailler sur moi, m'alléger et me recentrer. Je vais me servir de ma colère non pas pour détruire mais pour me donner l'impulsion de construire ce que je souhaite voir émerger. Par conséquent, je ne vais pas appeler le collège lundi et leur hurler mon mécontentement avec la rage au ventre comme j'avais l'intention de le faire, mais les appeler en exposant calmement mon point de vue et en essayant de leur apporter un éclairage nouveau sur la situation que rencontre nos enfants. Je pense que ce n'est que par la dialogue que nous ferons avancer les choses et non dans la violence.
Je ne suis pas totalement responsable de ce que nous traversons aujourd'hui, mais je suis entièrement responsable de la manière dont je le vis et des fréquences que j'émets aujourd'hui.
19:01 Publié dans alignement | Lien permanent | Commentaires (2)