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05/05/2015

... j'ai sauté la case prison

Quel lourd fardeau est la culpabilité, voyez comme il courbe le dos de celui qui le porte.
 
La culpabilité nous ronge de l'intérieur, elle nous consume, elle nous enferme.
 
C'est une punition terrible, que nous sommes les seuls à pouvoir nous infliger.
 
Nous sommes tous passés un jour ou l'autre par cette émotion dévastatrice. En effet, il est parfois arrivé que nos choix ne soient pas les plus judicieux, que nos paroles ne soient pas les plus gentilles, que nos pensées ne soient pas les plus lumineuses...et de le regretter par la suite.
 
Pourtant, la pire de nos erreurs est aussi une pierre de notre chemin, la plus noire des paroles a engendré un changement intérieur, car nous nous sommes dit "plus jamais"! Plus jamais nous ne nous comporterons ainsi.
 
Une erreur est un indicateur de ce que nous ne voulons plus recréer, il faut apprendre d'une "erreur" car elle nous sert à grandir.
 
Comme le disent mes guides: "oubliez l'expérience mais retenez la leçon".
Car penser sans cesse à l'expérience douloureuse revient à la revivre, et se punir. Plus on y pense, plus on aimerait créer une autre fin, et deux phrases nous suivent et nous poursuivent inlassablement: "Si j'avais"/"si je n'avais pas".

Ainsi est la culpabilité, elle se résume à cela: si j'avais, ou, si je n'avais pas.
Culpabiliser c'est vivre dans le passé, un passé dans lequel la peine et le reproche nous courbe le dos.

Or, ce qui est fait est fait, le seul remède à la culpabilité est l'acceptation.
 
Voyons nos "erreurs" comme un bon indicateur de ce que nous désirons être et du chemin que nous souhaitons emprunter. Elles ont donc leur utilité et en tirer des leçons c'est poursuivre notre évolution.
 
En revanche, culpabiliser est contre constructif. Cela ne nous élève pas, bien au contraire, culpabiliser c'est se punir, se détruire, c'est refuser ce qui est, par la même refuser un peu de qui nous sommes.
 
Car n'oublions pas que refuser notre passé, nos erreurs, c'est renier une partie de soi. Nos erreurs doivent être accepter pour être libérées.
 
Il est bien plus sain(t) de s'excuser du tort que l'on a fait que de culpabiliser sans fin.
 
Lâcher prise et accepter est la meilleure des attitudes à avoir. Aimons-nous assez pour nous libérer de ce poids énorme qu'est la culpabilité, et surtout pardonnons-nous, faisons la paix avec nous même.
 
Et si finalement il n'y avait pas d'erreurs mais simplement des opportunités...
 

19/04/2015

... j'ai séché mes larmes

On a coutume de penser qu'il faut souffrir pour atteindre certains objectifs. Comme si la souffrance était noble et juste, qu'elle valait la peine d'être et de résider en nous.

D'ailleurs, ne dit-on pas: "il faut souffrir pour être beau", " la fin justifie les moyens", "il n'y a pas d'accouchement sans douleur", " aimer à en souffrir"...etc.

Cela donne à la souffrance, notre souffrance, une connotation positive, on pense que c'est parfois un mal pour un bien.

Nous nous sommes donc construits sur ce schéma:  la douleur est nécessaire et incontournable. Cela fait tellement partie de nous qu'une vie sans souffrances nous paraît impossible et peu valable. Par exemple, si quelqu'un divorce sans en souffrir, on dira qu'il ne devait pas aimer son conjoint, son absence de douleur sera considéré comme une absence d'amour. Comme ci amour et souffrance allaient de pair.

Il peut même arriver, pour ne pas contredire notre croyance sur la souffrance (car après tout une grande partie de nous tient à ses croyances là), que nous attirions de quoi souffrir.

L'illusion que l'on doit souffrir ici bas provient souvent d'un manque d'estime de soi (après tout je le mérite bien!).

Regardons cette personne qui reste aux côtés d'une autre qui la maltraite, mais qui refuse de partir car elle pense mériter cette souffrance extérieure. Voyons cette personne qui en maltraite une autre car elle souffre psychologiquement et refuse de se faire aider, car elle pense mériter cette douleur intérieure. Observons comme la souffrance tient une place importante dans cet exemple, elle se trouve au cœur même de l'expérience. Mais surtout voyons comme l'une et l'autre de ces personnes ne changent rien, comme elles acceptent cela comme si c'était inéluctable.

Nous savons pourtant à quel point souffrir fait mal, mais nous refusons bien souvent de lâcher prise sur notre douleur. Pourquoi? parce que souffrir c'est vivre, c'est avoir une place dans ce monde, du moins c'est ce qu'on nous a dit.

Bien des religions et sociétés se basent sur ce même principe de la souffrance: il faut souffrir pour s'élever, pour être quelqu'un, pour éponger ses fautes, pour réussir en société, c'est manger ou être mangé...et cette fausse croyance a eu une influence majeure sur le comportement des Hommes: je souffre donc je suis.

Nous en sommes donc arrivés à s'infliger de la souffrance à nous même, et parfois la souhaiter aux autres, alors lorsqu'une personne fait du mal à une autre, on lui souhaite de souffrir en retour, en pensant que cette "punition" sera notre salut. On soigne le mal par le mal. La souffrance de l'autre est une expiation, et toute notre société est basée sur ce faux remède.

Pourtant, la souffrance n'a jamais été garante d'une fin heureuse, bien au contraire. La souffrance amène à elle douleur et peine.

Voir un criminel souffrir et s'en sentir heureux fait-il de nous un être humain ou un criminel à notre tour? De cette réponse découle notre élévation spirituelle et tout simplement humaine. Qui désirons nous être?

Toute douleur, quand elle peut être évitée, doit l'être, car nul ne mérite de souffrir.

Il est bon de s'élever au dessus des croyances collectives, qui dictent nos choix, nos pensées, qui  nous enferment, nous maintiennent dans l'illusion et la douleur. Il existe au dessus de ces croyances collectives la compréhension véritable de l'expérience terrestre, pour se rapprocher de ce plan, il faut se rapprocher de son cœur, lui seul détient les vraies réponses.

Alors reprenons notre liberté de penser et d'être.

Il n'a jamais été nécessaire de souffrir pour comprendre la vie (croyance collective), mais il est nécessaire de comprendre la vie pour ne plus souffrir (cœur).

16/04/2015

... le facteur est passé

Hier j'ai reçu un beau cadeau du ciel!

C'est presque incroyable, et pourtant bien réel.

J'étais tranquillement assise sur un trottoir pendant le cours de danse de ma fille, et en baissant la tête vers le sol j'ai vu un petit papier plié, qui laissait seulement apparaître le mot "papi". J'ai immédiatement compris que mon grand-père décédé voulait s'adresser à moi. Seulement mes 2 grands-pères sont morts, mais en regardant de plus près autour du papier, j'ai remarqué un mégot de cigarette, les choses deviennent évidentes, c'est mon grand-père maternel mort d'un cancer des poumons.

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Je demande s'il a un message pour moi, et il me répond d'un air assez agacé "ça traine, ça traine! Le nettoyage est en cours mais c'est long, il faut vous activer ici bas et faire appel aux anges!", il ajoute qu'une grande armée d'anges travaille actuellement à nos côtés, ils nous aident à nous nettoyer, à nous purifier. Il nous suggère de travailler main dans la main avec eux, car leur mission n'est pas aisée, beaucoup d'Hommes sont encore trop endormis. Il me demande de travailler avec les anges ici et maintenant. Puis, il m'explique qu'il est chargé d'accueillir les âmes qui quittent leur corps. D'après lui, le processus de réincarnation est de plus en plus rapide, là-haut ils sont en train de nous envoyer des âmes hautement évoluées afin d'ascensionner. Durant tout ce message je sens une sorte d'agacement de sa part, alors je ne sais pas trop quoi en penser...

Quelques minutes plus tard, passe devant moi un homme portant un T-shirt bleu avec écrit en gros dessus "Michel Ange" (je n'ai pas pu le prendre en photo sans avoir l'air louche^^). Il faut savoir que l'ange Michael est aussi appelé Michel, il vient du rayon bleu (comme le t-shirt), et il travaille activement au nettoyage de la Terre. Cela rejoint donc le message de mon grand-père sur cette armée d'anges.

Je comprends que je dois travailler avec les anges, mais je ne suis pas très familiarisée avec eux, je ne l'ai jamais été, j'en parle d'ailleurs quasiment jamais... Je préfère les maitres et les guides.

Pour me convaincre, un dernier cadeau m'attendait. Je me lève pour rentrer chez moi, et sur le chemin je trouve un petit ange doré! Ok, message reçu, j'arrête de lutter et je vais commencer à m'ouvrir aux anges et faire appel à eux.

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Je ne peux que céder après tout cela :)

Tant de signes en moins d'une heure, là ils ont fait fort. Je ressens un sentiment d'urgence, je vais donc suivre le conseil de mon grand-père et travailler main dans la main avec les anges, va falloir que j'en apprenne plus sur eux.

Je partage cela avec vous, pour vous dire que vous pouvez appeler les anges qui se feront un plaisir de vous aider, mais aussi que les signes sont partout à qui veut voir.

 

12:48 Publié dans Ange | Lien permanent | Commentaires (17)